boule de noix de coco Raffaello fait maison 13 Juillet 2015 recettes cuisines et chroniques culinaires
Ingrédients / pour 6 personnes
- 200 g + 50 g de noix de coco râpée
- 1 boîte de lait concentré
- des gaufrettes
- Noisettes ou amandes entières
PRÉPARATION Raffaello façon maison
1La veille, mélanger la boîte de lait concentré avec 200 g de noix de coco râpée.
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Arnold Schwarzenegger de retour en Algérie fin février
L’acteur et ex-gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger prévoit une nouvelle visite en Algérie. Il sera à Oran les 22 et 23 février prochain pour représenter son ONG R20.
Arnold Schwarzenegger se rendra donc à Oran pour une rencontre entre une quarantaine de ministres africains de l’environnement et l’ONG écologique R20 fondée par l’acteur. Le réunion à Oran réunira également des membres de l’ONU concernés par les questions environnementales, d’institutions financières internationales et des entreprises actrices de l’économie verte seront également présents lors de cette réunion. Ils traiteront de différentes questions écologiques, telles que la gestion des déchets, l’efficacité énergétique et l’utilisation des énergies renouvelables.
Arnold Schwarzenegger était déjà venu en juin 2013 afin d’ouvrir un bureau à Oran pour représenter son ONG dans la zone Méditerranée et Africaine. Ce sommet écologique est le premier depuis l’installation de ce représentation régionale du R20, et il devrait déboucher sur un engagement concret : la signature d’une « déclaration d’Oran » destinée aux chefs d’Etats dans la perspective de la conférence mondiale sur le climat qui se tiendra en 2015 à Paris.
Focus algérie avec Agence Ecofin
source photo : coventrytelegraph.net

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CREA 48 contient 4 panels comme suit :
- Trouver la bonne idée
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L'atelier se deroulera les weekends du mois de Janvier.
1 er panel : vendredi 8 janvier 2016
Tarifs:
15 000 DA le panel
Offre Special: Pour 3 Panels achetés le 4éme gratuit
Lieu: Dely Brahim
Date: Les weekends de Janvier
Audience Ciblée: Porteurs de projets et créateurs d'entreprise, et toutes personnes souhaitant decouvrir les étapes de la création d'entreprise
formulaire d'inscription: https://docs.google.com/forms/d/1bdMbhSMsvA571uyqtqvQ5_XqWjLnzoxr8Qss41R-nHI/viewform?usp=send_form
Si besoin n'hesitez pas à nous contacter au 0560.13.48.42 ou par mail au: contact@inno-preneurs.com
La revue scientifique The Lancet a publié une étude sur les conséquences psychologiques du coronavirus. Pour mener à bien ce travail, publié sur le site nospensees.fr d’autres situations similaires ont été prises en compte (avec un impact différent bien sûr). L’une d’entre elles était, par exemple, la quarantaine qui a été appliquée dans plusieurs villes du Canada à la suite de l’épidémie de SRAS en 2003.
La population a été confinée pendant 10 jours et les psychologues ont également profité de l’occasion pour analyser l’effet de ce type de situation. A partir de ces données et des observations que nous constatons ces jours-ci, nous pouvons estimer que les conséquences psychologiques du coronavirus pourraient être les suivantes.
1. Le confinement pendant plus de 10 jours génère du stress
L’une des mesures que nous prenons pour prévenir le coronavirus et même pour transmettre la maladie elle-même (lorsque les symptômes sont légers) est de procéder à une quarantaine.
Cette période d’isolement dure 15 jours. Eh bien, une chose que les chercheurs de cette étude, les docteurs Samanta Brooks et Rebecca Webster du King’s College London, ont pu constater, c’est qu’après 10 jours, la santé mentale en souffre.
Dès le onzième jour, le stress, la nervosité et l’anxiété apparaissent. Ainsi, si une restriction de plus de 15 jours était appliquée, les effets seraient beaucoup plus complexes et difficiles à gérer pour la plupart.
2. Les conséquences psychologiques du coronavirus : la peur de l’infection devient irrationnelle
L’une des conséquences psychologiques les plus évidentes du coronavirus est la peur de l’infection. Lorsqu’une situation d’épidémie ou de pandémie s’éternise, l’esprit humain a tendance à développer des peurs irrationnelles.
Il importe peu que nous disposions d’informations fiables. Il n’est pas pertinent que nous soyons avertis des mesures de sécurité (lavage des mains, distance de plus d’un mètre…).
Progressivement, nous développons davantage de craintes, jusqu’à ce qu’elles soient de plus en plus infondées. Il peut y avoir une crainte irrationnelle que l’infection puisse également provenir de la nourriture que nous mangeons ou que nos animaux domestiques soient des transmetteurs… Ce sont des situations extrêmes que nous ne devrions jamais atteindre.
3. L’ennui et la frustration
C’est évident. Dans un contexte où l’interaction sociale est réduite, où seul le silence règne dans les rues et où nous sommes contraints de nous confiner à la maison, il est évident que le démon de l’ennui ne tardera pas à se manifester. Nous pouvons le combattre de plusieurs façons, nous le savons.
Cependant, au fur et à mesure que les jours passent et que l’incertitude grandit, la piqûre de la frustration apparaît déjà. Le fait de ne pas pouvoir maintenir notre mode de vie et notre liberté de mouvement nous précipite dans ces émotions plus complexes et plus problématiques.
