Recette coupe faim Banan'express 11 Mai 2016 Minceur
Ingrédients
- 3 bananes peu mûres
- 2 yaourts
- 25 cl de lait demi-écrémé
- 2 cuillers à soupe rases de son d’avoine
- Quelques pincées de cannelle
Préparation
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Pelez les bananes et coupez-les en gros morceaux. Mettez-les dans le bol d’un robot avec les yaourts, le lait et le son d’avoine.
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Mixez jusqu’à ce que le mélange devienne bien lisse et onctueux.
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Répartissez dans des verres et parsemez de cannelle en poudre.
Conseil santé
Choisissez bien des bananes à peau jaune, sans marbrures : leur index glycémique sera plus bas. Associées aux fibres du son d'avoine et aux protéines des yaourts et du lait, elles se transforment ici en une super boisson coupe-faim, idéale en cas de fringale, pour patienter tranquillement jusqu'au dîner, ou à servir en guise de dessert.
source : topsante.com
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Fruits et légumes: Importante hausse des prix31 Octobre 2014
En dépit des campagnes de sensibilisation contre les comportements nocifs qui sévissent de plus en plus au sein de la société du fait d’un mode de consommation frénétique, notamment durant le ramadhan, ce mois de jeun se caractérise par différents excès. Le gaspillage, de pain par excellence, est la principale manifestation de ces comportements excessifs.
Quelque trois millions de baguettes de pain sont jetées au quotidien à la poubelle à l’échelle nationale durant le mois de ramadhan, selon de l’union des commerçants et artisans algériens (UGCAA), des estimations qui renseignent, si besoin est, sur les proportions alarmantes du fléau de gaspillage.
Il semble en effet que les appels à rationaliser la consommation de cet aliment de base n’ont pas trouvé d’écho.
Au niveau de la capitale seule, plus de 6200 baguettes ont été triées des ordures ménagères durant la première semaine du mois de piété et de ferveur spirituelle. Une quantité qui correspondrait au double de celle collectée pendant le reste de l’année, selon Souhila Lardjem, directrice de l’entreprise de gestion du centre d’enfouissement technique (CET Hamici) de Zeralda.
La sonnette d’alarme est tirée face à phénomène, qui outre le préjudice économique qu’il cause, donne lieu à des spectacles désolants d’amas de pain jonchant les entrées d’immeubles ou entassés dans des sacs en plastique sur la chaussée à même les poubelles et les bennes de Netcom.
Ramadhan de tous les pains, ramadhan de toutes les envies, l’Algérien fait son mea culpa…
Chaque membre de la famille achète quotidiennement une à deux baguettes de pain de différentes sortes et au moment de l’Iftar, la table est garnie de différentes variétés de pain qui au final ne sont pas consommées, reconnaît Mohamed, père de famille du quartier populaire de Bab El Oued.
A quelques heures de la rupture du jeun, on ne peut pas résister aux senteurs appétissantes de pain chaud tout juste sorti du four qui nous assiègent de toute part ou encore à ses différentes formes, aussi tentantes les unes que les autres et généreusement étalées dans les vitrines de boulangerie ou dans des étals de fortune sur la voie publique, reconnaît-il.
Mourad, d’El Madania, dit qu’il s’était habitué à consommer le Mtaloue que son épouse confectionnait à la maison. Mais mes cinq fils ramènent chaque jour des variétés différentes de pain industriel, laisse-t-il entendre.
A El Mouradia, Khadidja, se plaint de l’attitude de ces enfants qui rentrent chaque jour avec différentes sortes de pain qu’ils ne mangent pas, ce qui la contraint souvent, avoue-t-elle, à le jeter.
Le pain jeté, un gâchis mais pas pour tous
Rencontrée à la rue Belouizdad, Hadja Kheira s’affairait à ramasser le pain devant l’entrée d’un bâtiment.
Cette sexagénaire a révélé se livrer à cette activité depuis plus de quatre années: elle gagne son pain par la récupération des pains jetés qu’elle revend aux éleveurs de bétail.
Ce n’est pas par nécessité que le je le fais bien sur, tient à assurer Hadja Kheira qui précise agir d’abord conformément aux préceptes de l’islam qui bannit le gaspillage et tous les excès.
Il fut un temps, le pain n’était pas à la portée de tous les Algériens, rappelle cette dame en allusion à la période coloniale pas très lointaine.
Réduire la production de pain pour juguler le gaspillage de cet denrée alimentaire
Face aux effets néfastes, sur le plan socio-économique, du gaspillage alimentaire en général, du pain plus particulièrement, le ministère du commerce a lancé une campagne nationale sous le thème « Lutter contre le gaspillage est la responsabilité de tous ».
Cette campagne qui s’étale du 1er juin au 10 juillet et organisée en collaboration avec la société civile et les représentants de corps de sécurité, sera axée sur la rationalisation de la consommation des produits alimentaires et le respect des conditions de conservation.
Il s’agira surtout de sensibiliser les citoyens à la nécessité de corriger leurs habitudes de consommation et à adopter de bons réflexes en la matière.
