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L'huile de ricin lisse et répare vos cheveux. Elle aide à dompter les frisottis tout en laissant les cheveux doux et hydratés. En utilisant cet ingrédient, vos cheveux restent lisses et brillants. C'est un vrai lissage naturel !
Ce dont vous avez besoin - 1 cuillère à soupe d'huile de ricin - 1 cuillère à soupe d'huile de noix de coco
Comment faire - Mélangez les huiles et chauffez le mélange pendant quelques secondes jusqu'à ce qu'il soit tiède. - Appliquez-le sur votre cuir chevelu et vos cheveux. - Une fois que vos cheveux sont complètement saturés d'huile, massez votre cuir chevelu pendant environ 15 minutes. - Laissez agir pendant 30 minutes supplémentaires. - Rincez avec de l'eau fraîche et un shampooing doux sans sulfate.
A faire 2 fois par semaine

ALGER - Les nouvelles mesures relatives au code de la route consistant en l'annulation des procédures de suspension et de retrait du permis de conduire par les commissions de wilaya, et l’application d’amendes forfaitaires aux contrevenants pouvant atteindre 7.000 DA avec présentation du conducteur devant les instances judiciaires en cas d’établissement de PV de délit sont entrées en vigueur à compter de ce mardi.
Ces mesures ont été établies en vertu d’une circulaire interministérielle des ministères de l’Intérieur et des Transports publiée le 20 janvier dernier, en vertu duquel il a été décidé d’annuler les procédures de suspension et de retrait du permis de conduire par les commissions de wilaya et de geler les activités des commissions compétentes de wilayas et des commissions de daïras.
Concernant ces nouvelles mesures, le chargé de la gestion à la Délégation nationale à la sécurité routière (DNSR), Abdelhakim Nacef a déclaré au journal «El Khabar » que dans le cas où le conducteur commet une contravention routière «l’agent de sécurité procède à la rétention du permis de conduire et non à son retrait et délivre un document autorisant le conducteur contrevenant à conduire pour une durée de dix (10) jours à compter de la date de la contravention.
En cas de non paiement de l’amende forfaitaire durant la période fixée, le conducteur n’a plus le droit de conduire et peut s’acquitter de l’amende minimale pour une durée de 45 jours à compter de la date de la contravention. Le montant de la contravention varie entre 2.000 DA et 5.000 DA, selon son degré, tel que prévu dans la loi 17-05, et ce avant l’établissement du PV de notification de non-paiement transmis aux instances judiciaires compétentes, joint du permis de conduire avec la majoration de l’amende de 3.000 à 7.000 DA. Les délits sont directement soumis à la justice.
Le même responsable a précisé que cette nouvelle procédure "prépare le terrain" à la délivrance du permis de conduire à points, soulignant que ses dispositions en matière de contraventions se déclinent en «quatre classes». La première classe comprend «sept cas assortis d'une amende de 2.000 DA au minimum, comme la contravention commise par les piétons des règles d'utilisation des passages sécurisés ou le non-port de la ceinture de sécurité par les passagers», tandis que l'amende sur la contravention de deuxième classe qui atteint 2.500 DA, elle comprend 10 cas, dont l'arrêt et le stationnement anarchiques entravant la circulation et le dépassement de la vitesse autorisée de 10%».
L’amende sur la contravention de troisième classe (comprenant 13 cas) "s’élève à 3.000 DA, à l’instar du dépassement de la vitesse réglementaire entre 10 à 20%, du non-port de la ceinture de sécurité par le conducteur et de l’usage des vitres teintées", alors que les amendes de quatrième degré «sont au minimum estimées à 5.000 DA comprennent 30 cas tels que la conduite en sens interdit, le non-respect de l'arrêt au stop, le franchissement d’une ligne continue et l’utilisation manuelle du téléphone portable ainsi que le dépassement de la vitesse autorisée de 20 à 30 %».
M. Nacef a indiqué dans ce sillage qu'il "est puni d'une amende de 10.000 à 50.000 DA, tout conducteur qui aura fait dépassement de 30% des vitesses règlementaires autorisées", conformément à l'article 79 du code de la route.
Ces procédures s'inscrivent, selon la même source, dans le cadre des efforts des pouvoirs publics visant à «alléger les procédures administratives dans l'application du code de la route» et à «réduire la charge sur les services sécuritaires et administratifs" qui se heurtent à "une forte pression", en orientant leurs efforts vers la lutte contre l'insécurité routière et en encourageant les contrevenants à payer l'amende». Aps

