
Effarant ! Bien qu’on en parle que très peu, le phénomène du divorce en Algérie prend des proportions «alarmantes». 120 à 150 cas de divorce sont enregistrés quotidiennement selon le président de l’association Djazaïr El Kheir.
Ce constat «triste» d’une société qui tenait pourtant, il n’y a pas si longtemps, à des valeurs ancestrales a poussé l’association à tirer la sonnette d’alarme et à envisager même un projet de formation sur la culture du mariage au profit de nouveaux couples.
Le projet a été lancé mardi a annoncé le président de l’association, Aïssa Belakhdar, lors d’un forum sur la «Réussite familiale», organisé à l’occasion de la Journée mondiale de la femme au siège du quotidien El Djoumhouria. «Ce projet de formation vise à assurer la stabilité des couples et le maintien des valeurs traditionnelles face à l’effrayant nombre de divorces et la montée des maux sociaux et leurs conséquences sur la dislocation de la structure familiale», a souligné l’orateur qui pense lancer, par ailleurs, un concours prochainement sur «la famille modèle» à travers le territoire national.
Ceci dit, les chiffres officiels, bien qu’ils datent de quelques années déjà témoignent de l’ampleur du phénomène qui tend à se banaliser, changement de mode de vie aidant (nouveaux droits pour les femmes, femmes au travail de plus en plus nombreuses..). Alors que ce changement de mode de vie devrait en principe aider à l’émancipation de la cellule familiale, il est devenu aujourd’hui un facteur de divorce dans bien des cas. Le divorce enregistre dans notre pays, selon certains chiffres, une hausse d’environ 7% par an.
Le nombre des désunions est passé de 29 731 en 2004 à 31 133 en 2006 et 41 549 en 2009. Selon d’autres chiffres officiels plus récents, de 2007 à 2011, le divorce a connu une hausse de 61%, passant de 34 123 à 55 490 cas enregistrés par an. Sur ce nombre de divorces, la répudiation, un droit de l’époux, arrive en tête de liste avec 106 614 femmes répudiées en cinq ans. Selon un bilan de l’ONS rendu public l’année dernière, près de 15% des mariages en Algérie se terminent en divorce. Ainsi, pour un nombre de 387 947 mariages enregistrés en 2013, il a été constaté un nombre de 57 461 divorces contre 54 985 l’année d’avant, soit un taux de 14,8%.
La répudiation comme le montrent ces chiffres, est de loin, la «manière» la plus répandue avec laquelle le divorce est prononcé. Avec les nouveaux droits acquis par les femmes à la faveur de nouvelles lois, il n’est pas dit que ces chiffres «effarants» vont baisser à l’avenir. Le divorce, non seulement sépare les deux époux, mais impacte négativement sur les enfants.
lesdebats.com

Tamina ce gâteau si convoité au mawlid el nabawi el charif , de ce fait une journée spécial tamina sera organisé, histoire de mettre en valeurs notre patrimoine culinaire l expos ce tiendra le 10 décembre a partir de 10h au bastion 23 en collaboration avec l association patrimoine horizon d Alger
le principe et de préparer une Tamina et venir l exposer.
Des membres de jury serons présent pour noter la meilleurs tamina coté gout et decoration
pleins d autres animations vous attendent entre expo vente d artisans chants religieux tatouage henné dégustation tout cela dans une ambiance de fête du mouloud !
https://www.facebook.com/events/666685380172765/

