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ESPACO VOUS CONVIE À L’EXPOSITION L’EPHEMERE DE NATHALIE ANDRIS
Nathalie ANDRIS espère, au travers de son exposition, interpeller le visiteur et lui faire prendre conscience de l'avancée continue et inflexible des composants de son existence afin de le reconduire vers la contemplation et la valorisation de l'instant présent afin qu'il vive le présent en étant pleinement libre et heureux.
VERNISSAGE LE SAMEDI 22 SEPTEMBRE 2018 A 15H00
EXPOSITION VISIBLE JUSQU’AU 06 OCTOBRE 2018
ESPACO / Résidence CMB, 196 Oued Terfa, El Achour, Alger –
Un programme national baptisé « Ciné-ville » sera lancé le 20 juillet à travers plusieurs villes du pays, a annoncé jeudi le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, au cours d’une visite de travail dans la wilaya de Bouira où il a inauguré et lancé plusieurs projets de son secteur.
Ce programme qui porte sur la projection de films cinématographiques retraçant l’histoire et la culture du pays, sera lancé notamment à Blida, Djelfa ainsi que dans d’ autres villes du pays dont celle de Sour El-Ghouzlane où le ministre a inauguré le théâtre de verdure nouvellement construit pour une enveloppe financière de 160 millions de dinars et baptisé du nom du moudjahid, écrivain et poète Djamel Amrani dont la famille a été à l’occasion honorée.
« Des filmes historiques, sociaux et culturels seront projetés dans ce théâtre de verdure et ce, dans le cadre d’un programme national ciné-ville qui sera lancé à partir du 20 juillet à travers les villes du pays », a expliqué M. Mihoubi, qui a saisi cette occasion pour rendre un vibrant hommage aux écrivains, poètes et Hommes de culture de la région de Sour El-Ghouzlane, à l’image du défunt Djamel Amrani, Ahmed El-Bahri et Missaour Boulanouar.
Au théâtre de verdure inauguré où des activités culturelles et une exposition ont été organisées à cette occasion, M. Mihoubi a exprimé sa disposition et sa volonté de mettre tous les moyens nécessaires à la disposition des responsables de la commune de Sour El-Ghouzlane pour l’organisation chaque année d’un festival culturel local devant mettre en valeur les compétences culturelles, poétiques et artistiques dont jouit l’antique Auzia (appellation donnée par les Romains à cette ville historique).
Au cours de cette visite, le ministre s’est enquis des travaux de restauration et d’aménagement de la muraille et des portes monumentales de la ville de Sour El-Ghouzlane, auxquels un montant de 187 millions de dinars a été alloué pour réaliser le projet dans un délai de 18 mois, selon la fiche technique présentée à M. Mihoubi.
Avant de se rendre dans la ville de Sour El-Ghouzlane, le ministre avait procédé dans la matinée à la pose de la première pierre d’une bibliothèque urbaine dans la commune d’Ain Bessam. Une enveloppe de 168 millions de dinars est consacrée pour la réalisation de cette structure qui sera bâtie sur une superficie de quelque 5000 m2. Une fois achevée, cette bibliothèque sera un « acquis pour la région, ses jeunes et pour tout le secteur de la culture », s’est réjoui M. Mihoubi, en marge de la cérémonie de lancement du projet.
radioalgerie.dz
Les Glycines Centre d'Etudes Diocésain Alger organise une journée d'études sur Augustin, témoin de la fin d'un monde le Jeudi 28 mars 2019, 8 H 30 - 18H30
Modératrice : Sabah Ferdi, docteur en Sciences de l'Antiquité classique de l'Université de Provence
Au programme :
8h30 : « Accueil et introduction de la journée » par Chantal Vankalck, directrice du Centre d’études diocésain Les Glycines
9h00 : « Conférence introductive à la journée avec contribution sur le sujet par Vidéo conférence de 25' » Anne-Marie Vannier, professeur de Théologie à l’Université de Lorraine
9h50 : « Dialogue et conversion. Augustin face aux vertus de la Rome païenne et aux richesses de la culture classique dans la " Cité de Dieu" » par Paul Mattei, professeur émérite de langue et littérature latines à l'Université Lumière – Lyon II
10h40 : Pause
11h00 : « Lire à nouveau le 410 à travers des sources littéraires et juridiques » par Angelo di Berardino, professeur de patrologie à l'Institut de patristique augustinien (Augustinianum) à Rome
11h50 : « Augustin d'Hippone, témoin des difficultés du pouvoir impérial en Afrique » par Thomas Villey, Université de Caen Normandie
12h40-13h00 : Reprise de la matinée par le discutant de la matinée
Axée sur philosophie et archéologie
Modératrice : Sabah Ferdi, docteur en Sciences de l'Antiquité classique de l'Université de Provence
14h30 : « Saint Augustin témoin de la décadence de l'Empire Romain » par Salima Bisserni, doctorante en philosophie
14h50 : « La révolution intellectuelle et spirituelle de saint Augustin dans le “De vera religione”, concernant la perfection humaine » par Nadjia Kebour, assistante en philosophie à la faculté de philosophie d'Alger. Professeur d'arabe et traducteur d'italien en arabe
15h40 : « Le passage de l'Empire païen à l'Empire chrétien »par Jean Pierre Laporte, historien du haut Moyen-âge. Animateur du site tabbourt.com (Bibliographie de l'Afrique du Nord antique et médiévale)
16h30 : Pause
16h50 : «Nouvelles traces du Christianisme au pays d'Augustin » par Nacera Benseddik, archéologue, docteur d’Etat en histoire ancienne et épigraphie
17h40 - 18h40 : Conclusions par le discutant de la journée
La France reconnait le vaccin chinois Sinovac, qui a été largement utilisés dans le cadre de la campagne de vaccination en Algérie.