Des instructions ont été données aux boulangeries à l’effet de réduire la production de pain durant le ramadan, les maîtresses de maison ayant pour habitude en ce mois de confectionner le pain artisanal, a fait savoir le président de l’association nationale des boulangers, Youcef Kalfat.
Il a préconisé la révision de la politique de subvention du pain estimant que le prix de la baguette accessible à toutes les bourses encourageait sa surconsommation. Le citoyen a tendance à acheter le pain en quantités dépassent de loin ses besoins quotidiens, a-t-il argué.
Le président de l’association de protection et d’orientation du consommateur et son environnement (Apoce) de la wilaya d’Alger fait état de son coté d’un léger recul du phénomène qu’il impute à la prise de conscience et la réduction du pouvoir d’achat.
L’Imam de la mosquée Errahmania, Abderrahmane Bisker a exhorté les citoyens à se plier aux consignes de la religion et à bannir le gaspillage sous toutes ses forme. Il les a incités à se rapprocher des nécessiteux et à leur faire des dons car il est inacceptable dans notre religion, de jeter les aliments quand d’autres en ont besoin.
Source : aps.dz
Le Tai Chi, est un art martial d’origine chinoise qui puise son enseignement dans l’observation et dans l’imitation de la nature. Apprendre à canaliser son énergie, retrouver une harmonie avec soi-même et avec le monde, voilà ce que propose cette discipline ancestrale.
Comme une gym douce, il agit sur la souplesse des articulations et le tonus musculaire. Il permet de mieux coordonner les mouvements dans l’espace.
Bien qu’aucune étude scientifique ne puisse réellement appuyer ces propos, une pratique régulière du Taï chi apporte de nombreux bienfaits, tant sur le plan physique que sur le plan psychique.
Bienfaits physiques et psychologiques :
Travail sur la posture et l’équilibre.
Contrôle de la respiration et harmonisation avec les mouvements du corps.
Amélioration de la souplesse grâce aux étirements.
Décontraction des tensions lombaires.
Entretien des amplitudes articulaires.
Bienfaits Psychologiques : Meilleure gestion des situations de stress.
Relaxation et détente.
Amélioration de la concentration et de la mémoire (mémorisation de l’enchaînement des mouvements).
Ou faire du Tai Chi ?
Si vous souhaitez découvrir cette discipline RDV au AHC ( Alger Holistics Center ) situé au niveau de Bir Mourad Rais.
Pour plus d'informations :
0541 28 98 72
Génération Hasni. Hommage au Rossignol (1994-2014).20 ans après !
Padidou Edition en partenariat avec l’Office National des Droits d’Auteurs et des Droits Voisins (ONDA), ont l’honneur de vous annoncer qu’un hommage spécial à Hasni sera organisé le Lundi 29 septembre 2014 à 19h00 à la salle Atlas , Bab El Oued.
Cet hommage intitulé « Génération Hasni ». 20 ans après, sera animé par une pléiade d’artistes et amis du roi du raï sentimental !
Une vingtaine de chanteurs dont Mohamed Lamine, Nada Rihane, Chaba Fadéla , Salima Abada, Chemssou des Freeklanes, Kader Japonais, Cheb Khalass, Fella Ababssa, Hindi, Salim Chaoui, Chaba Kheira, Hakim Salhi, Cheb Tarik, Raja Meziane , … reprendront tour à tour les tubes de celui qui demeure a ce jour l’idole de toute une génération.
Une compilation best Off « Génération Hasni – 2014 », dédiée exclusivement à cet événement sera éditée.
L’accès à cette manifestation est gratuit et exclusivement sur invitation pour le public. Les invitations sont disponibles a partir du Mercredi 24 septembre 2014 à : Salle Atlas, Salle El Mouggar, Siège de la Direction Générale de l’ONDA.
Lundi 29 septembre 2014 à 19h00 à la salle Atlas , Bab El Oued.
Les hommes et les femmes viennent-ils de 02 planètes différentes ?!!
- Sans vouloir dramatiser, les chiffres parlent : le nombre de célibataires est en nette augmentation, près de la moitié des mariages se termine en divorce, et cela dès les 03 premières années seulement.
Donc, prenez 100% de responsabilité et réaliser que vous êtes parfait ensemble.
Mesdames, vous êtes-vous déjà demandé ce qui se passe dans la tête des hommes ?
- Est–il possible les faire changer par amour ?
- Pourquoi rencontrent-ils des difficultés pour communiquer ?
Et vous, messieurs, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi il est souvent si difficile de comprendre les femmes et de vous engager ?
Programme de la journée :
LES COUPLES
- Connaitre votre profil de personnalité.
- Connaitre le profil de votre partenaire.
- Connaitre vos degrés de compatibilité psychologique et vos réactions vis-à-vis des événements de la vie quotidienne.
POUR POUVOIR AMELIORER VOTRE COMMUNICATION CONSTRUCTIVE DU COUPLE.
LES CELIBATAIRES
- Vous cherchez votre moitié ?
- Vous voulez connaitre votre aptitude à faire le bon choix ?
