Vente privée spécial produits de VICTORIA´S SECRET 03 Avril 2015 Formations § Ateliers Dév personnel
La page facebook « Maquillage a vendre Espagne alger » organise, la vente des produits de beauté et les soins pour le corps de la marque américaine Victoria's Secret, 100% original avec factures et emballage.
Pour plus d’information : https://www.facebook.com/events/1563728110543544/
Samedi 18 avril à 10:00 - 16:00
Adresse : centre commercial en Qods étage R boutique B-04-50. (Cheraga)
Article recommandé
-
Gratuit : Atelier découverte de PHOTOGRAPHIE02 Février 2020
-
Spectacle Piccoli Tempi25 Février 2014
-
Le harcèlement sexuel : une souffrance au travail, un obstacle à la citoyenneté des Algériennes11 Décembre 2014
-
On a testé un des shampoings solides le moins cher du marché de la marque NOUN BIO13 Novembre 2019
-
Sortie de « Fahla » le premier roman en langue Darja19 Octobre 2021
Caritas Algérie vous invite gratuitement à assister à son atelier découverte de PHOTOGRAPHIE.
Le vendredi 07 février 2020 à 15h.
Informations : 22 chemin d'hydra El biar
Tel : 023 05 36 26/0555469621.
Spectacle Piccoli Tempi
mardi 25 mars à 15h00 à l'Institut français d'Alger
Jeune public - De 3 mois à 3 ans. Compagnie du Porte-Voix
Inspiré des peuples nomades, un personnage « chasseur-cueilleur de sons » propose un cheminement musical évoquant différents états de la nature. Corps en mouvement, rythmes, vocalités aux consonances étranges… Cette nomade-musicienne joue avec le temps comme elle joue avec les sons, et manipule des matières naturelles et des instruments aux formes et aux sonorités surprenantes, offrant de multiples possibilités de jeux musicaux et corporels.
Artiste multi-facettes, comédienne et musicienne, compositrice et metteur en scène, Florence Goguel s’attache tout particulièrement au lien entre voix, geste instrumental et mouvement corporel. Elle a développé un travail d’atelier et de formation en direction des très jeunes enfants et des professionnels de l’enfance.
Compagnie du Porte-Voix
Florence Goguel : Conception et interprétation
Frédéric Obry : Composition musicale et regard extérieur
Marlène Rocher : Costumes et accessoires
Le harcèlement sexuel : une souffrance au travail, un obstacle à la citoyenneté des Algériennes
L’AFEPC et les collectifs de jeunes Barkana mel 3onf ont organisé dans le cadre de leur campagne contre la violence faite aux femmes, ce matin à Alger centre, dans la Salle de Cinéma Echabab, une conférence sur le harcèlement sexuel, animée par l’inoxydable militante et syndicaliste Mme Soumia Salhi. Le harcèlement sexuel est encore très répandu et tabou dans la société algérienne et les coupables restent, hélas, majoritairement impunis.
Une vingtaine de personnes se sont déplacées ce samedi matin pour assister à la conférence sur le thème du harcèlement sexuel dans l’Ex Casino de la rue Ben M’Hidi à Alger-centre. L’assistance, composée en majorité de femmes et de quelques hommes, a écouté l’une de ses meilleures ambassadrices, Soumia Salhi évoquer les différentes souffrances liées au harcèlement sexuel au travail, mais également dans les espaces publics (la rue, le bus), et privés.
En prenant la parole, cette fervente “défenseuse” de la cause féminine a tenu à rappeler d’un ton clair et direct un premier postulat : Qu’est-ce que le harcèlement ? « Le harcèlement, c’est tout d’abord une violence, une violence faite aux femmes. C’est un acte de destruction qui vise à la soumission ». Ensuite, la militante a mentionné un second point important : «aucune femme n’est épargnée par ce phénomène». Qu’elles soient mariées, divorcées, célibataires, jeunes, vieilles, grandes, rondes, voilées ou non, toutes les Algériennes sont des cibles potentielles pour les harceleurs masculins. La conférencière a rappelé que, derrière tous ces chiffres (on dénombre des centaines de plaintes chaque année au travail), ces nombreux cas et exemples de harcèlement sexuel, un véritable drame se déroule dans le silence. Chaque femme touchée par le harcèlement sexuel, c’est une femme qui souffrance quotidiennement. Souvent seule à faire face à ce calvaire, par peur d’en parler, d’être jugée ou de perdre son emploi, beaucoup sombre dans de profondes dépressions conduisant même parfois au suicide.
Le harcèlement n’est pas à prendre à la légère. Des médecins et psychiatres l’ont assimilé à un crime. Au même titre que le viol, il est avant tout une affaire de pouvoir. Celui qui commet son forfait, coupable de chantage, de souffrances et de véritables traumatismes, agit en cachette, loin des regards pour ne pas s’exposer au grand jour. C’est dans l’intimité du huit clôt, dans l’espace fermé d’un bureau que survient le harcèlement qui peut « aller jusqu’au viol » témoigne Soumia Salhi. L’évolution du monde du travail en Algérie n’a fait qu’accentuer le phénomène. Le harcèlement sexuel intervient là où il y a une monnaie d’échange. « Si tu n’accèdes pas à mes demandes tu n’auras pas de promotions, ton contrat ne sera pas renouvelé…». Les contrats à durées déterminées sont de véritables moyens de chantage pour mettre la pression sur les femmes. «Si tu ne fais pas ce que je te dis, tu seras mise à la porte. »
En 2004, le pays a voulu s’attaquer à ce problème en sortant une loi punissant le harcèlement sexuel. Malheureusement, l’article 341bis du code pénal à vite montré ses limites. Ne sont considérés coupables de harcèlement sexuel, que les personnes ayant hiérarchiquement un statut plus élevé que la plaignante. En d’autre terme, l’harceleur doit avoir un ascendant hiérarchique, un pouvoir sur la victime. L’article stipule « toute personne qui abuse de l’autorité que lui confère sa fonction ou sa profession, en donnant à autrui des ordres, en proférant des menaces, en imposant des contraintes ou en exerçant des pressions, dans le but d’obtenir des faveurs de nature sexuelle” peut être condamnée pour harcèlement sexuel. La peine requise : un emprisonnement de 2 mois à un an et une amende de 50 000 DA à 100 000 DA. En cas de récidive, la peine est portée au double.
