Recette cocktail multivitaminé : 03 Novembre 2014 recettes cuisines et chroniques culinaires
Recette Cocktail multivitaminé :
Afin de réaliser un délicieux cocktail vitaminé, il vous faut : 4 Kiwis, 2 oranges, et 1 belle pomme.
Epluchez les oranges, les kiwis et la pomme, puis couper tous les fruits en gros morceaux. Mettre tous les ingrédients dans le bol et mixer. et voila un délicieux cocktail a consommer en cas de fatigue.
source photo : ecorazzi.com
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Pourquoi j’ai tout le temps faim ? Et comment y remédier !16 Juin 2021
L'auto-hypnose calme et apaise rapidement l'esprit et vous aide à vous connecter à votre inconscient, siège des émotions et des apprentissages.
Vous êtes complètement connecté à votre inconscient , ce qui vous aide à apporter les changements dont vous avez besoin pour améliorer votre vie: le stress, les peurs, les croyances limitantes, les problèmes relationnels peuvent être inversés avec une pratique régulière de l'auto-hypnose. Mieux !
L’auto-hypnose vous permettra d’aller au-delà de vos limites, de vous surpasser et d’aller à la conquête de nouveaux challenges !
L’auto-hypnose, c'est comme mettre en place un nouveau programme, en remplaçant les vieilles croyances et les modèles qui ne nous servent plus parce qu’ils devenus inutiles, pire : contre-productifs !
Nous allons ensemble explorer le pouvoir de l’inconscient et comment nous avons tous le contrôle sur notre qualité de vie. Vous pouvez former votre inconscient à vous aider à créer la vie dont vous avez tant rêvé!
Cette formation est une introduction à 100% pratique à l’auto-hypnose. Il est dispensé par M.Nadjib MIZI, Expert en Coaching PNL et en Hypnose, formé, certifié et agréé par le Dr.Richard Bandler, fondateur de la PNL (UK & USA).
Lieu : Ecole Nid'Arts. 39, Coopérative Errochd, Clos Les Vergers, Vieux Kouba, Alger.
Tarif: 10.000 Dinars
ALGER- Située à 15 Km à l’Ouest d’Alger sur des crêtes surplombant la mer, la forêt de Bainem draine un grand nombre de familles et de promeneurs en quête de détente et de distraction depuis le début des grandes vacances d’autant que la sécurité y est assurée.
Bien que la tentation des plages et des baignades en mer est grande, il n’en demeure pas moins que cet espace naturel attire ses adeptes à chaque fin de semaine. En effet, de longues files se forment tôt le week end à l’entrée de la forêt- encadrée par la direction des forêts de la wilaya d’Alger relevant de la Direction générale des forêts- pour y faire provision d’air pur et de tranquillité.
Poumon de la capitale: la forêt accueille plus de 800 visiteurs/jour
Le responsable de la circonscription de la forêt de Bainem M. Hocine Ali a indiqué dans une déclaration à l’APS que cet espace est pris d’assaut par les citoyens car il est facile d’accès et surtout sécurisé. Les visiteurs y trouvent leur compte qu’il s’agisse de pratiquer différents sports ou de s’adonner à des jeux de loisirs et de distraction, a-t-il souligné ajoutant que l’on enregistre
quotidiennement une affluence de plus de 800 personnes atteignant le point culminant le week end tout le long de l’été.
Véritable espace naturel vierge, la forêt de Bainem dont cinq communes (Bouzareah, Hammamet, Rais Hamidou, Ain Benian et Beni Messous) se partagent les frontières, est le poumon de la capitale.
« Nous oeuvrons à améliorer les conditions de « villégiature » et à assurer des espaces de détente et de quiétude d’autant que la forêt reste une destination de choix pour la pratique d’un sport individuel notamment en fin d’après-midi.
Selon M. Hocine Ali, les familles fréquentent de nouveau cet espace de prédilection du fait de l’amélioration de la situation sécuritaire mais aussi des prestations assurées.
La forêt de Bainem a connu de nombreux travaux d’aménagement et de réalisation de structures de services à l’instar des espaces de jeux et de loisirs, des gargotes, des fontaines publiques et des toilettes, a-t-il rappelé.