- Vous voulez apprendre les bonnes techniques d’approche et de conviction ?
- Vous allez connaitre votre profil de personnalité et celui de la personne idéale pour vous.
UNE DISCUSSION AUTOUR D'UNE PAUSE CAFE..
Cette formation sera animée par notre expert en communication : Docteur Badour Yassar, en collaboration avec une psychologue.
Pour réservation : Appellez 0557 03 89 17
Email : pertinence.consult@gmail.com
LE PRIX : 2 000 DA la personne; ce prix comprend : la formation, les tests et interprétations, la pause-café et le training.
Une réduction exceptionnelle pour les 20 premiers couples et les 20 premiers célibataires.
Fruits et légumes: Importante hausse des prix
Les prix des fruits et légumes ainsi que d’autres produits de première nécessité poursuivent leur ascension. Il ne se passe pas une semaine sans que de nouveaux records ne soient atteints.
La pomme de terre, les oignons, pour ne citer que ces deux produits indispensables, ont atteint leur sommet depuis quelques mois. De quoi dissuader les consommateurs les plus téméraires. L a flambée des prix des fruits et légumes ayant entaché cette année persiste encore à la surprise générale, au niveau de pratiquement toutes les régions du pays.
La hausse a frôlé, en moyenne, les 50%, voire plus pour certains produits qui ont vu leurs prix tripler. Les citoyens, qui s’attendaient à un retour à la normale de la mercuriale après la fête religieuse passée, assistent bien, au contraire, à un renchérissement affolant des prix des fruits et légumes. En effet, si la hausse des prix sur les marchés a toujours été observée pendant la période des fêtes, les prix tendaient à reprendre leurs cours et se stabiliser; mais il semblerait que ce qui était occasionnel est maintenant devenu la règle.
Au lieu de baisser, la mercuriale a pris l’ascenseur, annonçant ainsi des jours bien difficiles aux petites bourses qui se sont saignées aux quatre veines avec un pouvoir d’achat en constante érosion. « Cela fait une heure et demie que je sillonne les allées du marché. Les prix augmentent chaque jour.
Il faut voler pour arriver à satisfaire les besoins essentiels de la famille « , fulmine un père de famille, et de poursuivre : « Où sont donc les organismes de contrôle et de régulation des prix ?” Un simple tour dans un marché de la capitale donne une idée sur cette frénésie qui s’est emparé de la mercuriale.
Dans le peloton en folie des prix, la pomme de terre, légume très prisé des Algériens, affiche 90, voire 100 DA le kilo, le pauvre smicard est désormais dans la purée. Ce tubercule réputé comme légume des pauvres est, désormais inaccessible pour les petites bourses. Les carottes et les oignons sont proposés sur les étals entre 60 et 80 DA. La tomate de « bonne » qualité est négociée à 90 DA le kilo. Cependant, c’est le prix des piments verts qui affiche des seuils intolérables : un kilo de piments à… 100 DA. Le chou-fleur avec son prix de 90 DA le kilo.
Les haricots verts, quant à eux, affichent 200 DA le kilogramme. Aucun produit n’a été épargné par cette augmentation. Même constat pour les prix des fruits. Les raisins restent indétrônables avec des prix intouchables, le kilo est cédé à partir de 220 DA. Ceux de l’importation, de couleur rougeâtre, sont proposés à 400 DA. Les pommes sont désormais à 200 DA. Le kilo de bananes a pris en quelques jours une vingtaine de dinars de plus pour atteindre les 180 DA. Toutefois, la grande surprise vient des dattes, dont le prix a atteint les… 500 DA le kilo. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, les prix des légumes secs ont également progressé vers des niveaux jamais atteints. Ils sont devenus presque inabordables.
Il faut débourser 220 DA pour le kg de pois chiche alors que les haricots secs sont cédés à 180 DA et les lentilles se vendent autour des 160 DA, avant même l’arrivée des grands froids. Item pour les viandes, qu’elles soient rouges ou blanches, restent toujours inaccessibles. Le poulet est proposé à partir de 320 DA le kilo. Les prix des viandes rouges sont revenus à de meilleurs sentiments, mais restent inaccessibles. L’agneau est proposé entre 750 et 800 DA le kilo.
Les commerçants incombent la responsabilité au manque de l’offre sur le marché. Un argument qui ne tient pas la route. Le marché surtout des légumes et fruits n’a jamais connu de stabilité dans notre pays. Le citoyen est convaincu plus que jamais qu’il est livré pieds et poings liés aux spéculateurs devant l’absence totale de l’Etat. Cette spéculation est due au manque du d’organisation et de contrôle au niveau des marchés.
Ce sont les services spécialisés du ministère du Commerce, particulièrement la direction du contrôle des prix à qui revient la tâche de veiller au respect de la réglementation en vigueur. Tout compte fait, c’est l’absence de contrôle et de sanctions qui sont à l’origine de ces hausses récurrentes. Faudra-t-il encore que les citoyens investissent la rue pour que les pouvoirs publics daignent enfin intervenir en vue de réguler le marché ?
source : lesdebats.com
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