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la Gourmandise qu’elle soit salée, sucrée, chaude ou froide sera à l'honneur lors du 1er Salon international "Ma Gourmandise" en Algérie, avec cette année l'Edition Chocolat; et ce sous le haut patronage de monsieur le Ministre du Commerce et de Monsieur le ministre de la formation professionnelles.
Il regroupera du 13 au 16 Mai 2015 ( 11h à 18) au Palais des Expositions des Pins Maritimes d'Alger une riche panoplie d'exposant et plein d'opportunité de formation et de création de micro-entreprise.
Cette première manifestation économique, aspire à mettre en avant les acteurs d'une filière qui d'amont en aval induit une dynamique économique créatrice d'emplois et de débouchés. Une activité qui attire de plus en plus d’investisseurs nationaux et étrangers vu l'énorme capacité d’absorption du marché Algérien.
Au programme, plein de dégustation, d'animations et le " Concours Anastasiadou" organisé par la chef qui porte le même nom, élève du célèbre maitre français Paul Bocuse. Un concours dédié aux professionnels, aux étudiants des écoles et instituts, et aussi aux amateurs de l'art culinaire. Le concours sera agrémenté par un défilé de tenues comestibles spécialité breveté de la Chef, un plaisir pour les yeux et pour le palais.
Des journées thématiques consacrées pour chaque spécialités, de nombreux cadeaux et surprises seront au rendez-vous.
Le sucre ajouté plus dangereux que le sel ?
Or, récemment, une analyse publiée par des chercheurs américains dans la revue «Open Heart», le sucre ajouté semble avoir un rôle plus important dans la santé Cardio vasculaire.
Des chercheurs de l’Institut de Cardiologie Saint Luke’s Mid America, à Kansas City, et la faculté de médecine Albert Einstein de New York ont analysé plusieurs études publiées sur ce sujet et en ont conclu que le sucre ajouté joue aussi un rôle plus important dans ces maladies que le sel.
En effet, la réduction moyenne de tension artérielle obtenue en diminuant la consommation de sel n’est en fait que relativement faible, déclarent les auteurs.
Par contre, la diminution de la consommation de sucre a un retentissement beaucoup plus important.
Les recherches ainsi que les études et les essais cliniques indiquent que le sucre est nettement impliqué dans l’apparition de l’hypertension.
Non seulement l’hypertension mais aussi le risque cardiovasculaire global est influencé par le sucre.
Au début du 19ème siècle, une personne habitant dans un pays industrialisé consommait environ 5 kilogrammes de sucre raffiné par an.
Depuis les années 1970, ce chiffre a atteint environ 35 kilogrammes par an. Cela comprend le sucre incorporé dans les biscuits, pâtisseries et diverses préparations.
Et la consommation continue d’augmenter inexorablement surtout dans les pays en voie de développement (environ 60% de la consommation mondiale).
«La consommation de sucre augmente le taux d’insuline, ce qui active le système nerveux sympathique, responsable de l’augmentation du rythme cardiaque et de la pression artérielle», explique James J. Di Nicolantonio, responsable de cette étude et chercheur dans le domaine cardiovasculaire à Kansas City (Missouri).
Ainsi, si une personne augmente sa consommation de sucres ajoutés de plus d’un quart de ses calories quotidiennes a trois fois plus de risques de développer des maladies cardiovasculaires qu’une personne dont la part de sucre supplémentaire représente moins de 10%.
D’après ces études, une consommation quotidienne de plus de 74 grammes de fructose augmenterait de 30% le risque d’avoir une pression artérielle supérieure à 140/90 et de 77% le risque d’une pression plus haute que 160/100.
Les chercheurs accusent surtout le sirop de maïs riche en fructose, qui est l’édulcorant le plus fréquemment utilisé dans les aliments transformés, sans oublier les boissons gazeuses (sodas).
Robert Lustig, endocrinologue pédiatrique à l’Université de Californie, affirme que le fructose, n’est pas vraiment inoffensif !
Car à l’inverse du glucose, il ne va pas directement dans les cellules grâce à l’insuline mais doit être métabolisé par le foie, tout comme l’alcool.
Ainsi il fait monter le taux de triglycérides dans le sang, ce qui augmente aussi le risque de maladies cardiovasculaires.
Or le fructose est présent dans toute l’alimentation transformée avec les sirops de glucose-fructose, les sodas, biscuits, pâtisseries et autres friandises.
