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E.D

Saviez-vous que le chocolat est un produit qui viens d'Amérique ? Nos ancêtres n'ont pas pu manger de chocolat, en Europe, avant 1534 !
Consommé initialement sous forme de xocoatl (boisson épicée) au Mexique et en Amérique centrale, le chocolat se démocratise avec la révolution industrielle.
Le substantif masculin chocolat est un emprunt à l'espagnol chocolate, substantif masculin attesté vers 1580 chez Francisco Hernández et lui-même emprunté, au nahuatl, xocolatl, qui est une combinaison des mots xocolli (signifiant « acide », ou « amer ») et atl (qui veut dire « eau »).
En 1494, Christophe Colomb jette par-dessus bord les fèves qu'il avait reçues des Amérindiens. Il les aurait prises pour des crottes de chèvre. C'est donc plus tard, en juillet 1502 sur l'île de Guanaja, qu'il découvre pour la première fois la boisson chocolatée.
José de Acosta, un missionnaire jésuite espagnol qui vécut au Pérou puis au Mexique à la fin du xvie siècle, écrit :
« Détestable pour ceux qui n'ont pas l'habitude d'en consommer, tout en ayant une mousse ou une écume qui a très mauvais goût. Oui, c'est une boisson très estimée parmi les Indiens, dont ils régalent les nobles qui traversent leur pays. Les Espagnols, hommes et femmes, qui sont habitués au pays, sont très friands de ce chocolat. Ils disent qu'ils en font différents types, certains chauds, certains froids, certains tempérés, et mettent dedans beaucoup de ce « piment » ; ils en font une pâte, laquelle, disent-ils, est bonne pour l'estomac et pour lutter contre le rhume. »
Les colons espagnols n'apprécient cette boisson amère aux épices piquantes que lorsque les religieuses d’Oaxaca l'édulcorent et l'aromatisent avec du miel, du sucre de canne, du musc et de l’eau de fleur d'oranger.
Ce n'est qu'à partir de la conquête des Aztèques par les Espagnols que le chocolat est importé en Europe où il devient rapidement très prisé à la cour d'Espagne. Hernán Cortés découvre le breuvage chocolaté en 1519. Il est le premier (en 1528) à en rapporter en Europe, à ses maîtres d'Espagne : mais ce n'est qu'en 1534 que cette boisson amère, écumeuse et poivrée retient l'attention lorsqu'on y ajouta de la vanille et du miel suivant une élaboration préparée à l'abbaye de Piedra. Dès le xviie siècle, le chocolat devient une ressource très appréciée de l'aristocratie et du clergé espagnol. Son commerce s'étend alors aux autres colonies espagnoles comme les Pays-Bas espagnols.
La première expédition commerciale pour l'Europe (entre Veracruz et Séville) daterait de 1585. Le chocolat est alors toujours servi comme boisson, mais les Européens ajoutent du sucre et du lait pour neutraliser l'amertume naturelle ; ils remplacent le piment par de la vanille.
Source : les investigations de l'histoire
Le 27 février prochain, le Centre communautaire francophone Windsor-Essex-Kent accueillera le juge de la Cour fédérale Normand Vachon qui viendra présenter une conférence d’environ 90 minutes sur les changements apportés récemment aux règlements concernant l’accession à la citoyenneté canadienne. Le juge Vachon est bien connu au centre communautaire puisqu’il vient y tenir la cérémonie de prestation de serment des nouveaux citoyens deux fois par année.
Le 20 juin prochain, la nouvelle Loi sur la Citoyenneté canadienne entrera en vigueur et, à plusieurs égards, elle rendra le processus d’obtention du passeport canadien plus difficile qu’il ne l’est aujourd’hui pour les nouveaux arrivants. Il faut savoir que le Canada est le pays ayant le plus haut taux de naturalisation au monde. Environ 85 % des résidents permanents deviennent des citoyens canadiens.
Depuis 2006, le pays a ainsi accueilli plus de 1,3 million de nouveaux citoyens. Seulement en 2013, pas moins de 333 860 demandes de citoyenneté ont été enregistrées. Les changements dont viendra parler le juge Vachon sont donc d’importance.
Jusqu’à ce jour, pour obtenir la citoyenneté canadienne, il fallait avoir résidé au pays 1095 jours étalés sur quatre années. Dans quatre mois, cette période de résidence obligatoire passera à 1460 jours, soit l’équivalent de quatre années complètes, réparties cette fois sur six années civiles.
Au cours de cette période, les nouveaux résidents permanents devront avoir habité au Canada pendant au moins 183 jours, soit 6 mois. De plus, les jours passés au Canada en tant que non-résident permanent ne seront plus comptabilisés. Ils devront également démontrer qu’ils désirent résider au pays à l’avenir. Pour les enfants nés au pays, la nouvelle réglementation ne permettra plus l’accès automatique à la citoyenneté canadienne.
Pour le gouvernement canadien, cela se traduit déjà par une diminution du nombre de dossiers en attente puisque le processus décisionnel est dorénavant constitué d’une seule étape au lieu de trois auparavant. De plus, le personnel affecté au traitement de ces demandes a été augmenté de sorte que l’on prévoit que d’ici la fin de 2016, le nombre de dossiers en retard aura été réduit dans une proportion de 80 % et que le traitement se fera sur une période de 12 mois.
L’invitation est donc lancée aux résidents permanents. La rencontre est gratuite, une collation sera servie et les parents pourront confier leurs enfants à un service de garde sur place.
source : lerempart.ca
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