la grande exposition des saveurs terroirs et paniers gourmands qui aura lieu a Tizi ouzou ville place de l'olivier du 25 avril au 2 mai
~#salon_national_produit_du_terroir, #zeinelle_produits_du terroir, #zeinelle_bons_plan_Tizi_ouzou


Une nouvelle rencontre avec les arbres majestueux de la reserve naturelle de Thniet El Had, une randonnée en plein nature, une bouffé d'oxigène et de bonheur...
Vendredi 2 décembre 2016
de 7h à 20h
Parc National Thniat el Had
—(••÷[ Programme ]÷••—
Présentation de l'écosystme et du parc nationale de Thniet El Had.
Randonnée écologique de 12 Km avec un guide.
Déjeuner et pause musicale devant le lac meddad.
—(••÷ Restauration ÷••)—
La sortie est en pension complète
Menu principale/ Sandwich + gouter
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—(••÷ Transport ÷••)—
Bus
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—(••÷ Personnel ÷••)—
Deux accompagnateurs.
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—(••÷ Nombre de places ÷••)—
25
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—(••÷ Prix ÷••)—
2500 Da
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Informations sur la reservation 0550 783529
Formulaire en ligne/
https://goo.gl/forms/O8SIKlSr4lh3f3o72
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Payement exclusivement par CCP
N° CCP 41113 60 CLE 12

Les conducteurs de taxi n’auront pas le droit de refuser une course tant qu’ils sont en service et libre. C’est ce qui est indiqué dans l’article 26 du «cahier des charges relatif aux conditions et modalités d’exploitation d’un service de taxi» publié, hier, au journal officiel.
Cet article stipule que «le conducteur de taxi, ne doit pas : refuser ou choisir des courses lorsqu’il est libre ; faire usage des moyens audio et audiovisuels sans l’assentiment des clients ; fumer à bord du véhicule». Par contre, il peut refuser «de prendre en charge les personnes en état d’ébriété ; les personnes dont la tenue ou les bagages sont de nature à salir ou à détériorer l’intérieur du véhicule ; les clients accompagnés d’animaux domestiques qui ne sont pas contenus dans des cages ou autres contenants appropriés ; un client s’il est à moins de 50 mètres d’une station de taxi où des taxis libres attendent» (article 27).
Ce cahier de charge résume tous les aspects du métier de “taxieur” et les modalités d’acquisition d’une autorisation d’exploitation. A ce titre, un conducteur de taxi est tenu de remettre à un client qui le demande un reçu sur lequel est inscrit le prix de la course. Ainsi, l’article 25 stipule que «le conducteur de taxi doit être muni d’un carnet à souche (reçus) sur lequel doivent être imprimés le nom, prénom de l’exploitant et le numéro d’ordre chronologique. Il est tenu de délivrer au client qui en fait la demande un reçu, dûment rempli et signé par le conducteur de taxi, sur lequel, est inscrit le prix de la course».
En outre, ce cahier de charge exige aussi du conducteur de taxi, dans son article 24, qu’il «porte une tenue vestimentaire appropriée à l’exploitation de service de taxi : chemise, pull ou veste, pantalon, chaussures fermées» et qu’il est tenu de «se comporter avec respect et politesse avec les clients», entre autres.
Les autorités signalent dans le cahier de charge que les clients se sentant lésés peuvent se plaindre auprès des directions wilayales de transport, des commissariats ou des brigades de gendarmeries.
source : algerie-focus.com

