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Fikra : une certaine idée de communion intellectuelle
Par : journal liberté
Philosophe-penseur, chef d’entreprise, ethnologue, physicien, journaliste et informaticien se sont succédé à la tribune pour partager une experience et une vision de vie optimiste
“C’est une experience pour créer du commun. Ceci place Fikra dans un processus pragmatique qui évoluera avec le temps”, dira Tewfik Lerari, responsable du groupe Allégorie, à l’initiative de l’événement. Aux côtés de son associé Marhoum Rougab, pour donner le coup de starter, Lerari reviendra sur la pertinence de partager avec beaucoup de générosité les idées et les expériences à même de faire avancer la société. “En effet, l’activité économique requiert davantage de valeur ajoutée en termes de connaissance. Les systèmes du renouveau scientifique et la création au niveau technologique se présentent, désormais, comme étant la base fondamentale et indispensable pour l’excellence et le développement”, a déclaré, pour sa part, Mohamed Benmeradi, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, venu représenter Abdelmalek Sellal, Premier ministre, qui a parrainé l’événement. À ce titre, le ministre n’a pas manqué de rappeler le programme du gouvernement (2010-2014) “à lancer des programmes de recherche pour le développement et mettre en place des dispositifs d’incitation pour faire adhérer le maximum d’entreprises économiques à la recherche”.
Il faut faire de la route pour trouver sa voie, et Xavier Van Der Stappen n’a pas eu de mal à trouver le chemin de l’Algérie. Ethnologue et président de l’Association culture et communication de son état, il a vanté les mérites de la diversité ethnique qui peut exister dans un seul et même pays. Celui qui compte à son actif une grande experience dans l’humanitaire poursuit ses péripéties en reliant Dakar à Bruxelles dans un véhicule électrique qu’il a conçu lui-même. Le meilleur moyen de faire passer un message d’optimisme prônant une symbiose entre l’homme et la nature en abordant les enjeux de demain et des nouvelles technologies moins impactantes. Suivra alors Slim Othmani, président du conseil d’administration de NCA-Rouiba, pour partager “ce rêve” d’une Algérie “en phase avec nos aspirations”. Connu pour son engagement dans l’amélioration de l’environnement entrepreneurial, Slim Othmani insiste sur l’engagement dans d’autres initiatives citoyennes. Il abordera, alors, la responsabilité sociale, et appelle à ne pas confondre “Optimisme, naïveté et candeur” en soulignant la nécessité de s’inscrire dans un rêve collectif.
“Le rêve est comme une opinion. Il faut le porter et se battre pour le rendre réel”, faisant allusion, sans nul doute, à toutes les entraves bureaucratiques dans le processus d’un projet qui font fléchir, parfois, les plus motivés. Mustapha Cherif, quant à lui, en sa qualité de penseur algérien, philosophe, chercheur en sciences humaines, trouvera les mots, comme à son habitude, pour nous rappeler que “nous sommes responsables de notre avenir et qu’il n’existe pas d’autres alternatives que celle de surmonter les épreuves de l’existence”. L’assistance a eu droit, par ailleurs, à l’intervention de Pierre Coulet, physicien et chercheur au CNRS, et aussi le créateur de l’institut Alhazem dédié à la culture scientifique, sans omettre de citer le passage du sultan Sooud Al-Qassemi, journaliste et fondateur de la fondation Barjeel Art. D’autres personnalités ont également pris part à l’évènement qui a été clôturé par l’apparition d’un invité-surprise, en la personne de Cheb Khaled, et quoi de plus optimiste dans la vie que le sourire, voire le rire du king du raï.
Cinq start-up coachées par Djezzy à l’honneur
Pour sa part, Lamia Rouaz, directrice de marketing et communication au niveau de l’opérateur Djezzy, a présenté la nouvelle vague que l’opérateur va accompagner pour mûrir et mener à terme leurs projets. “Notre initiative dépasse le volet financier”, fera-t-elle remarquer pour dire que le capital expérience est essentiel. Tour à tour, les futurs managers se sont succédé à la tribune en commençant par Eureka 3D spécialisée dans le développement d’application 3D pour le secteur du bâtiment. Il est question aussi d’un projet de création d’un compteur digital. Baptisé “Mer Electronic”, le projet servira à relever les consommations et à distance à travers un système électronique. La troisième startup s’appelle “Tohfa” et concerne une plateforme qui servira d’interface entre les artisans et les consommateurs. L’on citera aussi la 4e entreprise, en l’occurrence Djazaltec, qui fait dans la valorisation des richesses marines à travers la culture d’algue. La cinquième et dernière start-up, “Kokiage”, est spécialisée dans le développement des moteurs de recherche.
