
Vivez l’expérience d'une journée à Azzffoun avec Aventurable
FICHE TECHNIQUE :
Lieu : Azeffoun
Durée : Une journée
Date : Samedi 11/08/2018
Profil: Passionnés par l’aventure, plage..
RESTAURATION :
La nourriture est à la charge du participant.
RENDEZ-VOUS :
Départ: Samedi 11/08/2017 à 7h30h du matin, à champ de manœuvre. Alger
Retour le jour même à 20h00 à Alger
Durée du Trajet (Alger - Azeffoun) = 03h00
TARIFS :
* Prix / personne : 1700 DZD.
0560 01 79 77

La question a le mérite d’être posée, tant la deuxième ville du pays semble rayonner depuis deux, voire trois ans sur la scène culturelle à travers non seulement les réalisations physiques liées à ce secteur, mais également par le truchement de projets artistiques de qualité.
Pour le dramaturge Mourad Senouci, directeur du Théâtre régional d’Oran (TRO), c’est une interrogation qui revient souvent ces derniers temps, témoin du renouveau artistique d’Oran : “C’est magnifique de voir, pour une fois, Oran associée à la culture.” Même s’il n’aime pas les comparaisons, en soulignant ne pas posséder “les données pour le faire”, il indique que son souhait “est que la dynamique culturelle à Oran soit étudiée et partagée”. Une dynamique qui trouve son épicentre au niveau du TRO, selon plusieurs avis spécialisés, qui est entré dans une nouvelle dimension.
À ce sujet, l’homme de culture explique que “tout a commencé lorsqu’on a décidé de diversifier nos programmes”. Une conviction personnelle qui part du postulat que le TRO n’a pas un public mais doit avoir des publics après avoir constaté que d’autres lieux culturels dans la ville possédaient leurs propres publics. “J’ai gardé la vocation première du TRO à 70, 80% et décidé de diversifier le reste des programmes entre différentes inclinaisons artistiques (musique, danse, rencontres littéraires…)”, ajoute-t-il.
Un choix qui a ramené un autre genre de public qu’“on ne connaissait pas tout en préservant le public originel”, mais qui a obligé les organisateurs à élever leur niveau d’exigence pour attirer un public émergent “qui paye sa place”. Mourad Senouci considère que “l’attente culturelle existe à Oran, au contraire de l’offre”, une lacune comblée en partie par l’émergence du secteur privé qui a commencé à investir dans la culture. “L’initiative privée est liée à l’histoire de la ville portée vers la culture. On a eu de la chance d’avoir des gens qui ont investi dans ce créneau, que ce soit le théâtre La Fourmi ou le centre d’arts d’El-Yasmine, des investissements 100% privés qui font parler d’eux”. Pourtant, cette offre culturelle doit fonctionner en réseau, estime l’homme de théâtre. “C’est ce que nous sommes en train de faire.
Il y a un véritable réseau culturel qui s’installe à Oran et qui donne de la force à cette offre”, affirme-t-il. Optimiste, il promet que “le meilleur est à venir à travers des investissements d’ordre privé, dont le premier bénéficiaire restera le public oranais”, mais aussi à travers un échange et un partenariat public-public et public-privé avec un esprit gagnant-gagnant. “La culture de qualité et d’excellence doit prévaloir dans ces partenariats. Il existe des gens qui ont compris que pour servir la culture il faut des moyens, et pour avoir les moyens il faut s’entraider. Il faut de l’engagement”, professe-t-il, en prenant exemple sur la publication des textes d’Ould Abderrahamane Kaki en partenariat financier avec une association de Mostaganem.
Pour Samir Zemmouri, formateur et metteur en scène, il y a un net regain d’activité cultuel à Oran par le biais du travail de La Fourmi et d’El-Yasmine. “Auparavant, Oran avait un lien occasionnel avec la culture, mais le privé a ramené de la qualité dans les spectacles, ainsi qu’un public sélectif”, selon lui.