Il est important de noter que le fructose en poudre, acheté dans les magasins n’est pas extrait des fruits mais de l’amidon.
D’ailleurs James J. Di Nicolantonio confirme : «Il est métabolisé en priorité par le foie, et perturbe son fonctionnement et celui du pancréas, ce qui à terme augmente le stockage des graisses dans les organes internes et par conséquent le risque de développer une maladie métabolique ou un diabète. Autant de facteurs de risques supplémentaires pour le système cardiovasculaire».
L’Organisation Mondiale de la Santé recommande de consommer maximum 5% des calories journalières dues au sucre.
Pour une personne adulte, cela équivaut à 5 ou 6 cuillères à café par jour et pour un enfant seulement 3 cuillères à café, toutes sources confondues : biscuits, jus, confiture sur la tartine, etc…
Or, je rappelle qu’une cannette de soda contient environ 30 grammes de sucre, soit l’équivalent de 6 cuillères à café de sucre.
Avec une seule cannette, le plafond journalier est déjà atteint !
Par contre, il est important de savoir que les auteurs précisent que les sucres qu’on retrouve naturellement dans les fruits et légumes ne sont pas nocifs pour la santé, bien au contraire.
Je rappelle que les maladies cardiovasculaires sont les principales causes de décès prématurés dans les pays développés.
Les auteurs concluent qu’une baisse de la consommation de sucre en réduisant les sucres ajoutés dans les aliments transformés est plus que judicieuse.
La seule façon d’y arriver est de consommer surtout des aliments complets et naturels, et d’éviter coûte que coûte les sodas, les sauces et plats préparés industriellement, ainsi que les pâtisseries, les crèmes glacées et en général, bien sûr, toutes les sucreries.
source article : topsanté.com
Bien qu’il puisse sembler évident qu’une bonne randonnée à travers une forêt ou une montagne peut purifier votre esprit, le corps et l’âme, la science est en train de découvrir que la randonnée peut réellement changer votre cerveau … pour le mieux!
Ce médecin, et tant d’autres d’ailleurs, sont en accord avec le fait que la randonnée en nature sauvage et rustique est une thérapie à part entière pour l’esprit, l’âme et le corps.
Voir plus: Les médecins nous expliquent à quel point la randonnée peut transformer notre cerveau
« La paix de la nature va s’infiltrer en vous comme les rayons du soleil pénètrent les arbres. Le vent va vous insuffler sa fraîcheur, et les orages leur énergie, en même temps que les soucis tomberont comme les feuilles d’automne », a écrit John Muir dans Our National Parks. De toute évidence, John Muir comprenait la valeur fondamentale de passer du temps dans la nature.
Comme John Muir, nous sommes nombreux à reconnaître que randonner dans la nature est bon pour le corps, l’esprit et l’âme. Marcher dans les bois tout en observant les oiseaux et les feuillages colorés, en humant l’arôme des épicéas et des pins, et en écoutant le murmure apaisant d’un cours d’eau, tout cela dégage notre esprit et nous nous sentons bien. Heureusement, les médecins sont d’accord. Les études successives montrent que passer du temps à randonner dans la nature procure de multiples avantages pour la santé mentale.
La randonnée dans la nature réduit la rumination
Ceux qui ruminent ou se concentrent sur trop de pensées négatives sur eux-mêmes peuvent présenter de l’anxiété, la dépression et d’autres problèmes tels que des crises de boulimie ou un trouble de stress post-traumatique. Dans une étude récente, les chercheurs ont voulu savoir si passer du temps dans la nature affecte la rumination et ils ont constaté qu’une excursion dans la nature diminue ces pensées négatives obsessionnelles.
Dans cette étude, les chercheurs ont comparé la rumination signalée par des participants qui ont fait une randonnée dans un environnement urbain ou dans la nature. Ils ont trouvé que ceux qui avaient marché pendant 90 minutes dans la nature, un environnement de prairies près de l’Université de Stanford, ont signalé moins de rumination et avaient également réduit l’activité neuronale dans le cortex préfrontal subgenual, qui est associée à la maladie mentale. Ceux qui avaient marché dans un environnement urbain n’avaient pas éprouvé les mêmes bienfaits.
