Astuce du jour : comment faire, si vous vous retrouvez en panne de dissolvant ? 25 Septembre 2014 Beauté visage § corps
Astuce du jour : comment faire, si vous vous retrouvez en panne de dissolvant ?
En panne de dissolvant, heureusement que zeinelle est là, voici une super astuce, appliquez sur votre ongle une couche de vernis transparent, et essuyer avec un coton avant que ça sèche, le vernis transparent va faire effet de dissolvant.
ED
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225 g de farine complète ( disponible en grande surface)
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1 cuillère à soupe de levure chimique
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1/2 cuillère à café de sel
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1 cuillère à café de cannelle moulue
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18 cl de lait écrémé
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2 blancs d’ œuf
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4 cuillères à soupe d’huile végétale
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4 cuillères à soupe de miel ( facultatif)
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100 g de courgette râpée
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Préchauffez le four à 190 C / thermostat 5.
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Beurrez votre moule à muffins ou utilisez des moules en papier.
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Mélangez la farine complète, la levure, le sel et la cannelle.
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Dans un autre saladier, mélangez le lait, les blancs d’œufs (légèrement battus), l’huile, le miel et la courgette râpée. Versez dans la préparation sèche (farine + levure + cannelle) et mélangez légèrement. La pâte doit être épaisse et grumeleuse.
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Remplir les moules à muffins au 2/3.
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Faites cuire au four pendant 20 minutes, jusqu’à ce que les muffins soient dorés.
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Les féminicides ne sont que des actes ultimes d’un long processus de sévices moraux et physiques, infligés aux femmes derrière les portes fermées des foyers.
Le 7 janvier, Zahra, 80 ans, est retrouvée égorgée dans son domicile à Annaba. Le 24 du même mois à Tébessa, Warda Hafadh, 45 ans, succombe à plusieurs coups de couteau assénés par son mari, devant ses enfants.
Elle a été pendant 25 ans victime de violences conjugales. Deux jours plus tard, Tinhinane Laceb, journaliste de 39 ans, est assassinée, à Alger, par son époux. Ce sont là les trois victimes de féminicides recensés durant les 31 premiers jours de 2021. L’année précédente, cinquante-quatre femmes ont perdu la vie par arme à feu, par arme blanche, par strangulation ou immolées par le feu. Soixante-quatorze victimes ont été déplorées en 2019.
Les agresseurs sont généralement des parents proches, des conjoints ou des amoureux éconduits. Les crimes sont commis au domicile familial, quelquefois sur la voie publique au sortir d’une audience de divorce. Sur le site féminicides-dz.com, les portraits des femmes assassinées défilent sous le slogan “Nous n’oublions pas”. Les administratrices du portail web, Narimane Mouaci Bahi et Wiame Awres, deux militantes des droits des femmes, tiennent, depuis deux ans, une comptabilité macabre, pour que “les femmes assassinées ne soient pas que des chiffres. Elles avaient des noms et des vies, parfois des enfants. Nous ne voulons pas qu’elles tombent dans l’oubli ni que leur assassinat soit un fait divers”.
Les statistiques qu’elles livrent sont forcément sous-évaluées, puisqu’elles se basent sur les filets publiés dans la presse nationale. Elles contactent des membres de la famille des victimes, recoupent l’information, donnent de menus détails sur les circonstances du crime. “Nous avons constaté que dans la presse il n’y a pas assez de détails que nous jugeons nécessaires pour traiter ce sujet : âge, nom de la victime, si elle avait déjà été violentée, si elle avait déjà essayé de demander le divorce ou de déposer plainte, si elle avait des enfants, sa fonction, entre autres. Nous aspirons ainsi à comprendre et analyser les mécanismes qui mènent aux féminicides”, expliquent-elles dans la rubrique : “Qui sommes-nous”.
La démarche, entreprise par les deux jeunes femmes, a le mérite de rendre aux femmes assassinées leur visage, leur vie, leur statut de victimes, sans parvenir, néanmoins, à bousculer les consciences, à briser les tabous. Le crime passionnel reste soumis à la loi de l’omerta. Le parricide et les fratricides sont souvent justifiés par l’honneur de la famille. L’on essaie de trouver un mobile valable au meurtre, en jetant la suspicion sur le comportement de la victime, qui aurait attiré les foudres de son agresseur par un comportement, une attitude, une provocation intentionnelle.
Par des commentaires suggestifs sur des réseaux sociaux, l’on a tenté de justifier la mort de Chaïma Sadou, 19 ans, torturée et brûlée vive par un repris de justice qui l’avait violée en 2016 (1er octobre 2020) ou Asma, 25 ans égorgée par son mari, qui l’a éventrée et a tué aussi le fœtus de 8 mois qu’elle portait (août 2020). “C’est pour que le féminicide reste impuni ou être condamné à une peine légère, qu’on invoque l’honneur de famille et la transgression de normes sociales”, relève Soumia Salhi, militante féministe. Les parents taisent leur douleur, livrent, parfois, une version des circonstances du drame plus édulcorée comme l’a fait le père de la journaliste Tinehinane Laceb.
