
Si la peau des fruits et des légumes regorgent de vitamines, il ne faut pas toujours la consommer. Voici sept aliments à éplucher pour faciliter leur digestion et réduire l'absorption de pesticides, sur les conseils de la diététicienne et nutritionniste Valérie Méry-Mandeville. ( medisite.fr )
La pomme de terre :
Avec ou sans la peau ? Cette question fait souvent débat en ce qui concerne la consommation de la pomme de terre. En y regardant de près, mieux vaut renoncer à la peau de cet aliment : "La pomme de terre est traitée avec 15 à 20 pesticides avant d’arriver dans notre assiette", révèle Valérie Méry-Mandeville, diététicienne et nutritionniste.
Mais les pesticides ne sont pas le seul problème : "La peau de la pomme de terre peut contenir des molécules naturelles toxiques (la solanine et la chaconine,ndlr) surtout au niveau des tâches vertes qu’elle présente parfois", précise Valérie Méry-Mandeville.
Le conseil de la diététicienne pour bien éplucher : "Pour éplucher un aliment, choisir un économe plutôt qu’un couteau. L’épluchure sera ainsi assez fine et on conservera donc l’essentiel des vitamines situées juste sous la peau."
La carotte
La peau des carottes peut être riche en nitrates. Il est donc préférable de les éplucher ou de les brosser, surtout si elles ne sont pas issues de l’agriculture biologique.
Si ce sont des carottes nouvelles : "Les acheter bio et simplement les gratter, car leur peau est encore plus riche en vitamines que les autres carottes. Elles sont donc très intéressantes à consommer", conseille Valérie Méry-Mandeville. En effet, la peau des fruits et légumes est l’endroit le plus riche en vitamines, en antioxydants et en fibres.
Pour les fruits et légumes bio : "Il n’est pas toujours nécessaire de les éplucher, car leur culture fait appel à moins de pesticides mais il faut quand même bien les laver. En effet, la terre qui les recouvre peut contenir des bactéries, comme la listeria", avertit la diététicienne.
La pomme de terre
Si on a les intestins fragiles : les composés de la peau et son acidité peuvent irriter la muqueuse du tube digestif. "C’est notamment à cause de la cellulose qu’elle contient, une grosse molécule difficile à dégrader, que la peau de la tomate peut compliquer la digestion", précise Valérie Méry-Mandeville.
Comment l’éplucher : Ebouillanter la tomate permet de la peler facilement.

Paracétamol, aspirine ou ibuprofène ? En cas de mal de tête ou de rage de dents, on hésite parfois devant l’armoire à pharmacie.
L’Organisation mondiale de la santé classe les antalgiques en trois paliers.
- Le palier 1 regroupe les médicaments permettant de traiter les douleurs légères à modérées. En font partie le paracétamol, l’aspirine et l’ibuprofène. On les trouve en vente libre et sur ordonnance.
- Le palier 2 concerne certains opiacés, en association avec du paracétamol.
- Le palier 3 désigne les antalgiques puissants (morphine, fentanyl) réservés aux douleurs sévères.
Même si c’est souvent l’expérience qui nous aide à déterminer lequel est le plus adapté, il n'est pas inutile de faire le point sur ces antidouleurs de palier1 très souvent utilisés en automédication.
Le paracétamol
Lorsqu’il n’est pas combiné à d’autres molécules, on le trouve en vente libre à 500 comme à 1 000 mg sous différents noms (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan…).
Ça marche pour quoi ?
Les douleurs de type musculaire (mal de dos, courbatures) et les céphalées simples (mais ce n’est pas le plus efficace en cas de migraine). Il peut aussi soulager les règles douloureuses.
En pratique, c’est le premier antalgique conseillé, sauf contre-indication, chez l’adulte comme chez l’enfant, pour toutes les douleurs dont on ne connaît pas la cause.
Ses avantages
« Il présente très peu de risques d’effets indésirables ou d’allergies, souligne le Pr Eschalier. Une bonne raison de l’essayer en premier, avant de passer aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) s’il n’est pas assez efficace. Et comme il est bien toléré, c’est l’antidouleur idéal chez l’enfant ou la femme enceinte de façon ponctuelle, durant toute la grossesse. »
Cependant, de toutes récentes études menées en France, au Danemark et en Finlande suggèrent une association entre la prise d’antalgiques légers (y compris le paracétamol) tous les jours, pendant plus de quinze jours consécutifs pendant la grossesse et un risque accru d’anomalies de l’appareil reproducteur chez les garçons.
