Comment raviver un tapis ? 19 Avril 2014 Astuces pratiques : Deco§ Cuisine§ Maison et entretien
Comment raviver un tapis ?
Pour entretenir votre tapis, rien de tel qu’un nettoyage annuel. Cette recette permet de raviver les couleurs et l’éclat de votre tapis.
Recette de ménage
- Aspirez votre tapis dans le sens du poil.
- Versez le sel dans votre verre d’eau.
- Ajoutez-y le jus de citron.
- Mélangez l’ensemble.
- Imbibez un tissu avec cette préparation et appliquez sur votre tapis.
- Laissez agir une nuit entière et aspirez le lendemain.
Ingrédients
- Un verre d’eau
- 2 c. à soupe de sel
- Un citron
Équipement
- Un verre
- Un tissu
Les conseils
- Ce nettoyage est recommandé une fois par an.
documentation : grands-meres.net
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- 500g Fraises
- 150g Fromage blanc
- 20cl Crème fleurette entière bien froide
- 4cuil. à soupe Sucre de fructose
- 1Citron vert
- Lavez, séchez et équeutez les fraises. Coupez-les en morceaux et mélangez-les dans un saladier avec le sucre.
- Mettez le fromage blanc dans un saladier et battez-le légèrement au fouet.
- Montez au fouet électrique la crème fleurette très froide en chantilly. Mélangez très délicatement la crème chantilly au fromage blanc.
- Répartissez les fraises dans 4 verres en alternant avec la crème Fontainebleau. Râpez un peu de zeste de citron vert par-dessus. Conservez au frais jusqu’au moment de servir.
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Fontainebleau aux fraises ( sans sucre raffiné )12 Mai 2020
Comment consommer sans complexes et sans prendre un gramme ces aliments trop souvent considérés comme nocifs ? Des nutritionnistes nous donnent le mode d’emploi. Femina.fr
Riches en vitamines et minéraux essentiels
Est-il possible de réhabiliter ces aliments, accusés tout à la fois de faire grossir et d’élever notre taux de sucre sanguin, favorisant du coup la survenue du diabète et de maladies cardio-vasculaires ? Oui, car le pain, les pâtes et les pommes de terre sont riches en vitamines et en minéraux essentiels. Par exemple : le germe de blé regorge de vitamine E, championne de l’antivieillissement.
Mais qui dit germe dit farine non raffinée, donc pain complet. Et c’est là que réside toute la différence ! Selon la qualité de l’aliment, nous absorbons plus ou moins de nutriments intéressants. Ainsi, c’est seulement dans l’enveloppe du blé – habituellement éliminée lors du raffinage – qu’on trouve du phosphore, du magnésium et de la vitamine B antifatigue, qui exercerait de surcroît un rôle modérateur sur l’homocystéine, substance incriminée dans l’encrassement des artères.
On fait la part belle à la mastication
Autres arguments en faveur de l’intérêt diététique d’un pain multicéréale à la farine complète, comparé à un pain demie moelleux ? Son index glycémique (IG) est réduit et on le mâche nettement plus lentement. Un détail ? Pas tant que ça.
Le Dr Arnaud Cocaul, nutritionniste attaché à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, a écrit un livre très convaincant* dans lequel il nous explique pourquoi cette habitude est bénéfique pour la ligne. « La mastication déclenche dans le cerveau, via le nerf trijumeau, la libération de l’histamine, chef d’orchestre de notre appétit. En effet, c’est ce neurotransmetteur qui envoie un message de satiété. Mais pour que le cerveau soit instruit, il faut mâcher longtemps [au moins 20 minutes] et lentement. » Au centre de thalassothérapie de Port Crouesty, on conseille d’ailleurs aux candidats à la minceur de passer… 45 minutes à table ! « Dans toutes mes consultations, je leur expose l’intérêt de la mastication et, quand ils voient qu’ils mincissent plus facilement, ils sont convaincus », explique Corinne Ducaud, diététicienne nutritionniste.
*Le Régime mastication, Thierry Souccar Editions.