Ces chercheurs expliquent que notre monde devient de plus en plus urbain et que l’urbanisation est liée à la dépression et d’autres formes de maladie mentale. Visiblement, nous éloigner d’un environnement urbain et passer du temps à l’extérieur où il y a moins de stress mental, moins de bruit et moins de distractions peuvent être bénéfiques pour notre santé mentale.
La randonnée en se déconnectant de la technologie stimule la résolution créative de problèmes
Selon une étude de Ruth Ann Atchley et David L. Strayer, la résolution créative de problèmes peut être améliorée en se déconnectant de la technologie et en renouant avec la nature. Dans cette étude, les participants ont randonné dans la nature pendant environ quatre jours et ils n’étaient pas autorisés à utiliser la technologie. On leur a demandé d’effectuer des tâches exigeant de la créativité et la résolution de problèmes complexes. Ils ont constaté que les participants immergés dans la nature avaient des performances accrues de 50 % dans les tâches de résolution de problèmes.
Les chercheurs indiquent que la technologie et le bruit des zones urbaines accapare sans cesse notre attention et nous empêche de nous concentrer, ce qui affecte nos fonctions cognitives. C’est pourquoi lorsque nous nous sentons submergés par les contraintes de la vie urbaine et les connexions 24 /7, les balades dans la nature peuvent être une puissante médecine. Elles réduisent notre fatigue mentale, apaisent notre esprit et nous aident à penser de façon créative.
Elles peuvent améliorer le TDAH chez les enfants
Les enfants souffrant de TDAH ont généralement du mal à rester concentrés, sont facilement distraits, présentent des troubles d’hyperactivité et ont de la difficulté à maîtriser leurs impulsions.
Cela peut être déconcertant parfois d’élever des enfants souffrant de ce trouble. Néanmoins, de belles nouvelles sont venues du monde médical et scientifique. Dans une étude menée par Frances E. Kuo, PhD et Andrea Faber Taylor, PhD, les chercheurs ont constaté que l’exposition de ces enfants à des « activités de plein air et dans la nature » réduisait leurs symptômes. Ainsi, selon cette étude, les bénéfices de l’exposition à la nature peuvent s’étendre à toute personne ayant les symptômes d’inattention et d’impulsivité.
Les médecins concluent que de simples changements impliquant des activités dans la nature peuvent améliorer l’attention. Par exemple, même s’asseoir plus longtemps devant une fenêtre ouvrant sur un paysage de verdure, participer à une après-midi de balade dans la nature ou simplement jouer au ballon dans le parc peuvent soulager les symptômes du TDAH.
La randonnée dans la nature est un excellent exercice, qui stimule l’intelligence
Nous avons tous entendu l’expression un esprit sain dans un corps sain. La randonnée dans la nature est une excellente forme d’exercice et cela peut brûler entre 400 et 700 calories en une heure, selon la difficulté de la marche. L’avantage supplémentaire est que la randonnée n’est pas aussi contraignante pour nos articulations que d’autres formes d’exercice comme la course. De plus, il est avéré que ceux qui font de l’exercice à l’extérieur sont plus susceptibles de se tenir à leurs programmes d’exercice, ce qui rend la randonnée un excellent choix pour ceux qui envisagent d’intégrer l’exercice dans leur vie quotidienne.
L’esprit et le corps sont naturellement reliés. L’exercice aide à maintenir les cellules de notre cerveau nourries et en bonne santé. En fait, selon les chercheurs de l’Université de Colombie Britannique, l’exercice en plein-air peut même améliorer la mémoire et les capacités cognitives. Dans l’étude, ils ont trouvé que l’exercice en plein air augmente le volume de l’hippocampe chez les femmes âgées. L’hippocampe est une partie du cerveau associée à la mémoire spatiale et épisodique.
Non seulement l’exercice améliore la capacité cognitive et peut prévenir son déclin, comme montré dans l’étude, mais il peut également réduire le stress et l’anxiété, stimuler l’estime de soi, et libérer des endorphines (les hormones du bien-être). Il est étonnant qu’une activité physique aussi simple et bon marché que la randonnée puisse procurer tant de bienfaits pour la santé mentale.
La randonnée est maintenant prescrite par les médecins
Est-ce que votre médecin vous a déjà dit de « faire une randonnée » ? Ce n’est pas une phrase que nous voulons spécialement entendre, surtout de la part de notre médecin, mais ils ont en fait notre bien-être à l’esprit. Les médecins progressistes sont maintenant conscients que les gens qui passent du temps dans la nature souffrent moins de stress et jouissent d’une meilleure santé physique.
