Jennyfer, la marque cool et trendy ouvre ses premiers magasins à Alger : 05 Avril 2014
Jennyfer, la marque cool et trendy ouvre ses premiers magasins à Alger :
Jennyfer arrive en Algérie le samedi 12 avril à Sidi Yahia et le 14 avril à El Biar.
A cette occasion, la marque Jennyfer organise une grande shopping party dans la boutique de Sidi Yahia, au programme :
-20% sur tout le magasin, Dj, bar à ongles, photo shoot, ainsi que des bons d'achat à gagner.
venez nombreux!
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Améliorer les délais d’étude des dossiers bancaires: Accord BNA-FCE réservés aux femmes d’affaires
ALGER- Un protocole d’accord a été signé lundi à Alger entre la Banque nationale d’Algérie (BNA) et le Forum de chefs d’entreprises (FCE) pour réserver des guichets aux femmes chefs d’entreprises exclusivement.
La cérémonie de signature de cet accord, paraphé par le P-dg de la BNA, Achour Aboud, et le président du FCE, Ali Haddad, s’est déroulée en marge d’une rencontre organisée par cette organisation patronale sur le thème « l’entrepreneuriat féminin: un vecteur pour une croissance économique durable ».
Les ministres, respectivement, de la Communication, Hamid Grine, de la Formation professionnelle, Mohamed Mebarki, de la Solidarité, de la famille et de la condition de la femme, Mounia Meslem, la ministre délégué chargée de l’Artisanat, Aicha Tagabou, ainsi que le secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, ont pris part à cette rencontre.
Selon le P-dg de la BNA, à travers ce protocole d’accord, il s’agit d’améliorer les délais d’étude des dossiers d’investissements et d’attribution des crédits bancaires aux femmes d’affaires afin de mieux les accompagner dans leurs projets.
Pour sa part, M. Haddad a souligné que cet accord était destiné aux femmes d’affaires pour les libérer des contraintes administratives: « Nous sommes là pour aider la femme entrepreneuse à développer ses affaires.
La femme ne doit pas rester marginalisée. Le FCE oeuvre pour valoriser la femme et faciliter son implication dans la sphère économique ».
Il a également avancé que cet accord serait généralisé prochainement avec d’autres banques.
Un autre accord de coopération a également été signé entre le FCE et le ministère de la Solidarité, de la famille et de la condition de la femme afin de renforcer l’entrepreneuriat féminin et de promouvoir les activités de loisirs pour les enfants dans les crèches.
Intervenant, par ailleurs, à cette rencontre portant sur « l’entrepreneuriat féminin: un vecteur pour une croissance économique durable », le président du FCE a soutenu que cette initiative marquait l’intérêt que porte cette organisation patronale pour la cause féminine et sa volonté d’accompagner les femmes d’affaires, tout en mettant l’accent sur les potentialités de l’entrepreneuriat féminin.
Les femmes représentent le plus grand contingent de la population estudiantine et que 70% des nouveaux diplômés sont de la gent féminine, a observé M. Haddad en notant que la problématique est leur insertion dans le monde professionnel et de l’entrepreneuriat.
« Nous comptons actuellement 136.000 femmes chefs d’entreprises. C’est insignifiant devant le potentiel existant », a-t-il considéré.
Pour sa part, le ministre de la Communication a rappelé les avancées enregistrées pour l’émancipation de la femme dans les différents secteurs dans le pays.
Il a indiqué lors de son intervention que la présence de la femme dans le secteur de la communication et à travers les médias s’était nettement améliorée.
« Dans notre secteur, la femme occupe une place plus qu’honorable… Il y a un nombre important de femmes-cadres par rapport aux hommes-cadres », a-t-il soutenu en soulignant le sens de « l’engagement », de la « patience » et de l' »éloquence » des femmes.
Dans ce sens, M. Grine a affirmé que le Prix du Président de la République du journaliste professionnel, qui porte cette année sur le thème de « la femme, acteur majeur du développement socioéconomique », reflétait l’intérêt qu’accorde le Président Abdelaziz Bouteflika à la question de la femme et à sa place dans la société.
Durant cette rencontre, les participants ont noté, néanmoins, que les femmes étaient plus touchées par le chômage que les hommes (16% contre 9,9% chez les hommes) alors que la participation des femmes dans la création d’entreprises ne dépasse pas 13% contre 87% pour les hommes.
