
L’O.N.C.I et l’association project'heurts annonce pour la première fois en Algérie, « AFAC’s film week » .
Cet évènement se déroulera du 8 au 10 septembre au niveau de la salle Atlas (Bab el oued). ( accès à partir de 14h, entrée libre et gratuite )
Pour plus d'information sur les films projetés : web.facebook.com/cinuvers
Pour ceux et celles qui ne connaissent pas AFAC
The Arab Fund for Arts and Culture- AFAC est une initiative arabe privée et indépendante qui offre un soutien financier et technique aux artistes arabes, émergents et connus, et aux institutions culturelles visant à promouvoir la culture et l’art contemporain dans le monde arabe. AFAC a été créée en 2007 et est active dans 20 pays Arabes. Elle reçoit annuellement des demandes de bourse dans les domaines du cinéma, du spectacle vivant, des arts plastiques, de la littérature, de la recherche, la formation et des évènements régionaux.
De même, AFAC offre des programmes spéciaux de formations dans les domaines de la littérature, la photographie documentaire et le documentaire cinématographique. Pour AFAC, la continuité de la production artistique et culturelle est possible à travers l’investissement des deux secteurs privé et public, et à travers le développement des compétences et des échanges des artistes pour la réussite de leurs projets et carrières.
http://www.arabculturefund.org/
Carrefour ouvrira un hypermarché à Alger d’ici la fin du premier semestre, selon l’agence Reuters. Le magasin sera géré par une coentreprise détenue à 70 % par Carrefour Tunisie et à 30% par l’Etat algérien, selon la même source.
Six ans après son retrait du marché algérien, le groupe français de grande distribution compte y retourner, dans le cadre de sa stratégie de déploiement sur le marché africain dans le souci de compenser son déficit dû à la faiblesse de la croissance européenne.
Carrefour a choisi de s’y implanter via des contrats de franchise avec des opérateurs locaux. Ces contrats limitent cependant les investissements, qu’il réserve à ses magasins en Europe, au Brésil et en Chine en considérant ainsi le continent africain comme un simple débouché pour gonfler son chiffre d’affaires en se réservant de tous investissements productifs.
En 2006, Carrefour s’était implanté en Algérie en association avec le groupe Arcofina, propriété de l’homme d’affaires Abdelwahab Rahim, en vue de créer des hypermarchés à travers le territoire national, mais l’expérience s’est soldée par un gros échec en 2009.
Les deux parties n’ont pas tenu leurs engagements car sur les 18 hypermarchés prévus dans le contrat, il y en a eu seulement un. Qui plus est, il ne répondait pas aux aspirations des simples consommateurs de par son emplacement et son contenu. Ainsi, la quasi-totalité des produits commercialisés par le grand distributeur français à l’époque (produits agroalimentaires, fruits et légumes et produits d’hygiène), étaient fabriqués localement à des prix exorbitants.
Aussi, les consommateurs préféraient aller dans les superettes du quartier ou l’épicier du coin pour s’approvisionner. Quant aux électroménagers, vaisselle et équipements informatiques, leurs prix se rapprochaient de celui des magasins et parfois ils étaient nettement plus chers. D’ailleurs, le pavillon de ces produits, situé au deuxième étage du magasin, a fermé bien avant le départ de Carrefour.
Ce nouveau retour étudié, motivé par l’amélioration du pouvoir d’achat des ménages algériens après la revalorisation des salaires dans la fonction publique apportera-t-il un plus pour le consommateur moyen et pour l’économie nationale en termes de création d’emplois et de richesse, ou sera-t-il une simple tentative de rente pour contrebalancer la faible croissance de la zone euro.
A vrai dire, la présence de nouveaux groupes de distribution étrangers en Algérie et précisément dans la capitale s’avère « inutile », comme l’atteste un membre de l’UGCAA (Union générale des commerçants et artisans algériens).
« Je ne vois pas l’intérêt de leur présence à Alger, d’autant que le marché algérien est fortement dominé par les petits commerces. De plus, ce n’est pas les grandes surface qui manquent, il y a déjà la présence de Numidis,filiale agroalimentaire Cevital, en plus des grandes surfaces de Ardis », a-t-il constaté.
source : algerie360.com
L’Ambassade de Belgique organise le colloque « Le Front du Nord. Des Belges et la guerre d’Algérie (1954-1962) » à la Bibliothèque nationale à Alger le dimanche 29 octobre 2017 à partir de 9h00. Il réunira acteurs et témoins, belges et algériens, afin que cette mémoire ne disparaisse pas. La participation à ce colloque est ouverte à tous.
Des Belges, au péril de leur vie parfois, ont aidé les Algériens et le FLN pendant la guerre d’Indépendance. Ils ont été membres de réseaux, porteurs de valise, passeurs de militants et de clandestins, … mais aussi membres du collectif des avocats belges du FLN qui défendaient les militants algériens et le FLN devant les tribunaux français. Les profils, les histoires et les motivations de chacun étaient très différents. Néanmoins, un élément les rassemblait tous : ils croyaient en une cause juste. Cette histoire est mal connue en Belgique comme en Algérie. Quelques-uns parmi les derniers acteurs et témoins belges qui ont aidé les Algériens et le FLN pendant la guerre d’indépendance viendront de Belgique afin de participer à ce colloque et livrer leur témoignage.


Pour établir ce lien entre consommation de pomme de terre et diabète de type 2, le Dr Isao Muraki et ses collègues ont évalué les données de trois études précédentes, réalisées entre 1984 et 2010. Des chercheurs du centre cancérologique et de la prévention des maladies cardiovasculaires d'Osaka ont mené une étude afin de mieux comprendre l'effet de la consommation de la pomme de terre et les risques de développer un diabète de type 2, les résultats ont été publiés dans la revue "Diabète Cares".
A l'eau, au four, en purée ou frite, la pomme de terre, quelle que soit sa forme, peut se révéler dangereuse... Cette maladie survient généralement chez les adultes avançant en âge, et touche davantage les personnes obèses ou ayant un surplus de poids.
Le diabète de type 2 est une maladie qui est caractérisée par un taux de sucre trop élevé dans le sang. "Entre 2 à 4 portions par semaine, le risque augmente de 7 %". Trois études ont été passées en revue et sur 200.000 volontaires professionnels de santé, les scientifiques ont mis en évidence plus de 15.000 nouveaux cas de diabète de type 2 et cela serait directement lié à une consommation régulière de ce féculent la pomme de terre.
Interrogés par le biais d'un questionnaire, des participants sans antécédents cardiovasculaires, de diabète ou de cancer, 70.773 femmes entre 1984-2010, 87.739 femmes entre 1991-2011, et 40.669 hommes entre 1986-2010, avaient indiqué la fréquence à laquelle ils consommaient des pommes de terre sur toute la période et avaient passé des tests tous les quatre ans.
Pour remplacer les pommes de terre, les chercheurs préconisent la consommation de céréales complètes, associées à un risque moins élevé de développer un diabète de type 2. Les facteurs de risque du diabète de type 2 sont nombreux: obésité, sédentarité, hérédité, syndrome métabolique, etc. Mais a priori, la quantité de pommes de terre consommées jouerait aussi un rôle.
Les chercheurs recommandent donc une portion par semaine. Gabon Actualités
référence : la revue "Diabete cares"
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.