On veille au mode de préparation
L’air de rien, ça change tout ! Sous forme de purée, les glucides naturellement lents de la pomme de terre sont plus rapidement assimilés. Cela en fait un aliment à index glycémique élevé, qui incite le pancréas à sécréter plus d’insuline. A la clé, une accélération du passage des glucides dans les cellules et, surtout, leur stockage sous forme de graisses, mais aussi, à la longue, l’apparition d’une insulinorésistance**.
« De plus, vous risquez d’être pris de fringales deux heures après, souligne le Dr Jacques Fricker, nutritionniste. Mieux vaut donc savourer la pomme de terre entière. Par ailleurs, vous avez intérêt à ne pas la rincer et à la cuire avec la peau, quitte à ôter celle-ci ensuite, pour garder intactes ses vitamines hydrosolubles B et C. »
** Dans Science des aliments, vol. 27/4-5, p. 311-316.
On surveille les temps de cuisson
Même principe pour les pâtes, dont l’IG peut varier de 18 quand elles sont al dente à 30 lorsqu’elles sont bien cuites. Bonne nouvelle pour ceux qui ont envie de garder la taille fine sans se priver d’un plat de spaghettis : comme l’indique le Dr Fricker, « si vous ajoutez des légumes à parts égales, d’abord, il est évident que vous allez moins manger de pâtes puisque le volume total de votre assiette, lui, ne va pas changer ; ensuite, les fibres des légumes vont en quelque sorte “piéger” les glucides des féculents et permettre leur élimination par les voies naturelles ; autrement dit, la densité calorique du repas va diminuer ».
Que du bénef pour la forme et la santé !

A l’occasion du #08_Mars_2021 qui sera cette année un lundi, La Ferme Pédagogique d’Alger en collaboration avec l’Association #Saphir ont le plaisir de vous annoncer l’organisation de cet incontournable événement, le vendredi 5 mars 2021.
Au programme, plusieurs artisanes de différents domaines seront présentes pour exposer leur savoir faire ainsi que leur valeur ajoutée à la société algérienne.
Nous recevrons des femmes témoins (Artisanes, Chefs d’entreprise, Professeur d’Université, ….), qui relateront le parcours de leur vie et leur réussite sous forme de Life-Story pour donner l’exemple et inspirer chacune de nous !
Un concours sera lancé au grand public pour présenter les meilleures productions algériennes en tous genres avec
Une récompense aux gagnantes qui seront récompensées pour les œuvres les plus originales. Et pour corroborer cet évènement, y aura également une #expo_vente !
La revue scientifique The Lancet a publié une étude sur les conséquences psychologiques du coronavirus. Pour mener à bien ce travail, publié sur le site nospensees.fr d’autres situations similaires ont été prises en compte (avec un impact différent bien sûr). L’une d’entre elles était, par exemple, la quarantaine qui a été appliquée dans plusieurs villes du Canada à la suite de l’épidémie de SRAS en 2003.
La population a été confinée pendant 10 jours et les psychologues ont également profité de l’occasion pour analyser l’effet de ce type de situation. A partir de ces données et des observations que nous constatons ces jours-ci, nous pouvons estimer que les conséquences psychologiques du coronavirus pourraient être les suivantes.
1. Le confinement pendant plus de 10 jours génère du stress
L’une des mesures que nous prenons pour prévenir le coronavirus et même pour transmettre la maladie elle-même (lorsque les symptômes sont légers) est de procéder à une quarantaine.
Cette période d’isolement dure 15 jours. Eh bien, une chose que les chercheurs de cette étude, les docteurs Samanta Brooks et Rebecca Webster du King’s College London, ont pu constater, c’est qu’après 10 jours, la santé mentale en souffre.
Dès le onzième jour, le stress, la nervosité et l’anxiété apparaissent. Ainsi, si une restriction de plus de 15 jours était appliquée, les effets seraient beaucoup plus complexes et difficiles à gérer pour la plupart.
2. Les conséquences psychologiques du coronavirus : la peur de l’infection devient irrationnelle
L’une des conséquences psychologiques les plus évidentes du coronavirus est la peur de l’infection. Lorsqu’une situation d’épidémie ou de pandémie s’éternise, l’esprit humain a tendance à développer des peurs irrationnelles.
Il importe peu que nous disposions d’informations fiables. Il n’est pas pertinent que nous soyons avertis des mesures de sécurité (lavage des mains, distance de plus d’un mètre…).