Un nouveau décret, publié hier, stipule que les voyageurs vaccinés avec un vaccin autorisé par l’organisation mondiale de la santé seront autorisés à voyager en France.
A ce jour, l’OMS a validé les vaccins chinois Sinovac, le Serum Institute of India et le vaccin Sinopharm, selon le journal Le Parisien.
Les ressortissants algériens ayant reçu les deux doses du vaccin Sinovac seront donc autorisés à voyager en France.
Toutefois, pour recevoir un passe sanitaire, ils doivent, à leur arrivée sur le sol français, recevoir une dose complémentaire de vaccin à ARN messager à savoir Pfizer ou Moderna.
En plus de la France, 09 autres pays de l’Espace Schengen reconnaissent le vaccin Sinovac, qui est largement utilisé en Algérie dans le cadre de la campagne de vaccination contre le Covid19.
Il s’agit de Chypre, la Finlande, la Grèce, l’Espagne, les Pays Bas, la Suisse, la Suède, l’Islande, et l’Autriche. L’Union européenne reconnait les vaccins approuvés par l’agence européenne du médicament à savoir ceux de Pfizer/BioNTech, Moderna, AstraZeneca, et Johnson&Johnson.
source : voyagerdz.com
Une étude française relance le débat sur les dangers des téléphones portables
Les personnes utilisant leur téléphone mobile plus de 15 heures par mois auraient un risque accru de développer certaines tumeurs du cerveau, selon une étude épidémiologique française qui relance le débat sur les dangers des portables. « La principale conclusion de notre étude menée en France va dans le même sens que des tendances récemment observées au niveau international mais qui demandent à être confirmées, à savoir une élévation du risque de tumeur cérébrale, observée uniquement chez les plus forts utilisateurs » (de téléphones portables), souligne Isabelle Baldi.
Le Dr Baldi est l’un des chercheurs ayant participé à cette étude menée en 2004-2006 et qui vient d’être publiée dans la revue Occupational and Environmental Medecine (qui dépend du groupe British Medical Journal).
Alors que le lien entre cancer du cerveau et utilisation du portable reste largement débattu dans le monde, des chercheurs bordelais ont montré que les personnes ayant utilisé leur portable plus de 15 h par mois pendant une durée médiane de 5 ans avaient un risque multiplié par deux ou trois de développer un gliome, tumeur cérébrale pouvant être maligne (le glioblastome) ou bénigne (comme l’oligodendrogliome).
Cette catégorie d’utilisateurs intenses de téléphone présente également un risque multiplié par deux ou trois d’avoir un méningiome, une tumeur généralement bénigne des méninges, par rapport aux personnes ayant plus modérément utilisé leur téléphone en durée cumulée.
L’étude française a porté sur 253 cas de gliomes et 194 méningiomes recensés entre 2004 et 2006 dans quatre départements français, comparés à 892 témoins adultes sains, représentatifs de la population française.
Moins d’ondes aujourd’hui
Pour parvenir à leur conclusion, les chercheurs ont tenu compte des autres facteurs de risque des tumeurs cérébrales et du fait que seulement 14% des personnes interrogées déclaraient avoir utilisé un « kit mains libres » qui permet de ne pas positionner le téléphone contre l’oreille.
Le Dr Baldi, qui travaille à l’Institut de santé publique, d’épidémiologie et de développement (Isped) de Bordeaux, relève que le niveau d’exposition a été « difficile à reconstituer dans la mesure où il est en perpétuelle évolution au cours de la vie ».
Elle reconnaît également que les utilisations du portable ont « nettement augmenté » depuis le milieu des années 2000, mais que dans le même temps les appareils émettent moins d’ondes car ils sont désormais réglementés quant à leurs émissions.
La plus grosse étude réalisée à ce jour sur les risques des portables est l’étude Interphone menée dans 13 pays (Allemagne, Australie, Canada, Danemark, Finlande, France, Israël, Italie, Japon, Norvège, Nouvelle-Zélande, Royaume-Uni, Suède) et pilotée par le Centre international de recherche sur le cancer (Circ, émanation de l’OMS).
Dans ses conclusions rendues publiques en 2010, elle avait fait apparaître un risque de gliome de 40% supérieur et un risque de méningiome de 15% supérieur pour les personnes déclarant une utilisation fréquente et habituellement « du même côté de la tête que la tumeur ».
Cependant « les biais et les erreurs » inhérentes à l’étude n’avaient pas permis aux chercheurs de conclure de manière définitive sur les risques des portables.
Parmi les biais possibles dans ce type d’études déclaratives, des personnes souffrant de tumeurs au cerveau peuvent avoir tendance à surestimer leur utilisation passée du téléphone portable.
Réunis à Lyon en 2011 à l’initiative de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une trentaine d’experts internationaux avaient estimé que l’usage du portable pouvait être cancérogène pour l’homme et réclamé que de nouvelles études soient menées sur l’utilisation intensive et sur le long terme des téléphones portables. En attendant, ils avaient plaidé pour l’utilisation de « kits mains libres » et la pratique des SMS.
source : le tempsdz.com
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