Les intervenants ont aussi évoqué le rôle des politiques et des médias pour renforcer l’entrepreneuriat féminin, notamment dans les régions rurales, le rôle de formation pour le développement durable de l’entrepreneuriat féminin et la valorisation des dispositifs d’aide à la création d’entreprises.
elitepresse.com
Dernière chance pour s'inscrire à la session de novembre!
Notre rentrée académique aura lieu le 2 NOVEMBRE 2015 prochain dans les destinations ci-après:
Russell Square Londres, Chicago, New York, Washington D C, Sydney, Bournemouth, Paris, Singapour, Madrid, Munich
Alors ne perdez plus de temps en hésitation et venez vous renseigner auprès de nos conseillers, le dimanche 18 Octobre 2015, à partir de 10h, au bureau EF Algérie : 63 Boulevard Youcef Benkheda/Hydra, Alger.
A très bientot chez EF!
heure : 10h-18h

Son goût agréable fait de la réglisse un aromatisant efficace, mais c’est aussi une des plantes médicinales les plus précieuses grâce à son action antispasmodique, expectorante et anti-inflammatoire. Une des plantes les plus utilisées
Il y a bien longtemps que la réglisse est utilisée par les hommes tant comme aliment que comme médicament. Uniquement issue de plantes poussant à l’état sauvage jusqu’au 13e siècle, la réglisse a commencé à être cultivée à cette époque en Europe méditerranéenne et reste à ce jour une des plantes médicinales les plus prescrites sur le vieux continent. Elle pousse également dans les Balkans, aux États-Unis et en Asie du Sud-ouest, la réglisse doit son nom scientifique au grec glukos (qui signifie sucre) et riza (qui signifie racine).
Tonifier le Qi
La réglisse ( Glycyrrhiza glabra L. ) qui nécessite un sol riche et humide pour croître jusqu’à 1,5 mètre de haut, est une grande plante vivace cultivée pour ses racines et stolons. Elle possède des feuilles composées, ovales et grandes portant des glandes à huile essentielle et des fleurs petites, bleues ou mauves et en grappes allongées.
De la famille des Fabacées, la réglisse contient un constituant bien plus doux que le sucre (l’acide glycyrrhizique) qui offre à la réglisse d’être souvent considérée avant tout comme une friandise (qui n’a jamais mâchouillé dans son enfance un bâton de réglisse ?) D’ailleurs en langue allemande, la réglisse est nommée « Süssholz », littéralement « le bois doux ».
Grand amateurs de racines de réglisse, les Chinois l’utilisent depuis plusieurs centaines d’années dans de nombreuses préparations médicinales traditionnelles : elle a notamment la réputation de tonifier le Qi (c’est-à-dire l’énergie vitale).
Très utilisée en confiserie, la réglisse permet aussi d’aromatiser agréablement les aliments et les boissons. Enfin les racines ont la réputation d’être aphrodisiaques pour les femmes.
Une friandise contre les aphtes
Utilisée en phytothérapie pour son action anti-inflammatoire, la réglisse est traditionnellement utilisée pour soulager les inflammations du système digestif (brûlures d’estomac, douleurs abdominales) en association avec d’autres plantes ainsi que du système respiratoire (en adoucissant les
inflammations en particulier celles des muqueuses… toux, rhume, bronchite) mais aussi les aphtes, les réactions allergiques et le syndrome prémenstruel (commencer 8 jours avant la venue supposée des règles).
En usage externe, la réglisse est traditionnellement utilisée pour traiter l’eczéma et le psoriasis.
Jamais en cas d’hypertension
Mais l’acide glycyrrhizique à qui on attribue principalement les qualités médicinales de la réglisse possède un inconvénient majeur, son action hypertensive et sa capacité à provoquer des œdèmes. Il ne faut donc pas prolonger l’utilisation au-delà de quatre à six semaines consécutives, surtout en cas d’hypertension (même traitée), maux de tête, léthargie, rétention d’eau, insuffisance en potassium, insuffisance rénale, grossesse (dans les traitements longs et pour l’hypertension ou les gastrites chroniques, préférez des extraits déglycyrrhizinés). Il est donc prudent pour les hypertendus d’éviter la consommation excessive d’extrait de réglisse sous forme de bâton ou de boisson.
