
La vidéo, rapidement devenue virale sur les réseaux sociaux, montrant un mineur âgé de 15 ans frôlant l’hystérie, a mis en émoi l’opinion publique.
D’une voix saccadée entrecoupée de sanglots, Saïd Chetouane s’est plaint d’un harcèlement corporel et moral qu’il aurait subi pendant les douze heures qu’il avait passées au commissariat de Bab El-Oued. Il a été interpellé, dans ce quartier populaire, plus tôt dans la journée de samedi, alors qu’il participait à une manifestation contre le régime.
L’adolescent s’est visiblement ressaisi au lendemain de “son supplice”. Contacté par téléphone, il nous a confié qu’il engagerait, sous la tutelle de ses parents, des poursuites judiciaires contre ses présumés agresseurs.
Il s’échinait, hier, à constituer le dossier de la plainte. “Je me suis déplacé chez un médecin pour qu’il m’oriente vers le service de médecine légale du CHU de Bab El-Oued, lequel devait me délivrer un certificat médical descriptif. Je suis parti ensuite à l’hôpital psychiatrique de Blida pour un soutien psychologique. Là où je vais, on me demande de revenir le lendemain”, a-t-il affirmé.
Par pudeur, le jeune garçon n’a pas voulu nous raconter ce qu’il a réellement enduré dans les locaux de la sureté nationale. Deux activistes dans le Hirak, Mohamed Tadjadit et Sohaïb Debaghi en l’occurrence, l’avaient, néanmoins, filmé la veille en détresse, soutenant avoir été victime d’“attouchements sexuels” pendant sa courte garde-à-vue. Sa maman a corroboré les faits sur la foi des confidences du garçon.
La Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme a aussitôt rendu public un communiqué dans lequel elle incite le parquet général à s’auto-saisir sur “ces allégations de torture” et ouvrir une information judiciaire.
La section locale d’Amnesty International exige, également, l’ouverture d’une enquête sur cette affaire. “Les conclusions de cette enquête doivent être rendues publiques dans les plus brefs délais et les responsables présumés traduits en justice dans le cadre d’un procès équitable”, souligne l’ONG.
Le Comité national de libération des détenus (CNLD) s’est insurgé contre “des agissements choquants, inhumains et inadmissibles”. L’ex-députée RCD, avocate et militante des droits de l’Homme, Fetta Sadat, s’est indignée, sur son compte des réseaux sociaux, sur la récurrence des violations des dispositions “de la loi fondamentale et des conventions internationales dûment ratifiées par l’Algérie, en l’espèce, celles portant sur la protection de l’enfant (…) Les responsabilités doivent être situées, les auteurs de ces actes ignobles démasqués et condamnés. On n’attente pas impunément à l’enfance”.
Karim Tabbou, coordinateur de l’Union démocratique sociale (UDS, parti non agréé), a condamné durement les faits : “(…) Les sévices subis par Saïd Chetouane sont d’une gravité telle que personne n’a le droit de rester indifférent.” Il rappelé des cas similaires, signalés dans plusieurs régions du pays. “C’est une pratique qui tend à devenir systématique. Le pouvoir utilise tous les procédés de persécution pour tenter d’affaiblir le Hirak”, a-t-il affirmé.
Ce n’est pas la première fois que des cas similaires sont rapportés par les médias. Walid Nekiche, un étudiant de 25 ans, a révélé, lors de son procès en première instance, avoir été “agressé physiquement et sexuellement” pendant les interrogatoires par les services de sécurité.
Le parquet général avait ordonné l’ouverture d’une enquête préliminaire. Mais à ce jour, rien ne filtre sur les résultats de cette enquête. Quelques semaines plus tard, un autre activiste, Sami Dernouni, avait juré aussi devant le juge de siège qu’il avait été victime de torture lors de sa garde à vue dans les locaux des services de sécurité.
Source : journal liberté

