
Découvrez le programme de la salle #Cosmos et #IbnZeydoun du 20 au 25 Août 2018 ( Riadh el Feth )
Pour plus de détails : Sorties Cinéma Algérie



Le nouveau code des marchés publics est entré en vigueur ; une connaissance rigoureuse de la procédure d'exécution des marchés publics, qui demeure une obligation légale des acheteurs publics, peut constituer un avantage concurrentiel pour toute entreprise qui prétend décrocher des contrats importants initiés par l'acheteur public.
Une procédure adaptée est le fruit de la connaissance aussi bien du droit que de la gestion de projets.
pour plus d'informations sur les inscriptions et les tarifs :
http://meta-training-dz.com/preinscription/mirror.php

" On ne naît pas femme, on le devient " Simone de Beauvoir.
Table ronde "FÉMINISME ET LITTÉRATURE" Avec Souad Labbize, Selma Hellal et Oristelle Bonis.
Lundi 9 mars - 18h00 à l'Institut français d'Alger.
Réservation: feminisme2020.alger@if-algerie.com
Résumé du Livre de l'auteure :
Souad Labbize est descendue "dans les caves de l'enfance", pour écrire ce témoignage en soutien à toutes les femmes et filles victimes d'agressions sexuelles. Rédigé en français, traduit en arabe, il pose dans ces deux langues des mots sur la douleur et la honte, sur la rudesse de la mère et l'indolence du père. Des cris horrifiés, sans compassion ni tendresse pour l'enfant violée, la projettent sur le chemin au bout duquel elle gagnera sa liberté et son indépendance. Souad Labbize a publié un roman, J'aurais voulu être un escargot (Séguier, ré-édition Éd. des Lisières) et deux recueils de poésie, Une échelle de poche pour atteindre le ciel (Al Manar) et Brouillons amoureux (Éd. des Lisières).

Besoin de vous détendre, de bien commencer l'année 2021 en forme et avec de la bonne humeur !
L'agence Sac à Tours organise une balade à vélo ! En solo, en famille ou entre amis, pour prendre l’air, admirer les paysages alentours à staouali en passant par le port sidi Fredj, pour une durée de 1h30.
Date : 1 er janvier 2021 Heure 15
Tarifs: 1 000 DA
500 da Pour ceux qui ont leur vélos et veulent nous rejoindre pour la balade
* Pour plus d'informations n’hésitez pas à nous appeler sur le
0697 384485, ou bien en nous écrivant sur la page .

La chaîne 5 de la télévision algérienne, Coran TV, a invité cette semaine un éminent spécialiste de la religion. Le Dr El Hadj Douak, puisque c’est de lui qu’il s’agit, n’hésite pas à mettre le doigt sur le mal qui ronge le monde musulman en général, et la société algérienne en particulier.
Il s’agit du docteur El Hadj Douak qui a cité, avec beaucoup de courage et de clairvoyance, les sources du grand danger qui menace les sociétés musulmanes. Selon lui, le « cerveau musulman qui s’appuie et se réfère aux travaux réalisés par l’imam Al-Chafi’i datant du 2e siècle de l’hégire vit une crise dangereuse ».
« L’imam Al-Chafi’i appartient à son époque (9e siècle de l’ère chrétienne et 2 ème siècle de l’hégire). Il a réalisé ses travaux selon les moyens de l’époque. Il a jeté les bases de l’exégèse durant son époque. Est-il normal que le cerveau musulman continue à travailler avec les mêmes moyens ? Vous n’êtes pas d’accord avec mois que nous vivons une crise de qualité qui est anormale », affirme-t-il.
Et à El Hadj Douak de s’interroger : « Comment un homme décédé il y a plusieurs siècle, continue à encadrer un cerveau censé être vivant ? Comment ce vivant se réfère-t-il aux morts en continu ? Est-il normal que ce cerveau fasse confiance à la parole des morts et n’accepte pas de créer lui-même sa propre pensée ? Pourquoi ce cerveau abuse-t-il dans la récitation des textes des prédécesseurs et ne peut pas créer ses propres textes ? »
Affirmant qu’il ne réclame pas « la rupture », l’invité de Coran TV précise que le cerveau musulman doit être provoqué et secoué. « Nous ne pouvons pas affronter les relations internationales et la mondialisation avec la logique d’Al-Cahfi’i. Nous ne pouvons pas affronter le monde avec la logique d’Ibn Taymyya qui est dangereuse. Nous devons affronter le monde avec une logique basée sur les valeurs », assène-t-il.
Selon lui, les « divisions religieuses anciennes sont caduques ». « Le danger ne vient pas aujourd’hui des religions monothéistes, mais de celui qui veut enlever le caractère sacré du monde. Les réponses du passé pèse lourdement sur notre Fiqh », regrette-t-il.
Le docteur souligne aussi un autre danger qui pèse sur la société algérienne. « Ecoutez les gens dans les rues. Ils ne citent un chrétien que par la saleté, et ne parle pas d’un juif sans l’insulter. Notre jeunesse est très influencée par tout ça. Le discours dans les mosquées et sur certains médias produisent un être humain dangereux qui ne peut pas se tourner vers l’avenir. Cette logique qui consiste à ne considérer comme humain que le musulman est très dangereuse. Les musulmans sont une partie de l’humanité et non pas l’humanité entière. Cela doit être rappelé partout, dans les médias, dans les mosquées », appelle-t-il.
algeriemondeinfos.com
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