source image : slateafrique.com

L’application Viber qui compte des millions d’utilisateurs en Algérie,offre un nouveau pack d’autocollants à l’occasion de l’anniversaire de la révolution en partenariat avec le célèbre bédéiste algérien « SLIM »
Le magazine Web-Zeinelle.com s’est rendu au vernissage du dessinateur Slim, qui s’est déroulé à la galerie Ezzou’art au centre commercial de BEZ,afin de découvrir ses autocollants qui célèbrent le 1er novembre, en partenariat avec Viber, l’application leader de messagerie mobile qui compte plus de 800 millions d’utilisateurs dans le monde et qui a annoncé le lancement d’un pack d’autocollants exclusifs intitulé « 1er Novembre» spécialement dédié aux utilisateurs algériens en partenariat avec le célèbre bédéiste et caricaturiste algérien « SLIM ». Viber organise à cette occasion une expositiondes dessins du pack en avant première et en présence de l’artiste avec une séance de dédicaces pour ses fans.
Les autocollants mettent en scène les deux personnages désormais mythiques de SLIM « Zina et Bouzid » ainsi que « el Gatt emdigouti » autre personnage incontournable des célèbres BD de l’artiste. Le pack reprend des expressions typiquement algériennes, couramment utilisées, tel que « Saha Kho » «N‘7abek » « Fakou », et certains mots en kabyle tel que « ACHOU ? ». On retrouve plusieurs expressions liées à la célébration de l’anniversaire de la révolution comme « Vive le 1er Novembre ». Certains symboles du nationalisme algérien sont aussi représentés par le drapeau algérien ainsi que le sport national « le foot » mis à l’honneur avec un autocollant mettant en scène Bouzid en joueur de foot avec l’expression « Tous avec les verts ».
Au total, le pack compte 16 autocollants algériens originaux à découvrir et à télécharger gratuitement depuis la boutique d’autocollants de l’application Viber. Ce pack d’autocollants est le deuxième consacré aux utilisateurs algériens après l’incontournable pack « Aid Moubarak » sorti au mois de septembre dernier. Les autocollants aussi communément appelés « stickers » offrent une façon amusante de converser via la messagerie instantanée et de faire vivre aux utilisateurs Algériens une nouvelle expérience digitale pour partager les moments forts de leur quotidien.
En marge du pack d’autocollants « 1er Novembre», Viber lancera aussi un tchat public sur l’histoire et le patrimoine algérien, riche en conversations sur les dates et les événements qui ont marqué l’Algérie à travers les années. De nombreux tchats publics algériens viendront s’ajouter à ce dernier et celui de Lila Borsali et Femme Algérienne déjà actifs : le tchat public de Kherdja.com axé sur les sorties et les bons plans et celui de l’émission Allo Dzair, qui portera sur l’actualité féminine. A travers ces chaînes sociales, les fans pourront suivre des conversations en temps réel sur leurs sujets favoris.
Pour rejoindre la conversation à propos des packs d’autocollants spécialement conçus pour l’Algérie sur les médias sociaux, suivre le hashtag#ViberDZ.
À propos de Viber
Viber est une application de messagerie appartenant au Groupe japonais Rakuten. Elle connecte librement ses utilisateurs à travers le monde et compte plus de 800 millions d’utilisateurs sur sa plateforme. Viber donne aux personnes la possibilité de se connecter de la manière qui leur convient le mieux, que ce soit par la messagerie, des appels vidéo ou des discussions de groupe. Il leur est également possible de suivre des marques et des célébrités sur les Tchats Publics. Viber peut s’utiliser sur les smartphones et tablettes iPhone®, iPad®, Android™, Windows Phone, Windows®, Windows 8®, Mac, Linux et sur les dispositifs Symbian, dotés de la connectivité mobile ou d'une connexion WiFi.
À propos de SLIM
Slim, de son vrai nom Menouar Merabtène. Né à Sidi Ali Benyoub le 15/12/1945.Auteur de nombreux albums de BD distribués en Algérie et dans le monde, Slim est un monument de la BD Algérienne. Il Collabore avec de nombreux journaux et magazines nationaux et internationaux En 1964, il crée les personnages de Bouzid et Zina, caricature savoureuse de la société algérienne. leur rencontre se fait non loin de oued tchicha (douar d'ou est originaire zina).Mai bouzid est un aventurier,il ne se mariera jamais avec la bombe zina.Son regard aiguisé sur la société de son temps lui a permis de s’exporter jusque dans l’enceinte de l’Université de Los Angeles (UCLA) où il a animé en 2008 un cycle de conférence sur la bande-dessinée.Slim collabore aujourd'hui avec Le Soir d'Algérie, quotidien francophone algérien, avec une planche hebdomadaire (Tout Va Bien -TVB-) en page 2 les jeudis.