Il a ajouté qu’avant la saison estivale, nous avons lancé des projets d’aménagement et de nettoyage de la forêt qui s’étend sur 504 ha outre des campagnes de sensibilisation en direction du grand public pour prévenir les feux de forêts.
Le même responsable a indiqué que 53 interventions contre les incendies au niveau de la forêt ont été enregistrés depuis juin dernier, précisant que 4 équipes composées de dix agents en sus d’un groupe d’intervention rapide des agents de la protection civile sont intervenus au niveau des circonscriptions de Sidi M’hamed, Bouzareah, Cheraga et Bab El Oued.
Il a en outre précisé que la forêt de Bainem a bénéficié dans le cadre du plan de lutte contre les feux de forêts d’équipements nécessaires à l’intervention rapide avant l’arrivée des équipes de secours de la Protection civile dont des citernes de 50 m3 chacune.
M. Hocine Ali a par ailleurs rappelé que les services de la Direction des forêts ont procédé à l’ouverture des chemins et des sentiers pour permettre aux équipes d’intervention d’accéder rapidement aux foyers d’incendies.
Le nombre d’agents intervenant dans la protection de cette vaste forêt reste néanmoins insuffisant, a-t-il souligné.
Un nouveau projet pour l’aménagement de la foret de Bainem
Le responsable de la circonscription de la forêt de Bainem a précisé que le projet d’aménagement et d’extension de l’espace d’accueil des visiteurs de la forêt de Bainem comptait parmi les plus projets les plus importants du secteur, soulignant que les études étaient d’ores et déjà en cours, dans l’attente de sa concrétisation dès attribution d’une enveloppe financière appropriée.Il a indiqué que ce plan d’aménagement sera réalisé par la wilaya d’Alger.
Le projet qui s’étend sur une superficie de 50 hectares devra procurer des pôles de divertissement et de loisirs répondant aux critères internationaux et aux exigences de la relance du tourisme environnemental.
D’autre part, une étude a été lancée pour la création de 8 aires d’attraction et de loisirs dont des stades de tennis et de pétanque, des vélodromes, des hippodromes, un site avec une vue sur mer par télescope, des espaces pour le tir sur lâcher de pigeons et autres structures de commodités comme les restaurants, a-t-il poursuivi.
M. Hocine Ali a annoncé en outre que dans le courant de l’année, les cours d’eau qui traversent la forêt ont été drainés outre l’ouverture d’autres cours principaux sur une distance de 32km.
Dans le cadre de cette opération, plus de 199 hectares ont été plantés dont 133 hectares en eucalyptus qui représente 60% de la végétation de la forêt. Les espaces réservés aux aires de jeux et de divertissement occupent, quant à eux, plus de 50 hectares.
Par ailleurs, une route sillonnant la foret sur une longueur de 16km a été asphaltée sans oublier les sentiers sur une distance de 45km avec la mise en place de 134 de centres d’alerte.
-Le problème des déchets et l’organisation de battues de sangliers-
Toujours selon M. Hocine Ali, la forêt est exposée à une nuisance du promeneur qui ne mesure pas la préciosité de cet espace écologique en raison majeure de certaines attitudes inciviques dont le déversement des déchets ce qui attire les sangliers vers la foret, l’ensemble des régions sub-urbaines et les quartiers limitrophes semant la panique chez les citoyens.
Sur la base de rapports établis, les communes procèdent et sur instruction des walis délégués et du wali d’Alger, à l’organisation de « battue ». En vertude la loi sur la chasse, l’opération, organisée sur demande de la commune à raison de 5 à 6 fois par an, consiste à chasser le sanglier dans le périmètre de la forêt afin de limiter sa reproduction et ce, en coopération avec la Fédération des chasseurs, a-t-il encore dit.
Cependant, le problème des déchets se pose avec acuité pour les agents de la circonscription de la forêt qui peinent à contrôler le passage des camions qui empruntent la route secondaire qui la traverse chargés de déchets et de résidus de matériaux.