Selon WebMD, de plus en plus de médecins écrivent « des ordonnances de nature » ou recommandent « l’écothérapie » pour réduire l’anxiété, améliorer les niveaux de stress et pour lutter contre la dépression. De plus, les prescriptions de nature deviennent mieux acceptées par les fournisseurs traditionnels de santé car de plus en plus de recherches montrent les bienfaits de l’exercice et du temps passé dans la nature.
L’Etat de Californie est traditionnellement l’un des Etats les plus progressistes dans le domaine de la santé alternative. A titre d’exemple, l’Institute at the Golden Gate a mené un combat pour promouvoir l’écothérapie grâce à son initiative « Healthy Parks Healthy People (HPHP) ». Dans ce programme, des organisations associatives travaillent avec les professionnels de santé pour améliorer la santé de leurs parcs, et pour promouvoir l’utilisation des parcs en tant que moyen de regagner la santé pour les personnes qui y viennent.
Comment commencer à faire de la randonnée ?
Heureusement, la randonnée est l’un des sports les plus faciles et les moins chers, et c’est amusant et bénéfique pour toute la famille. Si vous êtes juste un débutant, n’envisagez pas l’ascension du Mont-Blanc . Vous pouvez commencer par des petites marches. Découvrez les sentiers locaux de petite randonnée et assurez-vous d’entreprendre une distance sûre et confortable. Vous pouvez trouver des guides de randonnée par régions, ou en ligne, et il existe des applications smartphone pour vous aider à trouver les meilleurs sentiers pour votre niveau et vos intérêts.
Assurez-vous de porter des chaussures de randonnée robustes et appropriées pour le terrain. Lorsque vous les choisissez, n’hésitez pas à parcourir le magasin de long en large plusieurs fois afin d’éviter que les chaussures vous blessent par la suite. Selon les goûts, vous pouvez envisager des bâtons de marche, qui pour certains réduisent le stress sur les genoux, augmentent la vitesse et améliorent la stabilité. Prévoyez autant de vêtements que nécessaire selon la météo, et portez des vêtements aérés en tissus qui laissent la transpiration s’évacuer et permettent de rester au chaud. Utilisez des lunettes de soleil et un chapeau pour vous protéger du soleil. Restez hydraté et amusez-vous !
Etude publiée dans Proceedings of the National Academy of Sciences
POUR LIVRER LEURS EXPÉRIENCES DANS LES AFFAIRES D’ENLÈVEMENTS D’ENFANTS
Des experts du FBI à Alger
Hier en marge d’un séminaire sur les kidnappings de mineurs, le général-major Menad Nouba, commandant de la Gendarmerie nationale, a indiqué qu’une délégation d’experts du FBI séjourne à Alger du 19 et 23 février courant. À l'École supérieure de la Gendarmerie nationale (ESGN) de Zéralda, les agents du célèbre bureau fédéral d’enquêtes américain partagent leurs expériences dans la résolution des affaires liées à la disparition, souvent forcée, de mineurs.
Depuis cinq ou six ans, le phénomène, très important aux USA, prend de l’ampleur en Algérie. Des dizaines d’enfants ont été enlevés. Rien qu’en 2016, l’Algérie a enregistré 23 cas d’enlèvements, dont 17 cas ont été élucidés et 6 autres font l’objet d’investigations. La majorité d’entre eux ont été retrouvés assassinés dans des conditions brutales, comme ce fut le cas, en été dernier, pour la petite Nihal, quatre ans.
Les services de sécurité multiplient certes les efforts pour éviter une récurrence des disparitions aux issues dramatiques. Un plan alerte enlèvement, assorti d’un numéro vert, a été mis en place au début de l’année 2016.
La société civile est assurément plus consciente des dangers qui guettent les gamins.
Jusqu’alors, les actions entreprises ne suffisent pas à endiguer cette forme de violence. C’est dire que l’expertise des agents du FBI est importante pour mieux comprendre le phénomène et surtout savoir comment le combattre.
source : liberte-algerie.com
Astuce en image : faire une glace avec un seul ingrédient
Astuce : selon votre envie, vous pouvez ajouter quelques pépites de chocolat sur votre glace.
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.