On a testé pour vous : l’Anti cerne Lumi magique, stylo touche de lumière de l’Oréal : 27 Mai 2014 On a testé pour vous
On a testé pour vous : l’Anti cerne Lumi magique, stylo touche de lumière de l’Oréal :
Promesse du produit :
« Sophistiqué et léger, il est, grâce à sa texture hydratante et longue tenue, l'accessoire indispensable de votre éclat. Astucieux, il sait effacer les zones d'ombres afin d'illuminer votre visage.
-Anti cerne s'utilise sur les cernes, les ailes du nez, le menton en points de lumière
- Corrige et illumine »
On a aimé :
- Illumine le regard et atténue les poches/cernes.
- texture fluide
- le pinceau applicateur qui facilite l’application du produit.
On a moins aimé :
- ne tient pas toute la journée
Prix : entre 1500 et 1800 Da
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L’art contemporain permet de casser les codes pour que jaillissent les idées innovantes, parfois radicales, celles qui feront la différence, qui nous interpellent et nous bousculent.
Pour cette exposition Seen Art Gallery à choisit de renverser les codes et de rassembler un trio insolite :
Bardi : Artiste libre d’expression, qui bouscule les codes visuels à travers ses personnages hauts en couleurs venant tout droit d’un monde fantastique et fantasque, révélatrices d’un vécu tourmenté et chargé d’émotions. Le reflet de la réalité dans ses œuvres est tellement subtil que l’on se trouve plongé dans cet univers à la fois illusoire et sarcastique qui exalte une générosité sous jacente.
El Meya : Son œuvre porte sa vision intimiste, féminine, s’inspirant des rituels et traditions, elle apporte une lecture onirique des pratiques sociales et de la place de la femme et des artistes, dans une société déchiré entre conservatisme islamique et société de consommation effrénée.
L’homme jaune : Icône d'une jeunesse hyper-connecté et en recherche d'idéale. Il exprime le regard critique de l’artiste mais aussi la maladie de la société telle qu’il la perçoit. L’artiste s’attaque au système politique, médiatique, mais aussi aux mœurs actuelles et à l’individualisme ambiant en détournant les grandes œuvres universelles.
Trois artistes qui se réapproprient leurs passé pour exister au présent, trois expressions artistiques, libres, dénuées de toutes attaches de toute cases ou classifications pour une vision contemporaine croisée @ Seen Art Gallery à partir du 01 mai 2018. ( 11h-17h)
Seen Art Gallery : 156, Lotissement El Bina, Dely Brahim
0540 45 09 45
"Payer 30% de la réservation d’hôtel", c’est la nouvelle mesure imposée par les services consulaires français en Algérie aux étudiants algériens pour compléter leurs dossiers de demande visa d’études.
Une mesure jugée "discriminatoire" par les étudiants et certaines associations, l’instar de l’association ADDRA qui a souligné dans un communiqué que "cette nouvelle mesure rend la procédure d’obtention de visa presque utopique". Une atteinte à la légalité de traitement entre les demandeurs de visa, car "les étudiants ressortissants des pays voisins (citons le Maroc et la Tunisie) ne sont pas soumis à cette règle".
Selon le communiqué de l’association, cette notification "aurait pu être justifiable si elle a été imposée depuis au moins le mois de mars, car elle est pour l’intérêt des étudiants", et de regretter le fait que la procédure est venue en retard, parce que beaucoup d’étudiants ont déjà terminé leurs démarches et "ils ont déposé leur demande de Visa, et le risque de voir leurs demandes rejetées est fort possible".
L’ambassade de France justifie
Pour leur part, l’ambassade de France en Algérie justifie cette exigence d’une avance de 30% de la réservation d’hôtel "afin de s’assurer l’installation de l’étudiant dans les meilleures conditions possibles", mais aussi, cette décision est prise à partir d’une "analyse des premiers dossiers de la campagne 2017 par le service des visas du Consulat général, qui a fait apparaître que plus des trois quarts (3/4) des dossiers présentaient une réservation d’hôtel annulée dès le lendemain où elle avait été prise ou juste après la délivrance du visa". Serait-il le bon moment pour instaurer cette décision? Vu qu’il y a une partie des étudiants qui ont déjà obtenu leur visa.
Les services consulaires français ont aussi assuré que même si l’étudiant détient déjà son visa d’entrée avec "une annulation de sa réservation d’hôtel ou en modifiant son adresse d’hébergement, l’étudiant se prive des justificatifs obligatoires lors de son arrivée en France et pour ses trois premiers mois de séjour".