ALGER - Les salles de cinéma de l'établissement Arts et culture de la wilaya d'Alger, donnent rendez-vous aux cinéphiles à partir du 14 février pour renouer avec les productions hollywoodiennes les plus récentes après trois semaines de fermeture pour cause de hausse sensible du nombre d'infection au coronavirus, indique un communiqué de l'établissement.
En collaboration avec le distributeur "MD Ciné", les salles Ibn Khaldoun et Sahel proposent des films comme "Moon Fall", "Spiderman: No Way Home", "Scream" ou encore "Marry Me" à raison de trois séances quotidiennes.
L'Etablissement Arts et culture précise cependant que l'accès aux salles de projection est tributaire de la présentation du certificat de vaccination tout en rappelant l'obligation de respecter les mesures de préventions à l'intérieur des salles.
Aps

Le ministère de l’Agriculture est enfin sorti de son immobilisme pour faire la lumière sur le phénomène inquiétant de putréfaction des viandes de moutons sacrifiés à l’occasion de l’Aïd. Les spécialistes s’accordent à dire que ce sont les techniques d’”engraissement” qui sont à l’origine de cette avarie. L’enquête a été confiée aux services de la gendarmerie nationale.
Un phénomène de putréfaction de la viande de mouton de l’Aïd marquée par des taches verdâtres ou bleuâtres lors de sa congélation a été signalé par plusieurs consommateurs de par le territoire national.
Ce phénomène, constaté également les années précédentes, a atteint, lors de l’Aïd passé, des proportions inquiétantes, suscitant la mobilisation des différentes organisations de défense des droits des consommateurs qui tirent la sonnette d’alarme. D’ailleurs, le ministère de l’Agriculture a procédé, dimanche, à l’ouverture d’une enquête pour faire la lumière sur cette affaire, rapporte l’APS.
Les spécialistes, pour leur part, sont unanimes sur le fait que ces putréfactions sont dues aux méthodes d’engraissement, telle l’injection de corticoïdes.
Pour le moment la gendarmerie nationale ainsi que les services compétents de la police continuent de mener leur enquête. Les services spécialisés du ministère de l’Agriculture ont, de leur côté, effectué des prélèvements au niveau du laboratoire central vétérinaire et des échantillons ont été envoyés aux laboratoires de la gendarmerie nationale.
Les pouvoirs publics, de leur coté, tentent de rassurer en expliquant que ce phénomène est limité géographiquement aux wilayas d’Alger, Boumerdès, Chlef, Constantine et Blida. Le ministère de l’Agriculture certifie qu’il ne s’agit pas d’une maladie animale, ajoutant que les conditions climatiques qui ont caractérisé le jour de l’Aïd ainsi que les conditions d’hygiènes inappropriées pourraient être à l’origine de ces putréfactions.
source : algerie-focus.com

Le centre de formation Nid’arts vous propose d' apprendre les B-A-B-A ( les bases ) du stylisme de mode avec Mme Boumellil Khalida, un atelier de design complet,comportant 6 modules fondamentaux de stylisme afin de découvrir les techniques de design et les dessins de mode et réaliser une collection à votre goût pour une garde robe stylée et moderne.
Au Programme :
1/ dessin des figurines de mode
2/ techniques d’illustration
3/ techniques de dessin à plat
4/ techniques du dessin des matières
5/ créativité : création de sa propre collection
6/ conception et réalisation ( pratique )
Pour plus d'informations RDV sur la page facebook de l'école Nid’arts
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