Mieux vaut donc limiter les prises au strict nécessaire si l’on est enceinte, en particulier au cours du deuxième trimestre.
Autre bémol : contrairement à l’aspirine ou à l’ibuprofène, le paracétamol n’a pas d’action anti-inflammatoire.
Combien peut-on en prendre ?
La posologie usuelle chez l'adulte est de 3 g par jour et jusqu’à 4 g en cas de douleurs intenses, en espaçant les prises d’au moins six heures. Mieux vaut se limiter à 3 g chez les personnes âgées ou en cas de fragilité hépatique.
Chez l'enfant, elle est de 60 mg par kilo et par jour à répartir en quatre ou six prises.
Dans quels cas faut-il l'éviter ?
En cas de problèmes hépatiques (chez les personnes alcooliques par exemple) car à haute dose, il peut fragiliser le foie.
Les réactions allergiques existent mais restent très rares. D’ailleurs, l’Agence américaine des médicaments (Food and Drug Administration) demande aux fabricants d’en limiter la dose à 325 mg par comprimé ou gélule et d’annoncer d’un avertissement leur danger potentiel pour le foie en cas de surdosage.
L'aspirine
Elle appartient à la même famille que l’ibuprofène : celle des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). On la trouve en vente libre et sur ordonnance (Aspégic, Aspro, Alka Seltzer…), parfois associée à la caféine (Asproaccel) ou la vitamine C (Aspro Vitamine C).
Ça marche pour quoi ?
Pour toutes les douleurs à caractère inflammatoire : mal de dents, arthrite, tendinite, entorse…
Elle a aussi fait ses preuves dans le traitement des crises de migraine.
Ses avantages
Comme les autres AINS, elle combine une triple action : antalgique, anti-inflammatoire et antipyrétique (elle fait baisser la fièvre).
Un bon point si nos douleurs s’accompagnent d’un état fébrile. « Mais, en raison de ses effets indésirables, on l’utilise de moins en moins comme antalgique, au profit de l’ibuprofène ou du paracétamol », précise Alain Eschalier. Elle est en revanche prescrite, à faible dose, pour prévenir les accidents cardiaques ou vasculaires car elle empêche la formation de caillots.
Combien peut-on en prendre ?
Jusqu’à 3 g par jour pour un adulte en bonne santé (2 g seulement pour les personnes âgées), de préférence au cours d’un repas et en espaçant les prises d’au moins quatre heures.
Dans quels cas faut-il l'éviter ?
Si on a l’estomac fragile. « Elle est irritante et peut, à haute dose, causer des ulcères gastriques, prévient le Pr Eschalier.Mieux vaut également se tourner vers un autre antalgique pendant les règles ou après une opération, car elle favorise les saignements. »
On l’utilise avec prudence après 65 ans, en raison du risque d’insuffisance rénale.
Enfin, elle est contre-indiquée en cas de grossesse, dès le sixième mois.
L'ibuprofène
Comme l’aspirine, c’est un AINS. On le trouve en vente libre dosé à 200 mg (Advil, Nurofen, Spedifen…) et à 400 mg.
D’autres molécules moins connues que l’ibuprofène comme le fénoprofène (Nalgésic) ou le kétoprofène (Toprec) agissent de la même façon mais sont accessibles uniquement sur ordonnance pour des douleurs un peu plus fortes.
Ça marche pour quoi ?
Dosé à 200 mg, l'ibuprofène soulage les maux de tête légers ou les douleurs musculaires type courbatures.
A 400 mg, il est efficace pour les douleurs inflammatoires : arthrite, sciatique, règles douloureuses, migraine, lombalgie…
Ses avantages
« Il est plus efficace que le paracétamol lorsque la douleur est d’origine inflammatoire, par exemple en cas de maux de dents, et présente moins de contre-indications que l’aspirine », résume Alain Eschalier.
Combien peut-on en prendre ?
Jusqu’à 1 200 mg par jour chez l'adulte, soit trois prises à 400 mg espacées au minimum de quatre heures.
Chez l'enfant, 20 à 30 mg par kilo et par jour en trois ou quatre prises toutes les six heures.
A prendre en mangeant, pour limiter le risque de brûlures d’estomac et pas plus de trois jours : au-delà, on consulte un médecin pour déterminer l’origine de la douleur.
Dans quels cas faut-il l'éviter ?
Si on a des antécédents d’ulcère gastrique.
Il est incompatible avec certains médicaments comme les anticoagulants et contre-indiqué pendant la grossesse, à partir du sixième mois.