Progressivement, nous développons davantage de craintes, jusqu’à ce qu’elles soient de plus en plus infondées. Il peut y avoir une crainte irrationnelle que l’infection puisse également provenir de la nourriture que nous mangeons ou que nos animaux domestiques soient des transmetteurs… Ce sont des situations extrêmes que nous ne devrions jamais atteindre.
3. L’ennui et la frustration
C’est évident. Dans un contexte où l’interaction sociale est réduite, où seul le silence règne dans les rues et où nous sommes contraints de nous confiner à la maison, il est évident que le démon de l’ennui ne tardera pas à se manifester. Nous pouvons le combattre de plusieurs façons, nous le savons.
Cependant, au fur et à mesure que les jours passent et que l’incertitude grandit, la piqûre de la frustration apparaît déjà. Le fait de ne pas pouvoir maintenir notre mode de vie et notre liberté de mouvement nous précipite dans ces émotions plus complexes et plus problématiques.
4. Le sentiment de manque de biens de première nécessité et le comportement de panique
Dans le contexte d’une épidémie ou d’une pandémie, l’esprit agit souvent par impulsion. L’un de ces effets sont les achats compulsifs.
Il faut se souvenir, par exemple, de la pyramide classique des besoins fondamentaux d’Abraham Maslow. A la base, l’être humain a besoin de faire des réserves de nourriture et de biens de première nécessité pour se sentir bien.
Dans un scénario d’incertitude, notre cerveau concentre son attention sur cette priorité : que nous ne manquions pas de ces fournitures de base. Il importe donc peu que nos supermarchés n’aient pas de problèmes d’approvisionnement.
Il importe peu non plus que nos pharmacies ne manquent pas de médicaments. Notre esprit nous fait croire qu’il nous manque ces biens et que nous devons les obtenir.
5. La méfiance : ils ne nous donnent pas toutes les informations !
Une autre conséquence psychologique du coronavirus est la méfiance à l’égard des sources autorisées. Institutions de santé, politiciens, scientifiques de référence… Il arrive un moment, au milieu de ces contextes de crise et d’incertitude, où l’esprit humain se déconnecte et se méfie.
On a pu le constater lors de la crise du SRAS en 2003. La raison ? Des données parfois contradictoires ont été proposées. D’autres fois, il n’y avait pas de coordination entre les différents membres du gouvernement, de la santé et d’autres juridictions.
Nous devons garder à l’esprit qu’il s’agit d’un événement inhabituel. Nous n’avions jamais fait face à une telle situation auparavant.
Il faut aussi considérer que ce petit adversaire, le COVID-19 est inconnu, comme l’était le SRAS en son temps. Les autorités réagissent en fonction des événements et des besoins. La méfiance populaire est le pire ennemi dans ce contexte.
Bientôt, les théories du complot se multiplieront et, loin d’aider, elles entraveront la résolution de tous les problèmes.
6. Les troubles psychologiques peuvent s’aggraver
Nous l’avons souligné au début. La population la plus sensible, les personnes souffrant de dépression, de phobies, d’anxiété généralisée, de troubles obsessionnels compulsifs, peuvent souffrir beaucoup plus dans ce contexte. Il est essentiel qu’elles se sentent soutenues et qu’elles ne passent pas ces journées dans la solitude.
7. Les conséquences psychologiques du coronavirus : la pensée négative est le pire ennemi de tous
Il existe un facteur évident et très dangereux dans les conséquences psychologiques du coronavirus. Ce n’est rien de moins qu’une pensée catastrophique. Celle qui anticipe le pire, celle qui nous dit que nous allons perdre notre emploi, que rien ne sera plus comme avant, que nous finirons par être infectés, que quelqu’un que nous aimons va mourir, que l’économie va s’effondrer.
N’entrons pas dans ce genre de réflexions. Loin de nous aider, elles compliquent notre réalité et font ressortir le pire de nous-mêmes. Prenons donc soin de notre santé, suivons les mesures de prévention, mais en plus de cela, prenons soin de notre santé psychologique. En conclusion, en temps de crise, restons calme et créons des alliances. Aidons-nous les uns les autres à surmonter avec succès cette situation qui va passer.

Étapes de préparation
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.