Mohy Yasser, jeune influenceur égyptien, est sacré grand gagnant de la deuxième saison de Sadeem, le plus grand concours digital de jeunes créateurs de contenu du monde arabe. Il remporte ainsi la somme d’un million de riyals et aussi l'occasion de produire son propre programme.
Cette deuxième saison a vu vingt (20) jeunes créateurs de contenu de différentes sensibilités s’affronter dans des défis intenses et palpitants pour décrocher le titre du meilleur créateur de contenu du monde Arabe. Au final, c’est Mohy Yasser, jeune influenceur égyptien, qui a réussi à surmonter toutes les épreuves et à proposer les plus belles vidéos et idées tout au long de cette saison de Sadeem!
Mohy, qui adore voyager, possède, malgré son jeune âge, sa propre agence de publicité. Les réseaux sociaux sont son terrain de jeu, dans lequel il œuvre pour changer l'image stéréotypée de la jeunesse d'aujourd'hui et à diffuser la positivité dans le monde arabe.
La finale a rassemblé un grand nombre de personnalités. Acteurs, influenceurs et anciens participants ont foulé le tapis rouge pour assister au couronnement du vainqueur lors du grand show qui s’est déroulé au théâtre Sadeem à Beyrouth.
Mohy a déclaré, encore sous le coup de l’émotion :"Je remercie Dieu pour tout. Plus d'un mois de travail acharné et d’efforts partagés avec tous les participants et l'équipe de tournage. Sadeem a changé ma vie au bon moment ..." avant d’ajouter : "J'ai appris, acquis de l'expérience, j'ai rencontré des amis, et à la fin je me suis révélé" Le vainqueur a également remercié tous ceux qui l'ont soutenu pour atteindre la finale et le titre de grand gagnant de la deuxième saison de Sadeem.
Naji Al Qaq de Jordanie, et Saif Ben Ammar de Tunisie, les deux autres finalistes ont du s’incliner malgré toute leur détermination et leur abnégation. Ils ont salué la victoire de Mohy qu’ils considèrent amplement méritée.
Retour sur la compétition
Le programme a accueilli, durant les semaines de compétition, des invités prestigieux, qui ont animé des ateliers autour de la création de contenu et organisé des défis ingénieux pour aider les jeunes candidats à développer leur sens de la créativité!
Les principaux objectifs de Sadeem, cette année, étaient de renforcer la confiance des participants en eux-mêmes, de les aider à faire la différence dans leurs communautés et à diffuser un message d’espoir et une énergie positive dans le monde arabe!
Cette saison a eu comme thème principal la lutte contre le cyber-harcèlement, car ce phénomène est courant dans le monde digital. Le but étant d’encourager les créateurs de contenu à prendre position contre cette pratique.
Il est important de souligner que les membres du jury de cette deuxième saison, Ascia, Ahmed Sharif, Zap Tharwat ainsi que le célèbre influenceur algérien DZ Joker, ont coaché les candidats lors des ateliers. Ils ont considérablement contribué au développement de leurs compétences à travers promulgation de conseils, partage d’expériences et motivation pour les aider à relever les défis hebdomadaires dans le but de devenir les meilleurs créateurs de contenu du monde arabe.
Une saison 3 ?
La deuxième saison est terminée et déjà qu’une troisième est annoncée. Face à l’engouement et la motivation dont font preuves les jeunes créateurs de contenu, Sadeem n’a d’autre choix que de poursuivre cette aventure extraordinaire.
Suivez Sadeem sur YouTube, Facebook, Instagram et Twitter pour savoir quand les inscriptions seront ouvertes! Vous êtes peut-être le prochain grand gagnant de Sadeem !
Une exposition d'Art & Architecture intitulée « LA BAIE D'ALGER » de Farid Benyaa a lieu au Palais de la Culture Moufdi Zakaria – Alger du 25 juin au 25 juillet 2022
" Mon exposition „LA BAIE D’ALGER“ est composée de plus de 120 tableaux aux dimensions allant jusqu’à 13 mètres. Dessinées à l’encre de chine, mes oeuvres développent des vues inédites d’Alger. Des vues panoramiques, des boulevards historiques et des monuments prestigieux viennent appuyer le caractère remarquable de la capitale. La Casbah d’Alger y occupe une place privilégiée. " Farid BENYAA – Architecte et Artiste plasticien
Elle était déjà derrière l’idée de la conception d’un savon écologique à partir des matériaux recyclés, comme les huiles de friture usagées. Un projet déjà primé. Puis, vint l’idée du projet baptisé DJEMRA. Il s’agit de concevoir du charbon écologique à base de noyaux d’olives. Aucun impact négatif sur l’environnement. Le projet, qui a été retenu lors de la compétition nationale, sera défendu prochainement lors de la compétition régionale face à d’autres projets venus du Maroc, de Tunisie et du Sénégal.