Mode d’emploi
– En usage interne
Contre les inflammations, racines séchées en infusion ou décoction
de 2 gr à 4 gr de racines séchées dans 150 ml d’eau, en trois prises après les repas (ne pas dépasser 12 gr par jour).
Contre les dysménorrhées, 10 gr par litre, boire 250 à 750 ml par jour après une macération de 5 heures. Contre les symptômes du syndrome prémenstruel, commencer à prendre de la racine séchée ou un extrait déglycyrrhiziné huit jours avant les menstruations.
Contre les brûlures d’estomac, Extrait total sec (330 mg à 800 mg, trois fois par jour, après les repas).
Contre les aphtes, laisser fondre un comprimé d’extrait déglycyrrhiziné (également utile contre les inflammations intestinales) : un à deux comprimés trois fois par jour, vingt minutes avant les repas.– En usage externe
Contre l’eczéma, le psoriasis, utiliser des pommades, crèmes ou onguents à base de réglisse (demander conseil à votre pharmacien).
Le ministère des Transports envisage de réformer les prestations de contrôle technique des véhicules assurées par les organismes agréés. Le ministre, Boudjemaâ Talaï, souhaite que cette expertise ne devienne plus une simple formalité administrative. Il exhorte les gérants de ces structures à ne plus se contenter uniquement d’une évaluation superficielle des véhicules. Pour les motiver, il décide de revoir à la hausse la tarification de cet examen, fixée actuellement à 1 000 DA. Ce qui va garantir, avoue M. Talaï, un contrôle méticuleux et approfondi de la part des ingénieurs.
Compte tenu des lourdes charges auxquelles ils font face, constate-t-il, ces derniers n’effectuent plus leur travail de manière adéquate.
D’où le nombre effarant d’accidents enregistré chaque année en Algérie. À ce propos, M. Talaï évalue le parc national automobile à 8,3 millions d’unités dont 62% sont des véhicules légers, soit un véhicule pour 7 personnes. De ce total, 53% ont 10 ans alors que 37% ont plus de vingt ans. Cette vétusté des véhicules, toujours en circulation, constitue l’une des raisons à l’origine des accidents de la route, causant la mort quasi-annuelle de quelque 4 000 personnes.
Toutefois, plus de 95% des accidents sont provoqués par l’élément humain. Ce constat, on ne peut plus amer, est établi par le ministre des Travaux publics et des Transports, Boudjemaâ Talaï. Face à une telle situation, le département des Transports et des Travaux Publics, s’implique pour trouver des solutions, afin d’arrêter l’hécatombe.
M. Talaï évoque quelques propositions déjà lancées. Il cite le permis à points, projet pour lequel, son ministère semble fin prêt.
“On attend seulement l’approbation de la loi par le Parlement, car nous, nous sommes prêts”, déclare-t-il au forum d’El Moudjahid. Avec la carte grise biométrique, ajoute-t-il, l’“on arrivera à identifier le conducteur à tel moment, à tel endroit”. À l’avenir, l’on projette de procéder à une ponction directement sur compte bancaire de tout contrevenant en guise de sanction.
D’autres mesures jugées indispensables pour éviter les embouteillages sont également prises, notamment l’ouverture des extensions de lignes de métro Haï
El-Badr-Aïn Naâdja et l’autre reliant la Grande-Poste à la place des Martyrs, prévue, d’après lui, à la fin de l’année 2017. Par ailleurs, pour le projet de loi relatif à la réglementation et à la sécurité routière, qui sera présenté aujourd’hui en plénière à l’APN, Boudjemaâ Talaï souligne que la commission des transports et des télécommunications avait proposé l’introduction de nouvelles mesures. Il s’agit, entre autres, de l’obligation de la ceinture de sécurité pour les passagers installés à l’arrière et d’un siège enfant en cas de transport de bébé. Il est en outre proposé que les contrevenants paient une amende de 5 000 DA. En ce qui concerne l’éventuelle augmentation des tarifs des transports qu’induirait la hausse des taxes sur les prix du carburant, prévue par la loi de finances 2017, Boudjemaâ Talaï précise qu’“aucune augmentation n’est prévue dans les tarifs des transports”.
liberte-algerie.com
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.