Alors l’étudiant encourt plusieurs risques : "refus de délivrance de visa, refoulement à la frontière, refus de délivrance de titre de séjour ou obligation de quitter la France".
Mais, cette mesure rencontre ses limites sur le terrain. Des témoignages de candidats aux études en France sur les réseaux sociaux font état de l’impossibilité d’avoir une réservation d’hôtel d’une durée de 3 mois, "faute de places disponibles". Un fait qui rend le parcours de l’étudiant encore plus dur.
Il y a plus d’inscrits en 2017
Campus France Algérie a reçu cette année plus de 32 000 dossiers de candidats aux études en France, alors qu’en 2016, ce service a reçu 28 000 dossiers. Selon les données recueillies auprès de campus France, 25% des dossiers ont obtenu des avis favorables de la part des universités françaises, ce qui représente un chiffre de 8000 attestations de préinscription.
En 2016, le consulat de France en Algérie a accordé 7400 visas d’études pour les étudiants algériens. "Plus de 23.000 étudiants algériens poursuivent actuellement leurs études en France". Ce qui fait des Algériens la 3ème communauté estudiantine étrangère en France, après la Chine et le Maroc.
huffpostmaghreb.com
La communauté MakeSense Algeria organise la deuxième édition de CinéSense : un événement de sensibilisation sous forme de projection d'un film suivi par un débat enrichissant. L’objectif de ces rencontres est d'inspirer les gens en exposant des problématiques et en envisageant des solutions à court terme et à long terme qui ont un impact positif sur notre planète, sur l'humanité et sur ce qui nous attends, ou plutôt ce qui attends les futures générations !
Pour cette édition nous projetterons « Une vérité qui dérange », un documentaire américain de Davis Guggenheim traitant du réchauffement climatique sorti en 2006. Grâce à ce film, l’opinion publique avait été largement sensibilisée aux dérèglements climatiques. Il est suivi en 2017 par Une suite qui dérange : Le Temps de l'action, réalisé par Bonni Cohen et Jon Shenk.
Ne ratez pas la chance d’en faire partie, le Samedi 27/01/2018, de 12h30 à 16h30, au niveau du "Palais des Rais bastion 23".
Inscrivez-vous pour nous rejoindre. Nous avons hâte de vous accueillir !
Lien d’inscription : https://goo.gl/forms/HVW6JqWkplZoL0hJ3
Le COVID-19, nouveau virus de la famille des coronavirus, est responsable d’une pandémie mondiale actuelle. Cette nouvelle maladie est à l’origine chez les personnes âgées et celles qui souffrent d'autres maladies sous-jacentes telles que le diabète ou l'hypertension artérielle, des symptômes plus graves et de moins bons résultats.
L'impact du COVID-19 sur la population varie d'un pays à l'autre. Mais, au niveau individuel les personnes atteintes de démence et leurs familles doivent faire face à des situations diverses à un moment où il leur est demandé de s'isoler de leurs cercles de soutien réguliers. Les proches qui s'occupent d'une personne atteinte de démence peuvent se sentir isolées, anxieuses et dépassées par les événements, car l’avis dominant actuellement est que les personnes plus âgées et celles qui vivent avec des problèmes de santé complexes sont plus à risque. Les personnes atteintes de démence sont également plus susceptibles d'être affectées négativement par l'isolement, l'anxiété et la confusion résultant de nouvelles inquiétantes dans les médias, et d'être plus à risque de changements de comportement, de confusion et de délire au cours de cette période.
Effectivement, en raison de troubles cognitifs, les personnes atteintes de démence courent un plus grand risque d'exposition au COVID-19. Les problèmes de mémoire rendent les instructions difficiles à retenir. Par exemple, il peut être compliqué de comprendre les instructions concernant la distanciation sociale (rester à 1 mètre des autres), l'hygiène des mains, les restrictions sur les sorties à l'extérieur ou encore les raisons pour porter un masque. Un éventuel manque de perspicacité peut entraîner un comportement qui augmente le risque d'exposition pour la personne elle-même, ainsi que pour la famille. Il est très important que la société n'inflige aucun blâme, stigmatisation ou culpabilité aux personnes atteintes de démence en raison de ces risques, car c'est une conséquence du trouble de démence. Néanmoins, la sensibilisation à ces risques est importante pour la protection des personnes atteintes de démence et de leur entourage.
