carnet d'adresses de complexes et stations thermales : 15 Février 2014 Carnet d'adresses: Beauté, Spa, sport, Mariage, Association
Hammam boughrara , Tlemcen
Bureau : +213 (0) 43.30.11.77 - 213 (0) 43.30.14.76
Hammam bouhanifia , Bouhanifia , Mascara
Bureau : +213 (0) 45.86.71.33
Bureau : 213 (0) 45.86.71.77
Hammam righa , Hammam righa , Ain defla
http://www.hammam-righa.com
Bureau : +213 27 64 31 31
Complexe Chellala , Hammam debagh , Guelma
https://www.facebook.com/pages/Complexe-thermal-Hammam-chellala/164202906959473?id=164202906959473
Bureau : 037 22 80 26 - 27
Complexe thermal Hammam Salihine
Route de Batna, Biskra.
http://www.hammam-salihine.com
Bureau : 033 75 96 32
Station thermale Hammam Rabbi
Hôtel des eaux thermales, Saida , Saida
: http://www.hoteldeseauxthermalessaida.sitew.com
: hoteldeseauxthermales@hotmail.fr
Bureau : +213 048 46 61 95
Hammam bouhdjar , Hammam bouhadjar , Ain timouchent
Bureau : 213 (0) 43.71.63.79
Complexe thermal Hammam Guergour
Hammam Guergour, Bougaa, Setif
http://www.hammamguergour-egt.com
Bureau : 036 80 24 38
Article recommandé
- Viandes, charcuteries,
- toutes céréales raffinées. Dans la mesure du possible, éviter le blé, même complet.
- produits laitiers (seul le yoghourt 2% ou moins est autorisé, en petite quantité),
- alcool, café,
- desserts sucrés et sucre en général.
- Les féculents et toutes les fèves.
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Nous sommes nombreux à commettre quelques excès durant la période des fêtes. Le résultat peut-être un gain de poids ou une baisse de vitalité, caractérisée par une plus grande fatigue, voire une petite dépression.
La période des fêtes est un moment propice pour consommer plus que de coutume des aliments produisant une augmentation des déchets toxiques dans l'organisme. Viandes, alcools, sucreries, de même qu'une réduction des heures de sommeil et pour certains s'ajoute l'exposition aux fumées de cigarettes.
Nous vivons dans un monde pollué. Des milliers de composés chimiques sont relâchés dans l'atmosphère, contaminant l'air que nous respirons, de même que l'eau et les aliments que nous consommons.
De façon à bien entamer l'année, quoi de mieux qu'une petite cure de désintoxication, d'un petit coup de fouet à notre métabolisme.
Il n'est pas nécessaire de pratiquer un jeûne pour nettoyer notre organisme. Nous ne recommandons d'ailleurs pas la pratique du jeûne en dehors d'un établissement spécialisé, procurant un suivi professionnel.
Purifier son organisme signifie de le débarrasser des nombreuses toxines ou éléments nuisibles à la santé qui se sont accumulés au fil d'une alimentation inadéquate et de la respiration d'un air pollué.
Le principe de la désintoxication est simple. Notre organisme possède les organes nécessaires pour accomplir ce travail. Ce sont les émonctoires, c'est-à-dire le foie, les reins, les intestins, les poumons et la peau.
Une bonne cure consiste à réduire l'apport d'éléments toxiques pour faciliter le travail des émonctoires. Nous l'avons déjà mentionné, il n'est pas nécessaire de pratiquer une solution aussi radicale que le jeûne. Une diète allégée, éliminant certains types d'aliments et favorisant d'autres sera suffisantes.
Les émonctoires au travail libéreront de nombreux déchets toxiques dans le sang et les liquides organiques. Ceux-ci devront être rapidement neutralisés et éliminés de l'organisme. La consommation de certains éléments nutritifs, de certaines plantes et vitamines, contribuera à une élimination plus rapide de ces déchets.
Voyons en pratique le déroulement de la cure :
Règle numéro 1 :
Boire au minimum 2 litres de liquide par jour.
Le plus possible sous forme d'eau (purifiée, filtrée ou de source faiblement minéralisée) et de tisanes.
Règle numéro 2 :
Aliments à ne pas consommer durant la cure :
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Vous n'êtes pas obligé de suivre à la lettre ces recommandations. Cependant plus vous serez proches de ce plan, meilleur sera le résultat. Si cela vous est difficile, allégez le plus possible vos repas, et surtout évitez le sucre (attention, il se cache partout!), le café et l'alcool. On ne peut parler de cure de désintoxication en leur présence.
Règle numéro 3 :
Suppléments de plantes et vitamines pour favoriser l'élimination des toxines, protéger l'organisme et appuyer le travail des émonctoires. Ces suppléments sont indispensables à une bonne désintoxication de l'organisme.