Comment avez-vous eu l’idée de créer du charbon à partir des sous-produits des olives ?
Tout d’abord, il faut savoir que lorsque 100 kg d’olive rentre dans une huilerie, il en ressort 75 kg de grignons d’olive et en cas de déversement dans la nature sans aucun traitement préalable, ces sous-produits auront des impacts catastrophiques sur l’environnement. En ce qui concerne la collecte, nous procédons directement à partir des huileries une fois l’extraction d’huile d’olive faite. D’ailleurs, nous envisageons des conventions avec ces huileries pour garantir l’approvisionnement de la matière première. Le projet est porté par mon équipe, constituée de 3 étudiants, moi-même, Hind Itchir, étudiante en 5e année à l’ESSAIA, option : Contrôle de la qualité et analyse alimentaire, et Ramy Allane, étudiant en commerce international.
Quelle est votre particularité par rapport aux autres projets porteurs dans le monde ?
Beaucoup ne sont malheureusement pas au courant que notre planète est en danger et qu’elle est en perpétuelle dégradation. Nous sommes dans un état extrêmement critique et l’homme ne se rend même pas compte de l’impact négatif de ses activités sur l’environnement. Aujourd’hui, nous sommes en mesure de fabriquer un produit écologique qui pourra contribuer, même à petite échelle, à la protection de notre environnement et à la diminution de la pollution. Nous sommes ainsi prêts à le faire et c’est là justement où réside la particularité de notre projet. Contrairement au charbon de bois qui cause la déforestation, nous fabriquons notre charbon en valorisant un sous-produit (grignon d’olive) rejeté de façon inappropriée dans la nature et nous allons le transformer en produit à valeur rajoutée (charbon) qui d’ailleurs émet moins de CO2.
Ainsi, la fabrication de notre produit diminuera la pollution de l’environnement liées aux rejets inappropriés des grignons d’olives. Notre charbon émet moins de CO2 que le charbon de bois ordinaire. Et si les consommateurs remplacent le charbon de bois par notre charbon, ils pourront contribuer à réduire le phénomène de déforestation.
Expliquez-nous le processus de fabrication ?
Très simple : nous commençons par collecter les grignons d’olive à partir des huileries. Nous séparons la pulpe et les noyaux, nous carbonisons les noyaux d’olive, puis on les broie, on leur rajoute un liant, et enfin on les compacte à l’aide d’un moule.
Quelle catégorie de consommateurs ciblez-vous ?
En premier lieu, les restaurateurs de grillades qui utilisent le charbon à des fins professionnelles. Puis, nous ciblerons les ménages pour un usage domestique.
Qu’attendez-vous comme aide de l’Etat ?
Comme tout projet débutant, même si nous sommes convaincus de sa réussite, nous souhaiterions bénéficier des facilitations pour l’obtention du Certificat d’exploitation par les services de la direction de l’Energie et des Mines. Mon souhait également est de réduire le taux des impôts sur les bénéfices d’entreprises et de faciliter l’ancrage des projets environnementaux sur le terrain pour permettre la création des entreprises sociales à impact environnemental, comme la nôtre en devenir.
Il faudrait également à mon avis que l’Etat renforce ses initiatives pour sensibiliser les citoyens sur les méfaits de la pollution de l’environnement et la dégradation de l’écosystème.
Bio express de Meriem Moulti :
Elle est étudiante en 5e année à l’Ecole supérieure des sciences de l’aliment et des industries agro-alimentaires en option «Science et technologie des aliments fonctionnels». Elle est une passionnée de cuisine, des techniques du développement personnel et de l’entrepreneuriat social. En 2018, elle a participé à la compétition de «Injaz el djazaïr». Son équipe a eu le prix du meilleur impact sociétal pour la «Conception d’un savon écologique à partir des matériaux recyclés, en l’occurrence les huiles de friture usagées». En 2019, elle participe à impact@work, une compétition d’entrepreneuriat social développée par ACSE «The Algerian Center for Social Entrepreneurship». L’équipe a été retenue lors de la compétition finale et présentera son projet «DJEMRA, charbon écologique à base de noyaux d’olives» lors de la compétition régionale aux côtés du Maroc, de la Tunisie et du Sénégal.
nessahra.net
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.