
La journée du 8 mars trouve son origine dans les longues luttes des femmes de l'année 1910 dont faisait partie la grande militante révolutionnaire socialiste Clara Zetkin. Ce n'est pourtant qu’en 1977 que la journée internationale des luttes des femmes fut officiellement reconnue par les Nations Unies comme l'apanage d'une série de luttes féministes.
A côté de ça, la femme algérienne, elle aussi, a pris part à ces mouvements de luttes, notamment lors de la guerre de libération nationale, où elle a participé courageusement à l'indépendance de son pays opprimé et colonisé. Les moudjahidates avec leur participation glorieuse à la guerre ont arraché de considérables avancés notamment le droit à la scolarisation et au travail.
Le 8 mars est donc l'occasion pour nous les femmes de revendiquer l'égalité, de faire un bilan sur notre situation dans la société et d'améliorer nos conditions et non une fête qu'on attend chaque 8 mars de l'année pour recevoir des cadeaux ou pour pouvoir sortir des quatre murs où on est emprisonnées.
Il est temps de nous lever pour nos droits, l'immense travail qu'ont fait les Zetkin, Simone, Kolontai et toutes les féministes qui se sont battues jusqu'à la mort pour un monde meilleur sans oppressions ni inégalités, comme l’ont fait nos chères camarades Nabila Djahnine et Katia Bengana, qui nous ont quitté à la veille d’un 8 mars.
Pour que leurs combats ne connaissent pas de fin jusqu'à émancipation totale de toute l'humanité, nous devons reprendre le flambeau et pour cela nous appelons l'ensemble des citoyennes et citoyens qui s'identifient dans le combat pour l'émancipation des femmes, à venir massivement au RASSEMBLEMENT POPULAIREqui aura lieu :
le jeudi 8 mars 2018à partir de 17h30
à la place de la liberté d’expression Saïd-Mekbel de Béjaïa.
Velouté de champignon :
Ingrédients (pour 4) :
- 400g de Champignons de Paris blancs ( où en conserve)
- 1 Pomme de terre
- 1 Échalote
- Crème fraîche
- Sel, Poivre
Préparation :
- Préparer les champignons en coupant le bout du pied et en les passant sous le robinet d'esu pour retirer les impuretés
- Les couper en lamelles ou en morceaux
- Éplucher la pomme de terre et la couper en morceaux
- Éplucher l'échalote et la couper en 4
- Mettre l'ensemble des ingrédients ci-dessus dans une casserole et ajouter de l'eau juste au-dessus des ingrédients, avec une grosse pincée de sel
Cuisson :
- Faire cuire l'ensemble à feu doux pendant 40 minutes après ébullition
- Mixer les ingrédients cuits avec un peu de jus de cuisson
- Remettre dans une casserole, ajouter du jus de cuisson pour obtenir la meilleure consistance
- Ajouter deux grosses cuillères de crème fraîches et mélanger
- Saler et poivrer
- Réchauffer avant de servir chaud
Le Conseil du Chef :
- Les champignons étant plus difficiles à mixer que les autres ingrédients, il convient de bien les cuire
Accompagnement :
- Pour servir ajouter sur le velouté de chaque assiette, quelques lamelles fines de champignons frais que l'on peut poser délicatement avec la pointe d'un couteau
source recette : recettessimples.fr

Le président du jury, le journaliste Lotfi Madani, a donné lecture d’un communiqué selon laquelle la catégorie Article d’Investigation ne pouvait être récompensée cette année, compte-tenu du flux en baisse des enquêtes de presse obéissant à ses critères. Le jury a donc remis la main à l’organisateur, le journal électronique Maghreb Emergent, pour délivrer le palmares 2021. Ainsi donc, la dotation de 500 000 dinars a été partagée entre quatre lauréats. Une nouvelle catégorie a été lancée cette année pour récompenser les lanceurs d’alerte.
Le premier prix dans la catégorie « enquête de presse » a été attribué au journaliste et écrivain Saïd Oussad pour son article sur la filière de la harga publié sur le journal Liberté. Un prix spécial de l’organisateur a récompensé la journaliste Samira Moaki pour l’ensemble de son travail de journalisme d’immersion, notamment en faisant l’expérience de la harga sur un botti et en couvrant la guerre d’Irak ou elle a survécu à une balle dans la tempe.
Dans la nouvelle catégorie des lanceurs d’alerte, Nourredine Tounsi, ancien cadre au port d’Oran, source révélant aux médias de nombreuses affaires, dont celle de la filière de la cocaïne, a reçu un premier prix. Il est sorti de prison le 23 septembre dernier, après une année de détention pour des poursuites consécutives à son travail d’alerte.
Le veilleur et lanceur d’alerte sur les détenus d’opinion Zaki Hannache a reçu un 2e prix pour la qualité de son immense travail de collecte d’informations au bénéfice des familles de détenus, des avocats et de la presse.
Solidarité avec Omar Radi
La cérémonie a évoqué la détention du journaliste marocain indépendant Omar Radi présent lors de la 3e édition en décembre 2019 et aujourd’hui lourdement condamné à six de prison, en relation avec son activité professionnelle. De même un hommage a été rendu à Hamza Anis Chelouche, journaliste de Radio M et Maghreb Emergent brutalement disparu le 23 septembre dernier. Son père, le journaliste Mohamed Chelouche a remis le 1er prix de la cérémonie. Les autres remettants étaient la journaliste Souhila Benali, et les avocats Mostefa Bouchachi et Said Ezzahi.
De nombreuses personnalités de la vie publique nationale ont assisté à cet évènement. Le jury a recommandé à l’organisateur du prix d’engager une réflexion pour réformer le prix biennal pour sa prochaine édition en 2023 afin de faire face au tarissement des travaux d’investigation dans les médias algériens.
Le prix Ali Boudoukha est doté, depuis sa première édition en 2014, par le public grâce à une levée de fonds sur la plate forme KisskissBankbank. La levée de fonds 2021 est toujours en cours.
CP
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