Le chardon marie, le radis noir et l'artichaut sont les trois plantes qui aideront le foie et la vésicule biliaire. Idéalement sous forme d'ampoules buvables qui combinent ces trois plantes (une ampoule le matin et une le soir, avant les repas).
La camomille, sous forme de tisane. Une tasse après chaque repas.
La vitamine C (1.000 à 4.000 mg par jour, selon la tolérance. Une forte dose de vitamine C peut provoquer de la diarrhée chez certaines personnes. Dans ce cas il suffit de réduire la dose. Il n'y a aucun danger de consommer de fortes doses de cette vitamine).
Acide alpha-lipoïque (capsules ou gélules de 50 à 100 mg). Il s'agit d'un antioxydant très puissant. Ses qualités hydrosoluble et liposoluble en font un supplément très versatile. Il contribue à régénérer la vitamine C, la vitamine E et le glutathion. Il a la propriété de s'attacher aux métaux lourds toxiques, tels que le plomb, l'aluminium ou le mercure, que l'on peut retrouver dans les tissus gras de l'organisme.
Le curcuma et le gingembre. Si vous ne les utilisez pas régulièrement dans vos préparations de repas, on les retrouve en gélules, soit individuellement ou combinés. Prendre 6 gélules par jour. Ces deux plantes possèdent des qualités désintoxicantes, anti-inflammatoires et stimulantes indispensables dans une bonne cure de désintoxication.
Un léger laxatif, sous forme de tisane (à base de séné et cascara sagrada) ou sous forme de graines de psyllium, pour aider les intestins.
Probiotiques : capsules de yoghourt, pour refaire la flore intestinale. Les " bonnes " bactéries sont indispensables pour maintenir une flore intestinale saine. Elles permettent de combattre les bactéries et virus pathogènes de même qu'à l'assimilation de nutriments indispensables, telles que certaines vitamines.
Règle numéro 4 :
Donnez à votre organisme l'opportunité de s'oxygéner. Les poumons et la peau font parties des organes éliminateurs, les émonctoires.
L'exercice physique est une excellente option, mais une simple marche rapide de 30 minutes fera très bien l'affaire. Si vous ne voulez pas sortir et que vous disposez d'une bicyclette statique, pédalez agréablement devant une fenêtre ouverte!
Conclusion:
Suivez ces 4 règles durant une à deux semaines et vous sentirez les effets jour après jour. Très vite vous constaterez un regain d'énergie, un sommeil plus réparateur et si vous avez quelques kilos de trop, vous les verrez fondre comme neige au soleil!
La ministre de l’Education nationale interdit aux enseignants d’infliger des sanctions aux élèves lors des conseils de classe. Les mentions avertissement et blâme sont désormais à bannir sur les bulletins trimestriels des élèves, selon une instruction du ministère de l’Education nationale qui interdit des mentions outre que excellent, félicitation, encouragement et tableau d’honneur. Les enseignants doivent se contenter de décerner des observations pour les élèves n’ayant pas le profil pour ces mentions.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Les enseignants sont sommés de rester positifs dans leurs appréciations des élèves. L’instruction ministérielle numéro 68 publiée le 12 juillet 2018 relative aux conseils des classes dans les cycles moyen et secondaire interdit formellement aux enseignants de noter sur le bulletin d’un élève la mention avertissement ou blâme.
«Le conseil de classe peut décerner, au vu des résultats trimestriels obtenus, des récompenses aux élèves brillants en décernant des mentions : excellent, félicitation, encouragement et tableau d’honneur», stipule l’instruction.
Et de préciser que concernant les élèves n’ayant pas le profil d’obtenir les mentions citées, l’enseignant doit donner des appréciations ou des observations leur permettant d’améliorer leur niveau. Une énième aberration, selon les syndicats.
Boualem Ammourra, président du Satef, estime que c’est inacceptable. Selon lui, «nous ne vivons pas en Suisse, la majorité des élèves sont turbulents et on nous demande, avec cette instruction, de les gâter et de leur donner beaucoup plus de liberté en nous interdisant de leur donner des sanctions. Je suis d’accord pour le blâme, mais pour un avertissement c’est une alerte pour l’élève et ses parents».
Le président du Satef souligne que l’on ne peut pas prendre ce genre de décision derrière un bureau loin de la réalité du terrain.
Selon lui, actuellement, l’enseignant et l’administration n’ont aucun moyen ni pouvoir sur l’élève pour le pousser à travailler ni à être discipliné. «Ils ont interdit les châtiments corporels et nous avons été d’accord, mais nous ne comprenons pas pourquoi interdire aussi les avertissements, comment allons-nous pouvoir punir les élèves d’autant que même les parents sont démissionnaires, nous devons sanctionner car nous ne sommes pas dans un milieu favorable et calme, nous sommes devant des élèves qui manquent d’éducation et autant rentrer chez nous si nous n’avons pas les moyens de pression sur l’élève», s’insurge le syndicaliste qui dit que les élèves ont déjà le pouvoir sur beaucoup de choses actuellement. Il estime qu’«en désarmant l’enseignant des sanctions, l’élève sera plus indiscipliné et rentrera encore plus dans la provocation des enseignants».