Il a ajouté à ce propos, que plusieurs personnes ont été prises en flagrant délit en train de déverser des déchets. Après signalement, les services de la gendarmerie nationale ont pris des mesures à leur encontre pour les présenter à la justice.
Quotidiennement, plus de deux camions de déchets soit 6m3 sont enlevés.
Actuellement, une opération de collecte d’échantillons et d’espèces de la faune et de la flore que recèle la région.
Le tapis végétal de la wilaya d’Alger s’étend sur une superficie de 5 000 hectares qui renferme 113 sites forestiers qui ont la particularité de se situer au coeur du tissu urbanistique et urbain.
source : aps.dz
Conférence : 5 figures de l’émancipation algérienne
Par Michel Kelle, Agrégé de grammaire, ancien inspecteur d'académie-inspecteur pédagogique régional, coauteur de « 5 figures de l’émancipation algérienne » (Karthala, 2013)
Michel Kelle présente le parcours de cinq figures marquantes liées à l’histoire de l’Algérie du XXème siècle : deux Français de métropole, Germaine Tillion (1907-2007) et André Mandouze (1916-2006), et trois pieds-noirs, Alfred Bérenguer (1915-1996), Charles Koenig (1921- 2009) et Pierre Claverie (1938-1996).
Pourquoi ce choix ? Il permet de traverser l’histoire douloureuse de l’Algérie des années 1930 (apogée de l’époque coloniale avec la célébration du centenaire du débarquement de 1830) jusqu’aux trente premières années mouvementées de l’indépendance, en passant par la période cruciale de la guerre de libération. Dans des positionnements et des engagements différents dus à leur histoire personnelle, faisant souvent preuve d’une clairvoyance prémonitoire, ces personnalités ont cherché, chacune à sa manière, à alerter les Européens d’Algérie et les Français de métropole sur les périls d’un sys¬tème colonial fondamentalement injuste. Mais leur engagement ne vaut pas seulement pour le XXème siècle.
« Passeurs des deux rives », ils restent pour aujourd’hui et demain sans doute des modèles de volonté et de courage au service d’un dialogue « à la recherche du vrai et du juste ».
Dans ce film comédie inspiré d’une histoire vraie, Ahmed Sylla incarne un jeune banlieusard qui part à la conquête de l’Everest par amour.
Derrière le rire et la légèreté, il y a une histoire vraie, celle de Nadir Dendoune. En 2008, il fut le premier franco-algérien à gravir l’Everest par le versant sud-népalais, sans avoir aucune expérience de la haute montagne.
Une incroyable leçon de persévérance, ou face à une volonté de fer, rien n'est impossible.
Film disponible en streaming sur le net : http://www.voirfilms.ws/lascension.htm
La rédaction
Les reines des petits en-cas entre les repas, des portions plus grosses que de raison et du petit carré de chocolat avant d’aller au lit, c’est nous ! Explications du site magazine-avantages.fr et les solutions pour cesser d’avoir tout le temps l’estomac dans les talons et se sentir, enfin, rassasiée.
Manger ce qui nous fait envie, sans se priver, sans compter les points ou les calories, et surtout sans culpabiliser... un rêve qui peut devenir réalité grâce à l’alimentation intuitive. À contre-courant de la tyrannie des régimes, cette méthode – qui a le vent en poupe – aide à redécouvrir les sensations de faim et de satiété, à écouter son corps et à ne plus diaboliser certains aliments. Bref, à arrêter d’être dans le contrôle face à notre appétit afin d’éviter l’effet yo-yo sur la balance. OK, mais comment fait-on la paix avec sa faim ? « Déjà, en apprenant à la ressentir dans le corps, explique Caroline Seguin, diététicienne- nutritionniste comportementaliste. Elle apparaît normalement au-delà de trois heures sans manger. Il faut l’accepter, l’apprivoiser et ne pas chercher forcément à la résoudre immédiatement, en grignotant, surtout quand le prochain repas est proche. » Seul problème : il existe mille et une sensations de faim différentes, car notre cerveau et notre corps nous envoient une foule de messages, qui sont parfois contradictoires. Mode d’emploi pour bien les décrypter et leur apporter une réponse adaptée.