Sucre, soda, gras… A trop consommer ces produits, le foie se gorge de graisse au fil des années jusqu’à cesser de fonctionner
D'après l'article paru sur le site LeParisien.fr, Entre un et deux millions de Français sont touchés par la NASH, en pleine extension, en raison de notre alimentation trop riche. Les médecins lancent l’alerte.
Les mots sont forts, le ton informatif, en apparence, fataliste. « Si on continue, la France n’aura jamais assez de greffons pour sauver tout le monde », s’échauffe Dominique Lannes, hépato-gastro-entérologue, médecin à la Clinique du Trocadéro et Mont-Louis, à Paris. La maladie du soda, fléau longtemps sous-estimé, connaît actuellement une telle escalade qu’elle est l’un des sujets les plus discutés au congrès européen d’hépatologie qui se tient, jusqu’à dimanche, Porte de Versailles. Près de 10 000 spécialistes échangent sur cette pathologie qui affole dans le monde et l’Hexagone.
On estime que 30 % des Français ont un foie trop gras, causé par l’excès de sucre et de graisse. Et que 10 % d’entre eux, soit 1 à 2 millions de la population, sont au stade de la NASH ou « maladie du soda », c’est-à-dire que cette accumulation a créé une inflammation. Sans qu’on sache pourquoi certains la développent et d’autres non.
« Le terme NASH est appelé à devenir un nom commun comme l’acronyme SIDA »
Le foie peut devenir fibreux, mal fonctionner, évoluer vers une cirrhose ou un cancer. « On en voit chez des gens de plus en plus jeunes qui n’ont jamais bu une goutte d’alcool », explique Dominique Lannes. Depuis un an, les voix des médecins s’élèvent, et les labos cherchent, à tout prix, un médicament. Ce docteur de 58, ans qui vient de publier « Nash, la maladie de la malbouffe » (Flammarion), va plus loin. Il prédit un futur inquiétant à l’heure où l’obésité atteint les 17 % et la sédentarité explose : « Le terme NASH est appelé à devenir un nom commun comme l’acronyme SIDA ».

Ndif (Propre) est une application éco-responsable initiée par l’Agence Nationale des Déchets (AND) où les utilisateurs peuvent s’exprimer et agir vis-à-vis de leur environnement. Protéger nos villes est dorénavant une responsabilité partagée. Pour réaliser ce challenge, l’application permet le repérage, la signalisation et la caractérisation des poubelles non ramassées et des décharges sauvages, le tout, dans une interface conviviale accessible à tous.
Comment participer à la propreté de ma ville ?
1 - Signalisation :
Il suffit de prendre en photo et de partager une poubelle non ramassée, une décharge sauvage ou un bac à ordures cassé ou qui déborde pour accélérer le processus de nettoyage, via la géolocalisation votre position vous fournissez aux autorités en charge, une feuille de route qui mène efficacement à l’endroit en question.
2 - Suivi des réclamations :
Lorsque vous signalez une poubelle non ramassée, une décharge sauvage ou un bac à ordures cassé ou qui déborde, vous recevez un récapitulatif de votre réclamation sur l’application. L’AND le communique aux autorités locales et revient vers vous afin de s’assurer que le lieu a bien été nettoyé.
Vous pouvez dès aujourd’hui aider à la propreté de votre ville, rien qu’en téléchargeant l’application Ndif sur votre téléphone.
Les plages privées pullulent de plus en plus en Algérie, entre Marina Palm située à Bordj el Bahri ou Sunset Beach situé au niveau de l'hôtel Sultan à Palm Beach, les Algérois ont de plus en plus de choix, mais celle qui a attiré notre attention cette année c’est la plage Khelwi Beach/Club Azur Plage,
Khelwi Beach est située à Sidi Ferdj, elle offre à sa clientèle un espace sécurisé, ou les couples, les familles et les enfants trouveront leurs bonheur grâce à un programme riche en activité :
-séance de soin du visage/manucure
-séance zumba fitness Beach
-animation clown pour enfants
- terrain de volet
- Ballade à cheval
Des prestations qui pourraient ravir grands et petits !
Les gérants de la plage privée Khelwi Beach / Club Azur Plage, soucieux du bien-être des leurs clients, mettent à leur disposition une zone Vip : un carré exotique et original, ou ils pourront réserver une pergola pour deux personnes avec des matelas haut de gamme, et en prime un staff spécial au service des estivants de cette zone.
La rédaction


Le Sofitel Alger a le plaisir d'accueillir le samedi 06 avril à partir de 16 heures le vernissage de l'exposition "Voyage d'inspiration" par l'artiste Mohamed zeghdoudi.
Art is Magnifique at Sofitel Algiers hamma garden
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