Comme l’a souligné un des hommes présent ce samedi matin à la conférence lors du débat, ce sur quoi il faut vraiment se concentrer, ce sont les moyens d’application de la loi. Sortir de ce modèle patriarcale dans lequel la femme tient le second rôle. Celui de fille, d’épouse ou de mère. On doit permettre aux femmes de prendre leur destin en main. Il faut tendre vers l’égalité des sexes, et c’est de cette manière que cette question du harcèlement sexuel trouvera une solution. Il demeure aussi important d’élaborer des lois qui protègent davantage les femmes.
source : algerie-focus.com
Toujours aussi déterminées à vous faire découvrir les meilleurs produits cosmétiques naturels qui existent en Algérie, ( et dans le cadre de la nouvelle campagne lancée sur les réseaux sociaux par le magazine zeinelle.com : #vive_les_naturelles_by_zeinelle_com, ) nous avons le plaisir de vous présenter l’un des shampoings solides le moins cher sur le marché algérien.
Nous avons eu la plaisir de découvrir la marque Noun BIO lors de l’exposition qui s’est déroulée à la ferme pédagogique de Zeralda organisée à l’occasion du mawlid enabawi 2019.
Les shampoings solides ne sont plus à présenter, ils s'imposent depuid de nombreuses années comme alternatives écologiques aux shampoings traditionnels, d’ailleurs l’utilisation d’un shampoing solide pourrait éviter jusqu’à 552 millions de bouteilles en plastique ne soient jetées ! ENORME, lorsque l’on connait les dégâts qu’occasionnent le plastique sur notre planté et notre santé.
Voici notre avis sur le shampoing solide de la marque NOUN BIO
On a aimé :
Les produits utilisés pour le shampoing solide (huile d’olive et huile de ricin) réputés pour leurs bienfaits pour les cheveux.
Le petit prix, à savoir que le prix des shampoings solides varient entre 600 et 1200 Da selon les artisanes.
La texture du shampoing qui mousse très bien.
On a moins aimé :
Le shampoing est un peu trop gras, donc à éviter si vous avez les cheveux qui graissent rapidement.
prix : 300 Da
pour plus d'information sur la marque Noun Bio
Présentation de la campagne : #vive_les_naturelles_by_zeinelle
Dans le cadre de la nouvelle campagne lancée par le magazine zeinelle.com : #vive_les_naturelles_by_zeinelle, chaque semaine sur les réseaux sociaux, l’équipe du magazine mettra en lumière les produits d’une artisane ou d’une femme entrepreneure soucieuses de la préservation de la planète, passionnées par le fait main, et la promotion des produits du terroir.
Esma Djigouadi
La littérature algérienne enregistre le sortie de « Fahla », le premier roman en langue populaire algérienne (Darja), écrit par Rabah Sebaa et édité par les éditions Frantz Fanon.
Ce roman rédigé avec l’alphabet latin, traite du sort d’une société ternie dans de fausses valeurs religieuses érigées en dogme, où tout commence dans un cimetière, le jour de l’enterrement d’un poète « El-Goual », qui n’ayant pas le droit d’entrer au cimetière, des femmes lancent une révolution contre la marginalisation, l’oppression et la violence, a expliqué son auteur, Rabah Sebaa.
« Fahla, est le nom du personnage principal du roman mais également une métaphore pour désigner (blad Fahla), un pays qui a su résister à toutes les agressions et qui est un symbole de résistance », poursuit M. Sebaa.
Au sujet de cette œuvre littéraire, Rabah Sebaa a indiqué à l’APS: « je préfère l’usage de la langue algérienne à celui de Darja qui est une mauvaise traduction de la notion de dialecte et qui charrie une forte péjoration ».
« La langue algérienne n’est pas un dialecte mais une langue à part entière avec sa grammaire, sa syntaxe, sa sémantique et sa personnalité linguistique’’, a-t-il ajouté.
« Il existe en Algérie une littérature d’expression arabe et une littérature d’expression française, il faut à présent ouvrir la voie à une littérature d’expression algérienne, cela va sans doute enrichir notre patrimoine linguistique et notre culture nationale », estime M. Sebaa.
« Cette vision peut parfaitement s’intégrer dans un programme éducatif, et l’Unesco conseille fortement l’intégration des langues natives dans les programmes scolaires », souligne cet universitaire, en signalant que « des études scientifiques sérieuses ont montré que les langues de socialisation sont fondamentales dans le développement de la personnalité de l’enfant ».
Une littérature d’expression algérienne s’inscrit dans cette perspective, a-t-il fait savoir encore.
Professeur en anthropologie linguistique, Rabah Sebaa a publié plusieurs essais, dont L’Algérie et la langue française ou l’altérité en partage, l’arabisation dans les sciences sociales : le cas de l’Algérie, en plus d’articles dans la presse nationale sur différents thèmes et sujets de société et culturels.
Rabah Sebaa auteur du roman Fahla
APS
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.