Une centaine de personnes venues d’Arzew, de Bejaia, Tizi-Ouzou, de Blida, de Tipaza et d’ailleurs se sont rassemblées, samedi, au niveau de la Grande Poste à Alger pour déposer un hommage à Razika Chérif, tuée le 7 novembre dernier de sang-froid à Magra (Wilaya de M’Sila) par un automobiliste à qui elle a refusé ses avances.
Ceux et surtout celles qui étaient là, ce 14 novembre, au niveau du jardin Mohamed Khmissti près de la Grande Poste avaient de la tristesse et de la colère. Razika Cherif a perdu la vie et toutes les possibilités qui peuvent s’offrir encore pour une femme de 40 ans. Juste pour avoir refusé de céder à un dragueur qui s’est transformé en meurtrier.
Celles qui étaient-là pensaient à Razika Cherif mais aussi à d’autres femmes dont la vie s’est arrêtée dans des conditions similaires. La famille de Razika, en manifestant et en demandant justice, a parlé pour celles qui partent en silence.
Une jeune fille portant une pancarte résumait parfaitement l’ampleur de la violence subie au quotidien par les femmes en rappelant cette évidence oubliée par les machistes violents et haineux : « la rue est publique mais mon corps non ».
Et ceux qui étaient présents ont tenu à le rappeler avec force de youyous et des chants patriotiques retentissent. Pour réclamer justice et protection contre la violence. Pour dénoncer aussi ce qu’ils considèrent la matrice du crime : le statut de mineur de la femme et la perception dominante des hommes à leur égard.
Nous qui marchons chaque jour en étant sur nos gardes..
Iman Chiban, jeune architecte de 23 ans, initiatrice de ce rassemblement, souligne que ce crime interpelle toutes les femmes. « Cela nous pousse à réagir, nous qui marchons chaque jour en étant sur nos gardes, nous «qui avons peur de circuler dans la rue dès que la nuit commence à tomber. »
Elle souligne l’ampleur du phénomène du harcèlement sexuel. « Les violences et le harcèlement sont partout. C’est pour cela que j’ai lancé cet appel et je suis contente que cela se soit déroulé dans le calme, sans débordement aucun ».
El Hassen Mostafaoui, un étudiant en médecine vétérinaire de 21ans, a réagi spontanément à l’annonce de la nouvelle en allant dans la rue, à Hadjout, en parler aux gens. Il avait rédigé des tacts portant comportant un texte faisant le récit du meurtre.
"Je suis sortie le 17/11/2015 et j’ai remarqué qu’un homme dans une voiture me guettait. il me suivait parfois, me parlait aussi. Il voulait que je monte avec lui, j’ai poursuivi mon chemin, il n’est pas dans mes habitudes de parler à des inconnus. Son insolence s’est répétée, j’ai eu beaucoup peur. J’ai hâté le pas sans accorder d’importance à ce qu’il disait. Il s’est allumé de colère car je suis une femme et qu’il est homme. Il a vu dans mon refus de lui parler un mépris. En un instant ma vie s’est arrêtée, mon rêve perdu…"
Ce tract, il l’a imprimé et distribué sur l’autoroute Alger- Tipaza. Lui et d’autres jeunes, sont venus pour afficher leur volonté d’agir contre le harcèlement et les violences que subissent quotidiennement les femmes.
« L’acceptes-tu pour ta mère ou pour ta sœur ? L’assassinat fait de toi un criminel maudit, l’amour fait de toi un homme. Alors sois un homme » lit-on a la fin du tract qui inclut des versets coraniques réprouvant et prohibant la violence.
Ce sentiment d’urgence à agir contre le harcèlement est partagé. Des passants rejoignent le rassemblement pour des débats improvisés autour de l’arbre ou des fleurs et des lettres d’hommage ont été posées.
Un petit rassemblement pour dire la colère, pour rendre hommage à celle qui a été arrachée violemment à la vie. Une alerte. Un mouvement à étendre…
source et crédit photo : huffpostmaghreb.com

« Le salon de la gastronomie et du foodie » qui aura lieu à la Safex du 19 au 21 mars 2018 promet un riche programme :
Ateliers culinaires, echanges avec des artisans et des industriels, concours culinaires ainsi que d’autres surprises vous attendent à partir de 10h au pavillon « s » de la SAFEX.
L'entrée est fxée à :
50 DA pour les adultes
20 DA pour les moins de 12 ans
NB : la billetterie sera versée aux associations
Meriem 22 Juillet 2017 à 10:02:36
Super, merci bcp