
Que vous l’ayez vu ou pas encore, «L’Algérie vue du ciel » sera projeté le jeudi 25 juin prochain, et ce, à l’occasion de la journée nationale du tourisme.
L’association Les Nomades Algériens et son partenaire ISO Club - I Shot in Oran vous invitent à débattre autour de la problématique du tourisme en Algérie et à donner votre avis concernant les perspectives et les solutions à apporter pour mieux le promouvoir.
Parce que la lumière jaillit avec l’échange et le partage, venez nombreux enrichir le débat avec vos idées.
Heure : 22h30
Lieu : Centre Pierre Claverie, St-Eugene Oran

Le débat sera tranché la semaine prochaine après les résultats de l’essai clinique européen Discovrey, où cinq médicaments ont été testés (antirétroviraux et la chloroquine) sur 3200 patients, dont 800 Français. En Algérie, la question a été débattue entre les experts, au début du mois de mars, et la décision de prescrire la chloroquine a été prise et le protocole établi.
Les premières évaluations des patients traités à l’hydroxychloroquine et à des antirétroviraux dès le 23 mars dernier semblent satisfaisantes. Le traitement en question initié dans les pays, tels que la Chine et par un infectiologue français à Marseille a suscité un tollé au sein de la communauté scientifique française notamment. La preuve scientifique quant à l’efficacité de ce produit antipaludéen, qui existe depuis 80 ans , n’est pas prouvée, selon certains experts.
Le débat sera tranché la semaine prochaine avec les résultats de l’essai clinique européen Discovrey, où cinq médicaments (antirétroviraux et la chloroquine) ont été testés sur 3200 patients, dont 800 Français. En Algérie, la question a été débattue entre les experts, au début du mois de mars, et la décision de prescrire la chloroquine a été prise et le protocole établi.
Il s’agit donc de prescrire, dans un premier temps, l’hydroxychloroquine sans l’azithromycine aux cas positifs de Covid-19 modérés et sévères puis élargis aux formes bénignes symptomatiques et asymptomatiques. Chose faite dès la validation du protocole par le comité d’experts au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière.
Premier établissement hospitalier à prescrire de l’hydroxychloroquine après l’approbation du protocole thérapeutique par le Conseil scientifique de suivi et d’évolution du Covid-19 le 23 mars dernier, l’hôpital El Kettar enregistre les premiers patients guéris du Covid-19 après avoir été traité à la chloroquine et aux antirétroviraux associés à un antibactérien.
Ainsi, 17 patients ont quitté l’hôpital entre jeudi et vendredi, nous confie le Pr Nassima Achour, chef de service infectiologie. «Ces patients, dont la tranche d’âge varie entre 40 à 60 ans, ont très bien répondu au traitement de l’hydroxychloroquine étalé sur 10 jours.
Leur état s’est progressivement stabilisé et ils n’ont présenté aucun effet secondaire», s’est elle félicitée. Et de souligner que «14 autres patients sont également en rémission. Leur sortie est prévue demain après les résultats du deuxième contrôle à la PCR», a–t-elle ajouté. Et de préciser que les patients traités à la chloroquine durant 7 jours sortent le huitième jour après avoir fait un test de contrôle à la PCR.
«Ceux qui sont traités aux antirétroviraux, médicament destiné au VIH sida mais réservé seulement aux patients pour qui la chloroquine est contre- indiquée sortent au bout de dix jours de traitement», a-elle expliqué. A l’EPH de Boufarik, 4 premiers patients ont été traités à la chloroquine, 6 autres mis sous l’hydroxychloroquine devaient terminer le traitement vendredi dernier.
«Deux malades sont guéris et ont déjà quitté l’hôpital», affirme le Dr Mohamed Yousfi, chef de service à l’EPH de Boufarik. Et de signaler que 65 patients sont traités à l’hydroxychloroquine durant dix jours, ainsi les patients pour qui cette molécule est contre-indiquée sont mis sous antirétroviraux. Il estime que «les résultats pour le moment sont satisfaisants sur le plan symptomatique. Des examens de contrôle seront effectués et c’est sur la base des résultats qu’on pourra se prononcer».
Le service des maladies infectieuses du CHU d’Oran, qui a entamé il y a une dizaine de jours le protocole de traitement des cas de coronavirus avec de la chloroquine, commence à avoir des résultats «encourageants pour la plupart», selon la chef de ce service, le Pr Mouffok Nadjet, a rapporté hier l’APS.
A noter que le ministre de la Santé, le Pr Abderrahmane Benbouzid, a affirmé la semaine dernière que «les données sanitaires et les études menées par les experts sur l’utilisation du protocole à base de chloroquine en association avec des antibiotiques, font état d’indicateurs satisfaisants». Le porte-parole du Comité scientifique de suivi de l’évolution de la pandémie de coronavirus, le Pr Djamel Fourar, avait annoncé que 61 malades avaient suivi le traitement à la chloroquine.
elwatan.com

MILA - Les failles de terrain apparues à la cité El Amel de la ville de Mila du fait des deux secousses telluriques enregistrées vendredi passé dans la commune Hamala ont mis au jour de nouvelles ruines romaines, a-t-on appris mercredi du chef du service de patrimoine culturel à la direction locale de la culture, Lezghad Chiaba.
Il s’agit de pierres taillées de diverses tailles, de tuiles, d’un bassin en pierre, des murs de constructions et des colonnes de forme cylindrique, a précisé à l’APS le même cadre qui a souligné que l’endroit de la découverte situé à la cité El Amel également Mechta Bourkaïd fait partie d’un site archéologique connu et classé sur la liste de recensement général des biens culturels immobiliers de la wilaya.
Le site est une ferme romaine occupant un vaste terrain dans le prolongement du vieux Mila, a déclaré le même cadre , ajoutant que les premiers constats montrent qu’il s’agit bien de cette ferme que les failles causées par le séisme ont fait réapparaître après s’être longtemps restée ensevelie.
Les glissements de terrain conséquents aux secousses ont fait aussi déplacer ces grosses pierres taillées, relève-t-il.
A la suite de cette découverte, une demande a été adressée au ministère de la Culture pour l’envoi d’une équipe de spécialistes en archéologie, a ajouté le responsable du service patrimoine culturel qui a fait savoir que les services de la direction de la culture poursuivent leur inspection des divers sites archéologiques dans les régions touchées par les deux secousses telluriques. aps

INGRÉDIENTS
1 oignon
1 gousse d’ail
4 cubes de bouillon de poulet ( facultatif )
600 g de carottes
1/2 cuillère à thé de thym séché émietté
4 cuillères à soupe de yaourt nature 0%
1 cuillère à soupe d’aneth haché
Sel & poivre
PRÉPARATION :
Pelez et hachez l’ail et l’oignon, puis hachez-les. Faites-les revenir 5 minutes dans une casserole avec une cuillère à soupe d’eau.
Épluchez les carottes et coupez-les en cubes.
Délayez les cubes de bouillon dans 1 L d’eau chaude. Portez à ébullition, puis ajoutez les carottes et le thym. Laissez frémir sans couvrir pendant 40 min.
Mixez la soupe, puis salez et poivrez. Décorez d’une cuillère à soupe de yaourt.
Si vous la servez chaude, versez dans des bols et garnissez d’aneth. Si vous la servez froide, laissez-la refroidir à température ambiante puis au réfrigérateur et garnissez juste avant de servir !
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