4. Le sentiment de manque de biens de première nécessité et le comportement de panique
Dans le contexte d’une épidémie ou d’une pandémie, l’esprit agit souvent par impulsion. L’un de ces effets sont les achats compulsifs.
Il faut se souvenir, par exemple, de la pyramide classique des besoins fondamentaux d’Abraham Maslow. A la base, l’être humain a besoin de faire des réserves de nourriture et de biens de première nécessité pour se sentir bien.
Dans un scénario d’incertitude, notre cerveau concentre son attention sur cette priorité : que nous ne manquions pas de ces fournitures de base. Il importe donc peu que nos supermarchés n’aient pas de problèmes d’approvisionnement.
Il importe peu non plus que nos pharmacies ne manquent pas de médicaments. Notre esprit nous fait croire qu’il nous manque ces biens et que nous devons les obtenir.
5. La méfiance : ils ne nous donnent pas toutes les informations !
Une autre conséquence psychologique du coronavirus est la méfiance à l’égard des sources autorisées. Institutions de santé, politiciens, scientifiques de référence… Il arrive un moment, au milieu de ces contextes de crise et d’incertitude, où l’esprit humain se déconnecte et se méfie.
On a pu le constater lors de la crise du SRAS en 2003. La raison ? Des données parfois contradictoires ont été proposées. D’autres fois, il n’y avait pas de coordination entre les différents membres du gouvernement, de la santé et d’autres juridictions.
Nous devons garder à l’esprit qu’il s’agit d’un événement inhabituel. Nous n’avions jamais fait face à une telle situation auparavant.
Il faut aussi considérer que ce petit adversaire, le COVID-19 est inconnu, comme l’était le SRAS en son temps. Les autorités réagissent en fonction des événements et des besoins. La méfiance populaire est le pire ennemi dans ce contexte.
Bientôt, les théories du complot se multiplieront et, loin d’aider, elles entraveront la résolution de tous les problèmes.
6. Les troubles psychologiques peuvent s’aggraver
Nous l’avons souligné au début. La population la plus sensible, les personnes souffrant de dépression, de phobies, d’anxiété généralisée, de troubles obsessionnels compulsifs, peuvent souffrir beaucoup plus dans ce contexte. Il est essentiel qu’elles se sentent soutenues et qu’elles ne passent pas ces journées dans la solitude.
7. Les conséquences psychologiques du coronavirus : la pensée négative est le pire ennemi de tous
Il existe un facteur évident et très dangereux dans les conséquences psychologiques du coronavirus. Ce n’est rien de moins qu’une pensée catastrophique. Celle qui anticipe le pire, celle qui nous dit que nous allons perdre notre emploi, que rien ne sera plus comme avant, que nous finirons par être infectés, que quelqu’un que nous aimons va mourir, que l’économie va s’effondrer.
N’entrons pas dans ce genre de réflexions. Loin de nous aider, elles compliquent notre réalité et font ressortir le pire de nous-mêmes. Prenons donc soin de notre santé, suivons les mesures de prévention, mais en plus de cela, prenons soin de notre santé psychologique. En conclusion, en temps de crise, restons calme et créons des alliances. Aidons-nous les uns les autres à surmonter avec succès cette situation qui va passer.
ALGER - La Protection civile lance, à partir de ce lundi, une campagne nationale de prévention et de sensibilisation sur les risques liés à l'intoxication et à l'asphyxie au monoxyde de carbone, sous le slogan "Un hiver sans accident d'asphyxie", qui s'étalera tout le long de la période hivernale.
La Protection civile précise dans un communiqué que le programme de cette campagne comprend "des journées portes ouvertes, des caravanes locales qui sillonneront les différentes localités pour faire de l’information de proximité, ainsi que des émissions radiophonique et télévisées, suivies de diffusion de spots de sensibilisation à travers tous les médias".
Ainsi, les services de la Protection civile estiment que les décès par asphyxie "ne sont pas dus au hasard ou à des circonstances imprévues, mais à une erreur de prévention en matière de sécurité", soulignant qu'en général "ces erreurs sont imputées essentiellement à la mauvaise ou à un manque de ventilation, au mauvais montage de ces équipements par un personnel non qualifié, ainsi que l'achat d'appareils de chauffage ne disposant pas d’un système de sécurité".
Quant à l'ampleur des asphyxies liées au monoxyde de carbone (CO), les services de la Protection civile ont enregistré entre janvier et octobre de l'année en cours, le décès de 106 personnes, dont 75 par intoxication par le monoxyde de carbone et 1981 autres incommodées par les différents Gaz, dont 1697 incommodées par le monoxyde de carbone, sauvées et secourues.
Pour l'année 2020, les statistiques de la Protection civile montrent que 3381 personnes ont été incommodées par les différents gaz brulés, dont 2128 personnes incommodées par le monoxyde de carbone, sauvées et secourues, et 121 sont décédées, dont 100 décès suite à l’inhalation du monoxyde de carbone.
Par ailleurs, pour prendre part à cette campagne de prévention, la Protection civile appelle les citoyens et les associations à se rapprocher de ses services au niveau des wilayas du pays.
aps
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.