Le développement personnel est un domaine relativement récent en Algérie, les écoles de formation en coaching, les ateliers en développement personnel, les formations certifiées pullulent depuis un moment, s’il est encore difficile de se faire une opinion définitive sur le professionnalisme de chaque organisme, voici quelques conseils du site esprit-riche.com sur le domaine du coaching ou les questions à se poser avant de faire solliciter un coach :
'' La profession de coach n’est pas réglementée et chacun peut mettre une plaque sur sa porte et recevoir des clients sans aucune contrainte, si ce n’est celles qu’il s’impose. Difficile pour le consommateur de s’y retrouver d’autant plus que derrière ce terme générique il va trouver des dizaines de « spécialités » diverses et variées (coach scolaire, coach de vie, coach en séduction, coach déco, coach coiffure (si, je l’ai vu !), coach amoureux, coach d’organisation, la liste est infinie). Je vais parler ici du domaine que je connais :
Le coaching de vie, destiné aux particuliers, qui est une alternative courte à la thérapie sur des objectifs ciblés (carrière, accidents de la vie, changements, projets)
Le coaching en entreprises, destinés aux managers, aux dirigeants et à leurs équipes (où à des professionnels indépendants), ciblé d’une manière générale sur l’augmentation de leur performance.
Que vous soyez dans un cas ou un autre, voici ce qu’il est bon de savoir pour choisir son coach.
Quelle est sa formation, est-il certifié et par qui ? Il y a pléthore d’écoles de coaching, privées ou dépendantes d’universités. Chacune d’entre elle propose un parcours qui allie (normalement) théorie, acquisitions d’outil, pratique de la relation de coaching et réflexion sur sa pratique. Chaque école s’appuie sur des référentiels dominants (AT, PNL, Gestalt, Systémie etc) et la plupart ont une approche multi-référentielle. Tous les coachs se présentent maintenant comme certifiés, d’ailleurs chaque école revendique cette certification comme argument commercial. Quelle est sa valeur ?
Dans mon jardin, chaque été, poussent d’excellentes tomates denses et savoureuses qui ne passeraient aucun contrôle qualité (biscornues, taille inégale etc) contrairement aux légumes insipides que vous trouvez au supermarché qui, eux, ont passé vigoureusement toute une batterie de tests. Une certification atteste d’avoir suivi un cursus de formation répondant à certains critères. Cela dénote de la capacité à être coach, mais pas de la compétence qui ne peux s’acquérir qu’en situation de travail réelle, avec des « vrais » clients. De plus, comment une école va-t-elle recaler un apprenti coach qui a dépensé plusieurs milliers d’euros pour se faire former dans cette école précisément ? Une garantie supplémentaire est lorsque cette certification est décernée par un organisme relativement indépendant des écoles comme SFCoach (Société Française de Coaching) ICF (International Coaching Fédération), EMCC (European Mentoring and Coaching Council).
Est-il supervisé ? La supervision consiste pour à un coach à disposer d’un espace avec une personne plus expérimentée que lui pour « travailler » ses « cas clients ». Le coaching est un art et non une science, et les écueils à l’accompagnement sont nombreux. La supervision vise notamment à permettre au coach de voir comment il peut être lui-même un obstacle au processus de coaching. Elle fait partie de tous les codes de déontologie de la profession.
Quel est son parcours professionnel ? Notamment pour le coaching en entreprise, il est intéressant de connaître le niveau de responsabilités où il a exercé lorsqu’il était « en entreprise » et le type de problèmes auquel il a été confronté. Vous pouvez lui demander également ce qui l’a amené au coaching.
Quel est son parcours personnel ? Le principal outil du coach est… lui-même. D’où l’impérieuse nécessité de bien se connaître, de mettre à distance ses propres patterns de fonctionnement, d’avoir l’esprit suffisamment ouvert pour accueillir la différence, d’être à l’aise avec les émotions et maîtres des siennes etc. Un travail thérapeutique approfondi du coach est pour moi un gage de sécurité pour le client. Certains coachs (dont je fais partie) ont également une formation de thérapeute, c’est un plus indéniable, ne serait-ce que pour identifier la limite entre le coaching et la thérapie !
A-t-il pignon sur rue ? Est-il professionnel au sens administratif du terme (N° de siret) ? Vous reçoit-il dans un coin de son salon ou dans un bureau professionnel ? A-t-il des clients et depuis combien de temps exerce-t-il (il faut bien démarrer, ce n’est pas un critère rédhibitoire) ? Appartient-il à un réseau ou à une fédération ?
Il y aurait sans doute d’autres critères à préciser, mais le but de ma chronique n’est pas d’alimenter la parano et de vous lancer dans un interrogatoire serré. Les processus de référencement de coach dans les grands groupes sont autrement plus exigeants que ces éléments. Il y a enfin un dernier critère totalement subjectif et fondamental : votre feeling. Il peut d’ailleurs être utile de rencontrer 2 ou 3 coachs pour faire un choix. Comment vous sentez-vous en sa présence ? Vous sentez-vous en confiance ? Vous sentez-vous compris ? Bref, sentez-vous que c’est la bonne personne pour vous faire avancer là où vous en êtes aujourd’hui ? Si vous répondez franchement oui, allez-y !

Le ministère de la culture organise une journée dédiée à la pointure de la poésie arabe Mahmoud Darwich au Palais de la Culture Moufdi Zakaria le 08 septembre 2018 à partir de 9:30.
« Et je serai, peut-être, un Dieu / Peut-être un Dieu / Si j’effleurais ton Cœur ! » écrivait le poète en pleurant sa mère. Qui n’a jamais croisé des vers de Darwich, dans des livres d’école, perdus ici et là sur des cahiers où des amoureux de la plume ont, au moins une fois, griffonné ses mots pour les admirer et les goûter à l’infini.
La Maison de la Poésie algérienne organise cet événement avec le soutien du ministère de la culture, événement qui chevauche le dixième anniversaire de la mort du poète qui rappelons-le, est décédé le 09 août 2008. Pour cette occasion, plusieurs invités venus des quatre points du pays honoreront la mémoire d’un des plus grands poètes arabes contemporains, tels que Bouzid Harzallah ou Fatima Ben Chaalal.
Mahmoud Darwich est l’auteur des « Poèmes palestiniens », « d’Ode à Beirouth » ou de « Palestine ». Cette rencontre autour de son oeuvre sera l’occasion de redécouvrir ou de découvrir le poète et ce, le 08 septembre au Palais de la Culture Moufdi Zakaria à partir de 9:30.
lire l'article à la source : vinyculture.com
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