La « vraie » faim
Elle se manifeste dans tout le corps – ventre qui gargouille, tête qui tourne, bouche qui salive, baisse d’énergie – et disparaît quand on refait le plein de carburant. Si elle apparaît une ou deux heures après le dernier repas, quelque chose cloche : soit on ne mange pas assez, soit on mange trop vite (bien mastiquer est indispensable pour se sentir rassasiée sur la durée), soit on ne choisit pas les bons aliments pour une énergie durable (voir « Nutrition : 10 aliments qui calent sans faire grossir » ). Exemple : le combo jus de fruit et tartine à la confiture au petit déjeuner fait grimper le taux de sucre dans le sang à toute vitesse et provoque des fringales dans la matinée. « Aller vers du salé le matin (œuf, jambon, fromage...) aide à tenir jusqu’au déjeuner », précise le Dr Robert Viala, endocrinologue. Si on a besoin de douceur au réveil, on privilégie le pain complet, de seigle ou aux céréales, agrémenté de beurre ou, mieux, de purée d’amandes. Ou des flocons d’avoine (sans sucres ajoutés) accompagnés d’un laitage (yaourt, jus végétal type soja ou amande) et d’un fruit entier. Au déjeuner, gare à la salade minceur ou au plat soi-disant diététique : « Pour manger léger, on est tentée de zapper les pâtes et le riz, et d’associer uniquement protéines et légumes. Ce mélange est trop vite digéré, c’est la garantie d’avoir faim deux heures après le repas », met en garde Caroline Seguin. Pour s’assurer que notre glycémie redescend doucement jusqu’au dîner, on mise sur les céréales (pâtes, riz, quinoa...), complètes si possible, et les légumineuses (lentilles, haricots, pois chiches, fèves...). Idem le soir : une soupe ou juste une salade détox favorisent les grignotages nocturnes. On y ajoute une portion de glucides à index glycémique bas (céréales complètes ou légumineuses).
La faim qui cache autre chose
On a beau appliquer les conseils précédents, on continue à avoir la dalle en permanence ? Il faut creuser du côté des hormones. En effet, la production de messagers de la faim au niveau de notre cerveau (plus précisément de notre hypothalamus) est influencée par le grand bal hormonal. Sinon, il peut également s’agir d’une bactérie.
Les fringales quelques jours avant les règles ne se jouent pas uniquement dans notre tête : « Certaines femmes ressentent des envies sucrées irrépressibles à cause d’un déséquilibre entre œstrogènes et progestérone qui impacte le taux de sucre dans le sang », confirme le Dr Viala. Seule option : apporter à notre organisme des aliments qui le calment et le calent durablement – bol de flocons d’avoine/muesli avec des morceaux de fruits secs (amandes, noix...) ou fromage blanc avec de la coco râpée. Plutôt envie de salé ? Une tranche de pain complet avec un morceau de fromage permet d’éviter les chips. Pour être plus sereine, on s’appuie sur un complément alimentaire à base de safran ou de magnésium/B6 qui régule l’humeur, l’anxiété... et l’envie de grignoter.
On l’a tous expérimenté : après une nuit blanche (ou trop courte), on se jette sur la nourriture pour « tenir ». Logique puisqu’on a besoin d’aller chercher de l’énergie (des calories) pour lutter contre la fatigue. Mais il n’y a pas que ça : la production de l’hormone du sommeil (la mélatonine) est intimement liée à celle de la ghréline et de la leptine, deux hormones qui régulent l’appétit. Perturber la première en se couchant trop tard ou en s’exposant à la lumière la nuit revient à dérégler les deux autres. On se recale en essayant de se coucher et de se lever tous les jours à la même heure, et de dormir entre sept et huit heures par nuit. Si nos insomnies sont liées au stress, on s’aide d’une cure de valériane, une plante relaxante.
Cette petite glande située à la base du cou produit des hormones qui interviennent dans tout l’organisme. Lorsque la thyroïde est trop active, on a tout le temps faim, mais on maigrit à vue d’œil, notre cœur bat très vite, on a chaud même quand il fait froid, on a des sautes d’humeur... Une prise de sang permet de connaître les taux d’hormones TSH et T4, et des médicaments aident à retourner à l’équilibre.