Dalila Iamarène Djerbal donne une explication : “Les familles ne justifient pas le crime. Elles essaient de protéger la mémoire de leur fille, peut-être mal, mais c’est tout ce qu’elles ont trouvé pour un soutien qu’elles n’ont pas pu ou su lui offrir de son vivant.” La sociologue relève que “les proches ne réalisent l’impact des violences que lorsque leur fille est morte”. Ouarda, la quarantaine, a repris son destin en main après quinze années de vie conjugale tourmentée. “Le jour où j’ai annoncé à mes parents ma volonté de divorcer, ils m’en ont dissuadée, en me disant qu’il me tuerait avant. Si je les avais écoutés et si j’avais renoncé à la séparation, je serais probablement morte”, nous révèle-t-elle.
Il est admis que les féminicides ne sont que les actes ultimes d’un long processus de sévices moraux et physiques infligés aux femmes derrière les portes fermées des foyers. “Nous sommes tous responsables de sa mort”, a martelé l’imam dans son oraison funèbre à l’enterrement de Tinehinan Laceb, le 28 janvier au village Bouadma (wilaya de Tizi Ouzou). Sans retenue, il a dénoncé les violences faites aux femmes, aggravées par la duplicité de l’entourage et l’hypocrisie de la société. “Je l’ai dit à la mosquée, je n’ai aucun respect pour celui qui ose lever la main sur une femme. C’était une fille très bien éduquée, que tout père souhaiterait avoir. Elle était passionnée par son travail, et éduquait ses filles comme elle a été éduquée elle-même”, a poursuivi l’homme de religion.
source : journal liberté
Nicolas Hulot en visite en Algérie à partir de demain
Envoyé spécial du Président Français
Par : journal liberté
Le militant écologiste, Nicolas Hulot, envoyé spécial du président François Hollande pour la préservation de la planète, sera en Algérie du 18 au 21 février. La visite de M. Hulot en Algérie s’inscrit dans la perspective de la préparation de la Conférence Paris Climat 2015 (COP21). Lors de ce déplacement, M. Hulot aura des échanges avec les autorités algériennes et rencontrera des personnalités algériennes, des figures de la société civile et des entreprises françaises impliquées dans la problématique écologique et environnementale. Il donnera une conférence mercredi prochain à l’Institut français d’Alger consacrée “aux enjeux universels de la protection de la planète”.
source photo : gala.fr
Ces muffins à la farine complète, sont diététiques et bons pour vous. Le lait écrémé, les blancs d’œufs et juste un tout petit peu d’huile font de ces gâteaux une friandise saine.
Ingrédients
Méthode de préparation
L’Algérie compte 38,7 millions d’habitants :
Par : focus-algerie.com
L’Algérie compte de plus en plus d’habitants. La croissance démographique ne cesse de progresser. Pour preuve, “au 1er janvier 2014, la population résidente totale en Algérie a atteint 38,7 millions d’habitants”, nous apprend l’Office national des statistiques (ONS).
Dans son dernier recensement, cet office prévoit une population de “39,5 millions d’habitants au 1er janvier 2015″. Cette croissance démographique pose ainsi de nouveaux défis économiques et politiques puisqu’il faudra que le développement du pays puisse répondre aux besoins de toute cette population de plus en plus jeune. Oui, jeune parce que l’Algérie enregistre des chiffres impressionnants en matière de volume des naissances. En effet, en 2013, l’Algérie a enregistré pas moins 963.000 naissances vivantes contre 168.000 décès. En plus, pas moins de 388.000 Algériens se sont mariés en 2013.
De son côté, l’ONS relativise ces chiffres et signale que la situation démographique en 2013 a été marquée essentiellement par une régression du volume des naissances” par rapport aux années dernières. Ceci dit, nous avons assisté à “une progression importante des mariages“, précise-t-on en dernier lieu.
Une aventure culturelle, à travers les villes de Dellys et Tigzirt nous voyagerons dans le temps, de la victoire du roi Chachnak à l'empereur Septime Sévère, en passant par les histoires des rois numides. Et pour couronner cette belle aventure, une balade en barque autour de l'ilot de Tigzirt (selon météo)
Départ
7h30 - Passerelle Ali mellah (champs de manoeuvres)
Restauration
La sortie est en pension complète (déjeuné traditionnel préparé avec les soin d'une famille locale )
Transport Bus : Personnel
Trois accompagnateurs.
Nombre de places : 30
Prix : 2200 Da
Réservation et information au 0550 783529
Possibilité de payement par CCP
N° CCP 1994013 CLE 08
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Mr ABBOUD Nabil
**Guide écotouristique.
Master en conservation de la biodiversité.
Étudiant en Master Écotourisme
Inscription
0550-783-529
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