
Une information diffusée par l’agence officielle APS a fait état, mercredi, de l’évacuation vers le CHU d’Oran de quinze lycéennes présentant, selon la protection civile, «des troubles psychiques causés par une application Internet».
Certains médias sont vite allés en besogne en évoquant des cas de «démence», de «possession» ou de «sorcellerie», d’autant plus qu’il y a eu d’autres cas au niveau de certains autres établissements scolaires du pays. Une enquête a été ouverte à Oran. La protection civile a par ailleurs indiqué que «la direction de l’établissement scolaire a retiré à titre préventif tous les appareils portables des élèves en attendant de découvrir les causes ayant amené à ces anomalies de comportement».
Selon les premiers éléments de l’enquête, c’est l’application «Charlie Charlie Challenge», pouvant être téléchargée sur Internet et venant du Mexique, qui est mise en cause. Cela consiste à invoquer un démon du nom de «Charlie». Il suffit juste de deux crayons disposés en croix sur une feuille blanche où l’on écrit «oui – non – oui – non» sur chaque petit carré. L’année dernière, le net a été envahi par des personnes voulant de tester ce rituel. Certaines ont été carrément prises de panique dès qu’un crayon bougeait.
Selon les explications des spécialistes, en mettant un crayon sur un autre en croix, il est clair qu’un à moment ou un autre il bouge puisqu’il est extrêmement difficile d’avoir un équilibre parfait. Face à une telle réussite, des informaticiens ont développés une application sur la base de ce rituel. A partir des informations collectés sur le profil du réseau social utilisé par le concerné lui-même, l’application «Charlie Charlie Challenge» répond avec exactitude aux questions posées (le crayon bouge vers oui ou non). Et c’est ce qui crée la panique chez ces jeunes filles croyant que c’est le démon lui-même qui était en conversation avec elles.
De nombreux parents ont, par ignorance, vite fait appel aux services de «raqis» pour «exorciser» leurs filles.
source : algerie-focus.com

Les médias électroniques, plus fort potentiel pour développer des contenus algériens sur Internet, montent au créneau et présentent un « pacte d’avenir » en 5 points
Alger, le 2 mai 2018 a eu lieu une conférence de presse autour de l’avenir des médias électroniques et la constitution du Syndicat algérien des éditeurs de la presse électronique (SAEPE)
Plusieurs points ont été abordés au cours de cette conférence, qui se veut un pacte d’avenir afin d’engager la normalisation de la situation de l ‘édition de la presse électronique.
Voici en 5 points la requête de la SAEPE :
1- Le SAEPE demande d’entamer l’application de la loi numéro 12-05 du 12 janvier 2012 dans ses dispositions générales et celles relatives à la liberté d’exercice de l’information en ligne en Algérie. Les médias électroniques et les professionnels de la presse en ligne sont maintenus arbitrairement en dehors de tout cadre légal. Nous demandons la fin de cette situation.
En parallèle avec cette mise en œuvre de la loi
2- Le SAEPE demande d’impliquer les représentants du SAEPE dans la préparation des textes d’application de cette loi. La pratique de l’édition électronique évolue rapidement et nécessite l’échange des législateurs et des régulateurs avec les professionnels pour éviter les impasses juridiques qui ont par ailleurs bloqués l’émergence des médias audiovisuels en Algérie
3- Les représentants du SAEPE demandent à être associés à la commission de la carte de presse nationale, carte à laquelle les journalistes des médias en ligne n’ont toujours pas droit. De même que le SAEPE revendique que soient appliqués pour les journalistes professionnels des médias électroniques les dispositions légales en cours pour le reste de la presse, notamment celles qui excluent le recours à la détention dans les affaires de délit de presse. Dans le même temps les institutionnels doivent ouvrir l’accès à l’information à la presse électronique. Elle doit être conviée aux couvertures des évènements officiels nationaux ou locaux.
4- Le SAEPE demande la levée sans délai de l’embargo de la presse publique et institutionnelle sur la presse électronique. L’ANEP est instruite pour ne pas signer de convention d’achat d’espace publicitaire sur les médias en ligne. Cet étranglement économique doit cesser. Des annonceurs publics et institutionnels ont besoin pour la visibilité de leur communication d’utiliser les journaux d’information en ligne comme le font les acteurs privés. Il est temps de les laisser choisir librement leurs supports lorsqu’ils souhaitent s’appuyer sur l’exposition en forte croissance des médias digitaux algériens.
5- Le SAEPE propose l’institution d’un fonds pour le développement des contenus numériques algériens, en particulier de la presse électronique. Ces représentants réservent à la discussion autour des textes d’application de la loi 2012, la présentation des solutions de financement de ce fonds. Il en existe parmi des sources de revenus publics déjà disponibles et d’autres à introduire (par exemple en taxant le sponsoring en devises des pages de réseaux sociaux des marques algériennes).
communiqué de presse

ALGER - Le ministère de la Culture et des Arts a annoncé mercredi dans un communiqué la mise en ligne d'un nouveau portail électronique, "Maison de la culture algérienne", une plateforme dédiée à l'actualité et à l'information culturelle en Algérie.
Le site vient en réponse aux attentes d'intellectuelles, d'artistes et acteurs du domaine culturel, note le ministère soulignant que cet espace virtuel se veut être un "pont" entre les différentes composantes de la scène culturelle en Algérie.
"La Maison de la culture algérienne" est un "carrefour de la culture algérienne dans tous ses aspects", d'autant qu'il offre à ses utilisateurs des fenêtres interactives sur toutes les structures et établissements culturels du pays, indique-t-on encore.
L'accélération des événements culturels et artistiques dans le pays et dans le monde a motivé le lancement de ce portail qui devra fournir des services et des contenus informationnels en lien avec l'actualité culturelle", explique le ministère.
Le site (www.algerianculturalhome.dz) offre aux internautes un accès à des informations dans les différents domaines artistiques comme le cinéma, le théâtre, la musique ou encore le patrimoine en plus d'un agenda d'information destiné à renseigner le public sur les différents activités culturelles et artistiques en Algérie. aps

Le club GO TO AFRICA organise du 6 au 11 novembre 2019 un bivouac à TAGHIT l’enchanteresse une ville accueillante et très attirante en période estivale notamment grâce à ses immenses dunes, ses maisons en ‘toub’ rouge, sa palmeraie verdoyante, fascinante par son vieux ksar, ses gravures rupestres millénaires et l’hospitalité légendaire de ses habitants qui fait le bonheur des amoureux de la nature, du camping et de la photographie.
Située à 90 km au sud de Béchar et à environ 1100 km au sud-ouest d’Alger, Taghit, est l’une des plus belles oasis du Sahara.
Ah ! Le Grand Occidental avec ses forets pétrifiés, ses surfaces hérissées de silex taillés, ses puits naturels, sa mer de sable et ses sites préhistoriques, un dépaysement garanti.
Réservation /Information :
GO TO AFRICA
0659-807-328/0551-173-403
Au tarif imbattable :
Prix :16 500 DZD ( demi-pension )
Places limitées
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.