À force de manger des aliments à l’index glycémique élevé (c’est-à-dire qui font rapidement monter le taux de sucre dans le sang), notre pancréas se fatigue et l’insuline qu’il produit est moins efficace. Bilan des courses : le sucre a plus de mal à pénétrer au cœur des cellules pour les nourrir, notre glycémie fait le yo-yo et on a souvent faim. En parallèle, on va uriner plus fréquemment, car l’excès de sucre est éliminé par les reins. On est assoiffé. Il faut consulter et faire une prise de sang pour avoir un diagnostic et des conseils adaptés en cas de diabète.
« Il provoque une faim violente, comme un trou dans l’estomac, dans les heures qui suivent les repas. On confond sensation de faim et douleur car celle-ci se calme en mangeant », détaille Caroline Seguin. La coupable est souvent une bactérie (Helicobacter pylori), identifiée par une fibroscopie ou un test respiratoire. Bonne nouvelle : une semaine d’antibios règle le problème et un traitement anti-acide d’un mois permet à la muqueuse de cicatriser.
La faim à force d’enchaîner les régimes
En se focalisant sur le nombre de calories avalées chaque jour pendant des régimes, sur les aliments à privilégier ou à éviter, on se coupe de nos signaux internes et on ne sait plus vraiment quand on a faim. Et plus on se prive, plus on déconnecte notre cerveau de nos ressentis. Pour renouer avec la satiété, on essaye ces trois exercices, inspirés de l’alimentation intuitive et du livre Mangez comme vous aimez, de Laura Thomas (éd. Larousse)...
Sauter un repas pour voir. Pendant 3 jours, on zappe le petit déjeuner ou le déjeuner afin d’observer la « vraie » faim physique, comment elle évolue si on ne mange pas tout de suite, et ne plus la confondre avec autre chose.
S’arrêter de manger avant d’avoir fini son assiette. On essaie de repérer quand on est satisfaite, en guettant par exemple le moment où le plat nous attire moins et en marquant 5 secondes de pause entre chaque bouchée afin de vérifier si on a encore faim.
Le scan corporel pour (ré)écouter son corps. Au moins une fois dans la journée, assise dans un endroit calme, les yeux fermés, le dos droit, on porte attention à notre respiration, aux mouvements de va-et-vient du ventre et de la poitrine, à la sensation de chaleur, d’air sur la peau... Et on observe les sensations dans chaque partie du corps, du bout du doigt de pied au sommet du crâne.
La faim psy
Un coup de stress et on se rue sur le frigo ? Normal puisque le niveau de cortisol (l’hormone du stress) impacte l’appétit. Et ça arrive aussi quand on s’ennuie, qu’on est triste... « C’est une faim psychologique. On pense combler une sensation de vide via la nourriture », résume Caroline Seguin. Le signe qui ne trompe pas ? La faim passe rapidement si autre chose vient nous distraire. Il faut mettre en place une stratégie efficace pour mieux gérer ses émotions (et ses compulsions). On a tendance à grignoter par ennui ? Si possible, on sort marcher, faire une course... Si on doit rester à l’intérieur, on se prépare une tisane (au maté, par exemple, qui apaise la faim) ou on fait un truc utile tiré de notre to do list. Si on mange plutôt quand on stresse, on se calme grâce à la cohérence cardiaque : cinq minutes de cette respiration font redescendre le taux de cortisol pour quatre à six heures (applis Respira ou Respirelax). Si c’est la tristesse, la colère ou la culpabilité qui nous font dévorer, on mise sur la sophrologie, avec des exercices qui passent par le corps et la respiration pour accepter l’émotion quand elle se présente et prendre du recul. On peut visualiser pendant quelques minutes, de façon très détaillée, une sensation agréable (lieu, son, paysage...) qui va apaiser et se substituer à la pulsion. Bien entendu, si nos émotions mettent notre santé en danger en nous poussant à manger plus que de raison ou en nous rendant malade, on consulte un spécialiste (nutritionniste, psy...).
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.