Meziane Meriane, coordonnateur du Snapest, estime que l’élève doit être secoué et remis à sa place lorsqu’il ne respecte pas les lois établies par son établissement. Il explique que l’enseignant attribue un blâme lorsque l’élève obtient une moyenne inférieure à 5 et un avertissement lorsque la moyenne est inférieure à 8. C’est donc une manière, dit-il, de tirer la sonnette d’alarme pour que les parents sachent que leur enfant risque de redoubler ou d’être exclu. «Si le ministère de l’Education estime que donner un blâme c’est blessant, il doit trouver une autre formule mais nous ne pouvons pas le supprimer sans le remplacer, c’est une erreur, car nous devons avertir les parents et tirer la sonnette d’alarme sur les résultats de l’enfant et si cette mention porte préjudice à l’élève, nous devons, tout de même, trouver un moyen d’avertir les parents que leur enfant risque d’être exclu ou de redoubler», suggère M. Meriane.
Les Journées de la mode en Algérie ont pour objectif de réunir des stylistes algériens et leurs confrères venus d’autres horizons. Découverte de talents, regards croisés sur le vêtement et son évolution contemporaine, imaginaire culturel, tels sont les ingrédients de ces rencontres initiées à Constantine et qui rayonnent aujourd’hui dans toute l’Algérie. L’Institut français d’Algérie propose cette manifestation dans ses cinq antennes ; celle-ci est devenue un rendez-vous du mois de mai prisé du public puisqu’il propose à chaque fois des rencontres, des films, des expositions et, en point d’orgue, des défilés de créateurs.
Associées à de grands partenaires, ces Journées de la mode relaient cette année la Maison méditerranéenne des métiers de la mode en présentant plusieurs stylistes ayant reçu le Mediterranean Fashion Prize. Au programme, et en plus d’un défilé de mode organisé jeudi dernier au Sofitel Alger, l’Institut français d’Alger accueille, jusqu’au 28 mai prochain, l’exposition “Accessoires de mode, mais pas que…”, de Cyrille Robin, un photographe spécialisé dans l’image de mode et de design. Formé en France à la prestigieuse École nationale supérieure Louis-Lumière, Cyrille Robin fait partie de la nouvelle génération des photographes de mode français. Du côté de Constantine, l’exposition “Carte blanche à Cyrille Robin” se tient actuellement à l’Institut français. Outre un défilé de mode hier au Novotel Constantine, l’IF Constantine abritera aujourd’hui la conférence “L’art et la mode” qui sera animée par Caroline Hanny, artiste plasticienne spécialisée dans la performance. Plusieurs défilés de mode seront organisés : demain au consulat général de France à Annaba, le jeudi 21 mai au Méridien d’Oran, et le samedi 23 mai au Renaissance de Tlemcen. De plus, l’exposition “Carte blanche à Cyrille Robin” sera visible à l’Institut français d’Oran, puis à celui de Tlemcen.
source : algerie360.com
crédit photo : mode-tendance-by-helline.fr
Les antidépresseurs font peur et suscitent beaucoup de méfiance. Pourtant, ces médicaments ont une réelle efficacité dans les dépressions. Ils opèrent dans le cerveau notamment en augmentant le taux d'un neurotransmetteur appelé sérotonine ( hormone du bonheur).
▪Les antidepresseurs ne sont pas efficaces.
• C’est faux ! Les études sur les dépressions donnent des résultats incontestables : les antidépresseurs sont plus efficaces qu’un placebo. L’amélioration des symptômes (tristesse, fatigue, troubles du sommeil…) est perceptible au bout de deux ou trois semaines. Pour une efficacité optimale, la durée du traitement ne doit pas être inférieure à six mois, et le traitement sera diminué progressivement par votre médecin. Dans les cas les moins sévères, les psychothérapies cognitivo-comportementales(TCC) sont plus indiquées.
▪Les antidépresseurs induisent une dépendance.
•Faux ! Contrairement aux anxiolytiques, il n’y a pas de dépendance aux antidépresseurs au sens d’une addiction, c’est-à-dire sans pouvoir s’arrêter. Une chose est sûre cependant : l’arrêt brutal du traitement peut provoquer des vertiges ou un sentiment de tension pendant quelques jours. Arrêter un antidépresseur doit se faire progressivement avec votre medecin.
▪Les antidépresseurs rendent fou!
•Faux! La dépression n'a rien a voir avec la folie et encore moins les antidépresseurs qui sont censés améliorer l'état de santé psychique d'un patient.
Dr Otmane Telba Médecin Psychiatre
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