Nous reconnaissons que chaque cas est différent, et chaque individu sera impacté par le COVID-19 d'une manière unique. Il sera important que les individus et les familles prennent un avis médical lorsqu'ils évaluent les meilleures mesures à prendre.
L’impact du COVID-19 pour les personnes atteintes de démence.
Il n'existe actuellement aucune donnée prouvant que les personnes atteintes de démence présentent des symptômes du COVID-19 plus sévères que d'autres personnes d'âge et de santé similaires. De nombreuses personnes âgées atteintes de démence qui attrapent le COVID-19 se sentiront mal pendant quelques jours et se rétabliront progressivement à la maison.
Les personnes atteintes de COVID-19 qui sont en détresse respiratoire peuvent se voir proposer une hospitalisation pour un traitement à l'oxygène et d'autres interventions. S'ils sont plus âgés ou ont d'autres maladies, il y a un risque accru de décompensation organique.
Pendant l’hospitalisation, les personnes atteintes de démence peuvent avoir du mal à comprendre pourquoi les proches qu'elles aiment sont distantes. Elles peuvent également être moins en mesure de communiquer ou de respecter les instructions de l’équipe médicale et les mesures de sécurité. Tous ces facteurs peuvent conduire à un risque accru de développer un délire.
Un avis médical est essentiel pour savoir si le bénéfice d'être hospitalisé vaut la peine d'être isolé et séparé de sa famille. Ce sont des problèmes importants et difficiles auxquels les familles doivent faire face.
Problèmes supplémentaires à considérer pour les personnes atteintes de démence.
Il est difficile de mettre en œuvre des recommandations sur la distanciation physique pour les familles qui s’occupent de leur proche atteint de démence. Il peut également être difficile d'amener les personnes atteintes de démence à porter un masque et à le garder.
Devant une infection par COVID 19, il faut une réévaluation de la démence et des autres symptômes (par exemple, déshydratation, troubles du comportement, délire) afin de mettre en place une stratégie proactive et préventive pour minimiser les besoins des personnes atteintes de démence.
Conclusion :
L'impact du COVID-19 est sans précédent, en particulier sur les groupes vulnérables tels que les personnes atteintes de démence et leurs familles. Cependant, avec les bonnes informations et, les recommandations, on peut mettre en place des plans de soins, avec parfois l’inclusion des personnes atteintes de démence. Ainsi les familles peuvent prendre des décisions éclairées sur comment, quand et où chercher de l'aide.
Dr Sid Ahmed BELBACHIR
Directeur médical
Centre Médical de la Mémoire
04 rue Boufatit El Biar
Tel 021 79 78 33/34
Dr Sofiane Agchariou
Spécialiste en Neurologie
Pourquoi ne pas envisager l’art de façon différente? C’est-à-dire un laisser aller total afin d’être et de faire dans le moment présent. Laisser votre inconscient diriger vos couleurs et vos mouvements!
Voici l’atelier qui vous faut..
*Peindre pour le plaisir
*Aucune préparation
Atelier peinture Intuitive sous hypnose.
Cet atelier créer, afin de répondre à la demande grandissante des participants . Nous prenons notre temps pour faire le vide, ressentir le calme et vous connecter avec vous-même grâce à une technique d’hypnose.
Matériel inclus: peinture, pinceaux,
Créayons noirs, créayons de couleurs, papiers conson
Objectifs:
explorer et apprendre à laisser faire la créativité de l'esprit (inconscient )...et apprendre à le laisser s'exprimer par la main, directrice ou non, sous forme de peinture .
Contenu:
après un bref rappel de l'utilisation de l'hypnose ou de ses équivalents par des artistes connus ou non au cours des temps anciens, nous pratiquons quelques exercices amusants qui permettent d'apprendre à s'affranchir des règles et peuvent intriguer ou interpeller la partie conscient de l'esprit. Et lorsque le processus hypnotique est suffisamment amplifié, nous le laissons faire.
Duré : 4heures
Tarif:4000DA
Intervenant :
*Mr Daghbouche Rafik maître praticien en hypnose Ericksonienne membre de la fédération française d'hypnose et de thérapie brève
*Et la collaboration de Mr krour mohamed artiste plasticien ,qui va vous aidez a vous liberez , vous ressourcez a travers sa touche artistique
Et accéder a un bien être a travers l'art.
Lieux : CC Accompagnement - Coaching Consulting Accompagnement siège social; 176 clairval(rostomia), Dely Brahim,Alger
Tel: 05 49 26 73 50
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.