
ALGER -"Eyes on tomorrow", une exposition de photographies de trois jeunes artistes italiens qui portent une réflexion sur les rapports entre l'homme, la nature et la technologie, a été inaugurée mercredi soir à Alger.
Accueillie à l'Institut culturel italien d'Alger, l'exposition regroupe une sélection d’œuvres de Giulia Vigna, Marina Caneve et Irene Fenara.
Dans une scénographie originale, basée sur l'utilisation de structures modulaires en bois, les artistes portent une réflexion sur différents thèmes liés notamment à l'environnement à travers une approche recherchée et des aspects nouveaux.
Présente au vernissage, Giulia Vigna propose un voyage "imaginaire" à travers six photographies narratives, soigneusement choisies et agencées.
Déclinées sous forme d'un journal visuel, ses œuvres racontent une histoire, celle d'un camionneur qui prend des photos lors de son voyage en Sibérie. "Mes images sont des portions de photographies prises par des utilisateurs ordinaires. Elles racontent à travers, des personnages fictifs, le voyage de ce chauffeur de camion et font émerger des enjeux liés à l'impact de l'homme sur l'environnement et le paysage", a expliqué cette jeune artiste.
Dans une approche expérimentale recherchée, Marina Caneve explore, quant à elle, la relation complexe entre l'homme, la nature et la technologie en mettant en évidence la transformation de l’environnement naturel par l’intervention de l’homme qui cherche à exercer son pouvoir sur la nature.
Elle illustre le rapport de l'homme à la nature à travers une série de photos montrant des clôtures et des caméras qui surveillent et suivent les mouvements des animaux dans leur milieu naturel. C'est le cas dans cette photographie qui donne à voir une barrière métallique au milieu d'une réserve naturelle ou encore ce support métallique sur lequel est fixée une caméra de surveillance.
Pour sa part, l'artiste Irene Fenara présente une sélection d’images issues de caméra de surveillance, soulignant ainsi le contraste entre une activité fonctionnelle (mécanique) et une esthétique puissante. Ses photos interrogent le regard de l’observateur et l’objet observé et capturé par une machine (vidéosurveillance).
Organisée par l’ambassade d’Italie en Algérie et l’Institut culturel italien d’Alger, l’exposition fait partie d’un projet dédié à la promotion des recherches dans la photographie italienne. "Eyes on tomorrow" (Un oeil sur le futur) est visible jusqu'au 30 juillet.
aps

Le trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) est le trouble comportemental le plus fréquent chez les enfants.
On estime que 5 % à 8 % des enfants souffrent de TDAH. Il touche autant de filles que de garçons, et le diagnostique se fait vers l'age de 4 a 7ans.
Ce trouble se caractérise par :
1) Une inattention.
2) Une hyperactivité ou impulsivité associer a un troubles d’apprentissage, de l’anxiété et de l’opposition, ces problèmes entraînent souvent des difficultés scolaire et une désocialisation. Bien que ces types de comportements se retrouvent chez tous les enfants, ils sont chroniques et très prononcés dans le cas de ceux qui sont atteints du TDAH avec une perturbation dans différents domaines de la vie du sujet (a la maison, à l’école, dans la rue...).
Dr Otmane Telba Médecin psychiatre

L'event City Moment's revient du 07 au 11 Octobre pour l'événement tant attendu "Le mariage en fête in the City".
Découvrez tout ce dont vous avez besoin pour célébrer le plus beau jour de votre vie, grâce aux plusieurs exposants présents de 10h à 20h à l'étage du centre.
L’Institut Culturel Italien d’Alger expose des costumes de cinéma et ce, du 25 mars au 25 avril prochain.
Des costumes italiens d’époque, du 14ème au 19ème siècle, de ceux de Marie Antoinette dans film « Marie Antoinette » de Sofia Coppola jusqu’aux costumes de la série télévisée « The Borgias« , seront exposés à l’Institut Culturel Italien d’Alger du 25 mars au 25 avril.
Le vernissage de l’exposition aura lieu le 25 mars 2015 à 19h à la Salle Polyvalentede l’Institut et l’exposition sera ouverte au public dès le lendemain.
Vous pouvez confirmer votre présence au vernissage en appelant au : 021 923 873.
vinyculture

La décision du gouvernement de fermer les universités en les mettant en vacances pour une durée de presque un mois, surprend. Universitaires, citoyens et politiciens réagissent à cette mesure, censée, selon eux, contenir les manifestations des étudiants contre le 5e mandat.
Entre ironie et colère, les internautes algériens dénoncent une “provocation” et une “décision arbitraire”, tout en se moquant de cette “tentative désespérée” des autorités.
Les étudiants à l’instar des enseignants, ont décidé de “ne pas prendre ces vacances”. Des appels à une marche, dimanche 10 mars 2019, dans plusieurs universités du pays, se propagent comme une trainée de poudre sur les réseaux sociaux.
Ce samedi, 09 mars 2019, au lendemain de manifestations pacifiques ayants rassemblées des millions d’Algériens contre le 5e mandat du président Abdelaziz Bouteflika, le ministre de l’Enseignement supérieur, Tahar Hadjar, a signé une décision mettant les universités d’office en vacances à partir de demain 10 mars et jusqu’au 04 avril.
Plus surprenant, des étudiants ont appris auprès des agents de sécurité la fermeture de leur résidences universitaires, où sont hébergés les étudiants venant des autres wilayas.
La nouvelle a surpris beaucoup de personnes. Certains avancent qu’il s’agit des “vacances de printemps les plus longues de l’Histoire de l’Algérie”. D’autres, ironisent et déclarent que le ministère des Affaires religieuses “annoncera dans quelques minutes le début du mois de ramadan pour demain”.
Des internautes ne manquent pas de se moquer du gouvernement algérien, estimant que cette décision souligne “la panique” des autorités face aux manifestations contre le 5e mandat. Ils estiment que cette mesure sera “contre-productive” puisque les étudiants “se consacreront aux manifestations”.
Les concernés, étudiants et universitaires, eux, sont également surpris. Néanmoins, beaucoup ont vite décidé de réagir pour exprimer leur refus contre ces vacances. Ils dénoncent une “décision arbitraire”, qui “n’est pas dans les intérêts des étudiants”.
Des enseignants s’engagent ainsi à dispenser leurs cours durant cette période, “voire gratuitement”.
Les étudiants, eux, s’ils sont tous contre cette décision, divergent quant à la manière de protester. Certains appellent à des marches tandis que d’autres appellent à se rendre dans les facultés et d’assister au cours, de manière normale.
A l’université de Bouira, des dizaines d’étudiants se sont déjà rassemblés à l’entrée du rectorat.
huffpostmaghreb.com

Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.