Si la capitale de l’Ouest connaît un nouveau souffle par rapport à Alger, c’est surtout après le retrait de l’ONCI et de l’EPAC qui constituaient une véritable vitrine de la culture en Algérie. À ce titre, il reconnaît que “des artistes d’Alger l’ont sollicité à la recherche d’une visibilité à Oran”, une anecdote qui en dit long sur l’inversion des rapports de force.
Une vérité qui n’est pas si évidente pour autant dans l’analyse de Belmekki Mourad, artiste peintre, qui est catégorique quant à la place qu’occupe Alger sur ce plan. “Impossible de détrôner Alger de son piédestal à cause de ses infrastructures institutionnels et des espaces culturels privés”, explique-t-il, tout en mettant en exergue l’absence de médiatisation des événements culturels à Oran qui “est obligée de se préparer”.
source : journal liberté

Le romarin en cosmétique
Les bienfaits du romarin se remarquent aussi dans la salle de bain ! En effet, la lotion de romarin est réputé pour sa capacité à apporter dynamisme et beauté à la peau et aux cheveux.
Le romarin rafraîchit et raffermit la peau
Appliquée sur le visage, la lotion de romarin rafraîchit et raffermit la peau, et atténue les rides. Vous pouvez réaliser cette lotion vous-même en suivant notre recette un peu plus bas !
Vous pouvez également utiliser l’hydrolat de romarin à verbénone qui est astringent et purifiant.
La lotion de romarin agit sur la chute des cheveux
La lotion de romarin est un remède de grand-mère pour freiner la chute des cheveux et favoriser leur repousse car elle fortifie le cuir chevelu.
Le romarin parfume
L’huile essentielle de romarin entre dans la composition de nombreux parfums, notamment de la célèbre eau de Cologne.
La recette de la lotion au romarin
Pour fabriquer facilement votre lotion au romarin, rien de plus facile :
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Faites bouillir pendant 10 mn une poignée de romarin dans de l’eau.
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Laisser infuser pendant un quart-d’heure.
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Laissez refroidir avant de verser dans un flacon.
source : consoglobe.com

A quoi et comment dépensent les Algériens leur argent ? C’est la question difficile à laquelle une enquête de l’Office national des statistiques (ONS) a tenté de répondre. En Algérie, les enquêtes sur les dépenses de consommation des ménages sont menées chaque 10 ans. C’est pour cela que depuis l’indépendance à ce jour, cinq enquêtes uniquement ont été réalisées.
Dans ce contexte, les dépenses des consommateurs algériens demeurent un mystère que beaucoup de sociologues ou économistes tentent d’explorer. La dernière enquête de l’ONS menée en 2011 et dont les résultats définitifs n’ont toujours pas été rendus publics, nous éclaire tout de même sur la nature des dépenses des Algériens et leurs consommations préférées. Ainsi, cette enquête de l’ONS nous apprend que les consommateurs algériens consacrent la plus grande partie de leur argent aux achats des produits alimentaires.
En effet, les ménages algériens consacrent près de 42% de leurs dépenses aux besoins alimentaires, révèle cette enquête de l’ONS qui a porté sur un échantillon de 12.150 ménages répartis à travers le territoire national. Les besoins alimentaires constituent donc la priorité des ménages algériens. S’ensuit ensuite le logement, et ses diverses charges, qui représente 20,4 % des dépenses des Algériens 12% du budget des ménages est consacré pour les frais de transport et communications et 8% pour l’habillement et chaussures de la dépense annuelle globale des ménages.
Nourriture, logement, transport et habillement, voici donc les dépenses qui intéressent la majorité des Algériens. Force est donc de constater que les loisirs, les voyages, l’évasion, la culture ou le sport ne figurent guère sur sa liste des priorités pour les dépenses des ménages. L’Algérie est, visiblement, davantage préoccupé par la satisfaction de ses besoins vitaux que par ses plaisirs personnels indispensables, pourtant, pour son épanouissement. C’est le constat, un peu amer tout de même, qu’on peut dresser à la suite des résultats de cette enquête.