Les antispasmodiques
« Ce ne sont pas des antalgiques à proprement parler. Mais, en agissant sur les contractions des muscles involontaires, ils aident à soulager certaines douleurs », rappelle le Pr Eschalier.
Le plus connu est le phloroglucinol (Spasfon, Spasmocalm…), disponible sans ordonnance.
Ça marche pour quoi ?
Les règles douloureuses, dues à des contractions de l’utérus, et les crampes d’estomac.
Mais aussi en cas de cystites, qui s’accompagnent parfois de spasmes dans toute la région pelvienne.
Leurs avantages
Ils agissent directement sur la cause de la douleur.
Combien peut-on en prendre ?
Comme le dosage varie selon les médicaments, on se réfère à la notice pour connaître la posologie adaptée.
Dans quels cas faut-il les éviter ?
En cas d’allergie, sinon les effets indésirables du phloroglucinol sont rares.
Il est quand même déconseillé pendant la grossesse et l’allaitement.
Mieux connaître les antidouleurs
Quelque soit l'antidouleur choisi, il est nécessaire d'en respecter le mode d'utilisation.
Peut-on combiner les médicaments ?
Oui, mais avec précaution. Le mal de tête ne passe pas et on a déjà pris la dose maximum de paracétamol ? On peut alterner avec de l’ibuprofène, car ils n’ont pas le même mode d’action, si on respecte la dose journalière maximum indiquée pour chacun, et si on croise les prises, par exemple toutes les deux heures.
En cas de règles douloureuses, rien n’empêche de prendre un antalgique (sauf l’aspirine) et un antispasmodique. Mais pas question de mélanger plusieurs AINS (aspirine et ibuprofène…), au risque d’augmenter leurs effets indésirables.
Pour une action rapide, que prendre ?
Pour une action rapide, prime aux comprimés orodispersibles ou “lyoc”, à laisser fondre dans la bouche (Nurofentabs, Paralyoc, Spasfon-Lyoc…) : comme cette zone est très vascularisée, leur principe actif passe plus vite dans le sang. Pratiques, surtout, si on n’a pas d’eau sous la main !
Quelles sont les règles d’or pour qu’un antidouleur soit efficace ?
D’abord, ne pas attendre ! On se dit souvent que la douleur va passer toute seule. Or, à douleur égale, le même médicament sera plus efficace si on le prend immédiatement.
Ensuite, en cas de fortes douleurs, le prendre à la bonne dose, soit 1 g pour le paracétamol et l’aspirine, 400 mg pour l’ibuprofène : ça ne sert à rien d’en prendre moins.
Enfin, mieux vaut ne pas arrêter trop tôt : on peut continuer le traitement tant que la douleur est gênante, même sur deux ou trois jours.
Peut-on devenir accro aux antidouleurs ?
Non, il faut oublier cette crainte, associée à la morphine. D’abord, le mode d’action des antalgiques en vente libre n’est pas le même que celui des opioïdes : il n’y a aucun risque de dépendance.
Quant à la morphine, on n’a jamais constaté d’addiction chez des patients l’utilisant pour soulager la douleur.
En cas de maux de tête, quand faut-il passer aux triptans ?
Uniquement s’il s’agit de migraines : les triptans, délivrés sur ordonnance, ne traitent pas les autres types de céphalées, car ce ne sont pas des antalgiques. Ils agissent sur la dilatation des vaisseaux au niveau du cerveau.
Si l’on constate, au bout de deux ou trois crises, que l’ibuprofène, le paracétamol ou l’aspirine n’ont pas un effet suffisant, il ne faut pas hésiter à en parler avec son médecin : les triptans sont en général bien tolérés.
source : santemagazine.fr

Les lauréats seront connus et se verront attribuer leur prix le jour de l’exposition finale lors de la cérémonie de clôture du concours qui aura lieu le 11 mars 2019.
Sous le thème « donne une seconde vie à ton déchet », un concours national de l’innovation, du design de récupération et du upcycling (surcyclage) 2019 (CNID UP), est lancé en ce mois de décembre impliquant des artistes et designers algériens censés concevoir des objets du quotidien avec des matériaux de récupération.
Ce concours organisé par le ministère de l’Environnement et des Energies Renouvelables en partenariat avec la coopération de l’organisme allemand Giz (Deutsche Gelellschaftfür Internationale Zusammenarbeit), entre dans le cadre du projet « renforcement du rôle des femmes à travers la valorisation des déchets « ROVALD », initié par ce même organisme.
Au cours d’une rencontre avec la presse, organisée ce dimanche dans les locaux de ‘’Artissimo’’entité chargée d’organiser ce concours, M. Islam Bentahar, conseiller technique auprès de la Giz, a indiqué les produits issus de transformation artistique des objets récupérés, seront intégrés dans une chaîne de production artisanale dans des micro-entreprises, crées par des femmes.M. Bentahar a indiqué que l’objectif de ce projet est de « renforcer le rôle de la femme dans l’économie, à travers la création de petites entreprises et de pouvoir ainsi, l’insérer professionnellement dans le domaine de la valorisation de déchets ».
Bentahar nous révèle que le projet sera réalisé dans la wilaya de Annaba. Il souligne à ce propos, que le recrutement de ces femmes entrepreneures est en cours, et la première session de formation des femmes sélectionnées est programmée le 22 décembre prochain.Cette formation « sera d’une durée de deux semaines pour un groupe de 20 personnes », explique le représentant de la Giz, en ajoutant que « l’objectif est de former 80 personnes au total ».
Le conseiller technique de la Giz a rappelé que le programme visant le renforcement du rôle de la femme à travers la valorisation des déchets, d’une durée d’une année, est financé par un programme maghrébin pour la promotion de la femme au Maghreb. Ce programme englobe plusieurs projets dans différents domaines tels que le changement climatique, la biodiversité, etc.
Rappelons que ce concours à visée nationale, est destiné aux designers professionnels indépendants, étudiants des écoles de design, des Beaux-arts, de commerces et de stylisme spécialisés dans la conception et détournement d’objets ou d’accessoires.Les candidats peuvent s’inscrire entre le 02.12.2018 et le 05.01.2019 à minuit, date de clôture des inscriptions.
Le dossier de candidature doit être envoyé à l’adresse : concours.upcyling@artissimo.dzLes lauréats seront connus et se verront attribuer leur prix le jour de l’exposition finale lors de la cérémonie de clôture du concours qui aura lieu le 11 mars 2019.
maghrebemergent.info


Le kayak de mer est l’une des activités les plus prisées de la saison estivale 2017, de la ville de Tipaza à la ville de Bejaïa, vous pourrez en profiter jusqu’à la fin septembre et découvrir grâce au kayak des paysages époustouflants vus de la mer.
La page facebook « Sortie Kayak Algérie » qui organise les sorties en Kayak de mer dans plusieurs villes Algériennes, a eu la gentillesse d’inviter l’équipe du web magazine zeinelle.com à découvrir cette activité, et pour le moins que l’on puisse dire c’est que j’ai été agréablement surprise, par l’activité et le lieu où nous avons pratiqué le kayak !
Une plage secrète à Tipaza située entre le mont Chenoua et El Beldj, un petit paradis pour les amoureux de la nature, une plage propre que l’équipe de « Sortie Kayak Algérie » s’engage à préserver, en menant régulièrement des actions de nettoyage de la plage ! Une action citoyenne à saluer !
L’équipe nous a fait découvrir la plage dans ses moindres recoins, ses rochers, ses falaises, et nous a même parlé d’un mystérieux rocher, nommé le rocher rose, ce dernier a la particularité de refléter une couleur rose au coucher du soleil… intriguant non !!!
Après la visite de cette plage sauvage et atypique, place maintenant à la pratique du kayak, un des membres de l’équipe a commencé par une petite présentation théorique sur le matériel, les consignes de sécurité à respecter, ainsi que la façon de ramer à bord d’un Kayak.
Après avoir enfilé le gilet de sauvetage, nous voilà prêt pour la sortie, dès les premières minutes sur la surface de l’eau, j’ai compris que le Kayak était loin d’être un simple loisir, surtout quand le vent souffle, mais grâce aux conseils avisés de l’équipe la traversée s’est passée dans de bonnes conditions !
Une fois arrivée au large de la mer, le paysage panoramique qui nous entoure, les rochers, la falaise sont réellement à couper le souffle !
Une activité nautique à conseiller pour le plaisir de découvrir de très beaux paysages du littoral Algérien, mais également pour ses nombreux bienfaits antistress, tonifiant ( le Kayak fait travailler les bras, les épaules mais aussi les abdos et le dos), et surtout minceur !
Et oui le Kayak de mer est un excellent brule graisse car une heure de pratique à allure modérée permet de consommer jusqu’à 415 calories.
Si vous aussi, vous êtes sous le charme, réserver votre place, en cliquant sur les liens suivants :
Sortie Kayak et Snorkeling "Le Trésor Caché Du Mont Chenoua" (15 et 16 Septembre 2017)
Sortie Kayak Algerie : 0672629599
Esma Djigouadi



Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.