Celle-ci se veut, malgré tout, positive et euphorique puise qu’elle que la dépense des ménages algériens a presque triplé durant la décennie (2000-2011) au niveau national, passant de 1.531,4 milliards (mds) de DA à en 2000 à 4.489,5 mds de DA en 2011. Cette même enquête nous révèle que plus la taille du ménage est élevée, plus la dépense de celui-ci est grande. Elles passe de 40.795 DA chez les ménages de très petite taille (1 à 2 personnes) à 78.101 DA chez les familles de neuf (9) personnes et plus.
Faut-il s’en réjouir pour autant ? Pas vraiment car cela démontre que les familles algériennes subissent de nombreuses contraintes pour diversifier leurs dépenses et veiller à leur sécurité financière. Des difficultés qui persistent encore en dépit d’une nette amélioration du pouvoir d’achat de l’Algérien. Les salaires des Algériens ont beau augmenté, la cherté de la vie et l’inflation réduisent la marge de manoeuvre du consommateur. Celui-ci se retrouve ainsi obligé à penser uniquement à se nourrir, se loger et déplacer pour travailler.
source : algerie-focus.com

iMadrassa est un nouveau site de soutien scolaire par internet, lancé avec la collaboration de l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy et de Amana assurance, qui a été présenté par son fondateur, Kamel Haddar, lors d’une conférence de presse tenue en son siège à Alger.
i Madrassa se présente comme un site sur lequel les élèves de tous les paliers pourront réviser leurs cours, tester leurs connaissances avec des quiz, s’entraîner avec des exercices interactifs et des vidéos et s’évaluer avec des examens corrigés.
Tous les contenus pédagogiques du site sont produits par des professeurs ayant plus de 20 ans d’expérience et validés par des inspecteurs de l’éducation nationale. Et les parents et les élèves peuvent suivre l’avancement et les progrès de l’élève grâce à un tableau de bord et comparer leur score avec les autres membres du site à l’échelle nationale.
Tous les cours sont gratuits, mais pour accéder aux exercices et examens corrigés un abonnement est nécessaire, à raison de 1 370 DA/mois. Grâce au e-paiement, devenu une réalité par le truchement de cette formule, il est possible de procéder au paiement directement depuis un mobile pour les clients Djezzy seulement, ou en payant à la livraison à domicile sur 36 wilayas.
“Réconcilier les élèves avec la réussite scolaire” est au centre de la vision que développe, aujourd’hui, ce binational qui s’est installé en Algérie depuis quatre ans, après un parcours international, et surtout après avoir coaché 70 étudiants algériens qui poursuivent leurs études dans les plus grandes écoles internationales, à l’instar de Harvard et autres.
“Quand on parle aux élèves, l’école est un cauchemar. Pour les parents, c’est une punition. Ce n’est pas normal. Parce que si l’avenir des élèves, des parents et du pays est un cauchemar, c’est un véritable problème”, a-t-il affirmé en guise d’introduction à son start-up, en étayant ses dires, par les chiffres officiels reflétant l’échec scolaire. 4% seulement des élèves arrivent au bac sans redoubler.
Soit, 96% des élèves redoublent au moins une fois ou arrêtent l’école. Pour lui, si l’on peut continuer à accepter cela, la réponse est incontestablement iMadrassa.
Pour autant, iMadrassa n’est pas une solution pour remplacer l’école algérienne, mais se veut un complément de l’école et du professeur, et un accompagnement scolaire au profit des élèves avec la technologie, dira son initiateur. Il a expliqué que ce concept s’adresse à une génération-z, de surcroît “digital native”, c’est-à-dire née avec un smartphone, une tablette ou un ordinateur à la main, et qui n’ont pas de barrières technologiques.
source : journal liberté
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.