Petits gâteaux faciles à réaliser avec des flocons d'avoine. Ils sont riches en fibres et en magnésium.
Ingrédients
- 100g de flocons d'avoine
- 25g de farine
- 75g de poudre d'amandes
- 125g de sucre vanillé
- 30g de beurre
- 2 oeufs
Ganache au chocolat (facultatif) :
- 100g de chocolat noir
- 1 c à s de crème liquide
Préparation
Étape 1
Mélanger les flocons d'avoine, la farine et le sucre.
Ajouter les oeufs battus, le beurre fondu et la poudre d'amandes.
Bien mélanger.
Étape 2
Déposer des petits tas bien espacés sur une plaque couverte de papier sulfurisé et aplatissez-les avec le dos d'une cuillère mouillée. Donner la forme qui vous convient : en rond, en coeur, etc.
Étape 3
Enfourner 12 minutes à 180°C ou Th.6.
Les bords des biscuits doivent être bruns orangés et le centre blond pâle.
Laisser refroidir.
Étape 4
Préparez la ganache (facultatif). Faire fondre le chocolat au bain-marie avec la crème et y tremper chaque biscuit jusqu'à moitié puis déposez-les sur une grille.
750g.com

Les interdits imposés aux jeunes et moins jeunes par l’hyper religiosité importée en Algérie par le Régime en place a ses conséquences.
Chasse aux couples. Hôtels sur présentation de livret de famille. Fermeture des lieux de loisirs, des terrasses, des bistrots, des bars, des lieux de rencontre, des salles de cinéma. Occupation des espaces publics comme les plages ou les salons de thé par des prosélytes qui épient, qui n’hésitent pas à vous aborder pour faire la morale, quand ils ne vous menacent pas carrément…. Toutes ses choses ont un prix.
Outre, l’explosion des cas de kidnapping et de viols d’enfants, comme la petite Salsabil d’Oran, une étude vient révéler une toute autre vérité.
Quand on confie la société aux religieux et qu’on écarte les spécialistes !
Ainsi, le terme « xnxx » est plus recherché sur Google par les Algériens que le terme « Coran ». C’est ce que révèle une étude menée en France, en 2015, par Trois étudiants algériens de l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, en France et rapportée, ce lundi 24 septembre, le site Teles-Relay qui cite le site Algérie focus. Ce qui leur fait dire que deux préoccupations majeures occupent le jeune algérien 24h/24 : le sexe et la religion.
Étonnant ? Pas tant que ça.
Le déroulement de l’étude
En utilisant l’outil de Google, Google Trends, qui permet d’explorer les tendances en matière de recherches menées sur Google, ces étudiants ont constaté que les deux thèmes les plus recherchés par les Algériens sont le sexe et la religion.
En prenant comme référent symbolique d’un site pornographique le terme « xnxx » (xnxx.com étant un des sites pornographiques les plus populaires au monde), ils relèvent que celui-ci est bien plus recherché sur Google par les Algériens que le terme « Coran ».
En comparant ces tendances avec celles des populations d’autres pays, notamment la France et les Etats-Unis, ils montrent que la recherche du terme « xnxx » est bien plus importante en Algérie.
Quand trois jeunes algériens alertent les dogmatiques aux commandes de l’Algérie !
Selon l’étude, l’Algérie est l’un des rares pays qui place un site pornographique parmi les 10 sites les plus consultés du pays. Des sites à caractère pornographique apparaissent aux 10ème (xnxx.com) et 20ème places (xvideos.com) des sites les plus populaires.
Et aux jeunes étudiants d’alerter : « La forte place accordée à des sites pornographiques dans des pays réputés conservateurs soulèvent de nombreuses interrogations sur le fonctionnement de ces sociétés. Et ces données communiquées par le web méritent un véritable débat de société en Algérie. »
source : marevuedepressedz.com
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Le groupe NR2 donnera un concert hommage au chanteur Georges Brassens au musée national des beaux arts, le samedi 21 Février 2015, de 13h à 16h30.
concert gratuit
Adresse : 178, Place Dar Essalem – El Hamma – Belouizdad – Alger
pour plus d'information :
https://www.facebook.com/events/337130619824282/?ref_newsfeed_story_type=regular
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Des paroles – ou des instructions – en l’air. Le feuilleton de la concession des plages, restée problématique, et cacophoinique durant plusieurs semaines n’aura-t-il finalement servi à rien ? En dépit des « multiples » instructions de la wilaya d’Alger, mais surtout des Ministères de l’Intérieur et du Tourisme attestant de la gratuité des plages, les « squatteurs » réinstallent leurs parasols et dictent leurs lois, au grand dam des estivants qui déplorent l’absence des autorités et leur « manque de sérieux ».
Dans les plages algériennes, algéroises ou autres, les « gros bras » font payer le parking, les frais des parasols et des mobiliers. Tel est le constat fait par le quotidien El Khabar, deux jours après la fête de l’Aïd El Fitr et le mois de ramadan.
Dans la wilaya de Boumerdès, plusieurs jeunes squattent les espaces adjacents aux plages de la ville, « aménageant » de manière illégale une aire de parking. Selon ce quotidien arabophone, certains jeunes ont même été « verbalement » chargés par les mairies de la gestion de ces lieux. Ces squatteurs ne manquent pas d’imposer par la force les frais de stationnement aux estivants.
La même pratique est répandue dans les autres plages de Boumerdès, boudant les instructions de l’Intérieur. Certaines plages, qui devraient être gratuites se retrouvent concédées par les mairies à des concessionnaires privés, qui, en plus, ne respectent pas le cahier des charges imposé par le ministère du Tourisme, a rajouté la même source.
La wilaya de la capitale n’échappe pas non plus aux squatteurs. Les estivants aux plages algéroises, certainement les plus « concernées » par les instructions, d’abord du wali Abdelkader Zoukh, ensuite du ministère des Collectivités Locales, ont eux aussi constaté la présence de plagistes, qui demandent « leurs dus ».
Des familles et des visiteurs, rapporte le quotidien El Watan, ont payé, « par ignorance ou de peur d’éventuels actes de sabotage » jusqu’à 1.000 Da de frais. Certains estivants, informés des instructions de la wilaya, ont refusé de payer le moindre dinar, face au mécontentement des squatteurs, repartis « bredouille ».
Les plages de la wilaya de Tipaza ne font pas exception. Des plagistes tentent aussi de forcer les visiteurs à s’acquitter de 100 Da pour le stationnement. Sur le sable, les squatteurs implantent leurs parasols et mobiliers, occupant toutes les bandes des plages, exigeant des prix allant de 200 à 600 Da.
Des exceptions qui font ravir les estivants
Contrairement aux autres wilayas, Oran et certaines de ses plages étaient épargnées des transgressions des instructions ministérielles. Les estivants pouvaient, selon le quotidien El Khabar, planter leurs parasols à leur gré sans être perturbés par les squatteurs.
Les plages des wilayas de Mostaganem et Aïn Temouchent faisaient aussi exception. L’accès à plusieurs plages de ces villes étaient gratuit, note la même source.
A Aïn Temouchent, des agents de sécurité ont été chargés de veiller à l’application des nouvelles lois. A Mostaganem, l’accès aux plages était symboliquement fixé à 20 Da.
source : huffpostmaghreb.com
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Astuce en image afin de connaitre le temps de cuisson des œufs à la coque
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Le Murdjadjo, le Torki Club, le Mezghena ou le Djawhara, dans ces célèbres cabarets de la corniche oranaise, il ne se passe pas une soirée sans que l’on ne dépense des centaines de millions, voire des dizaines de milliards de centimes. Les hommes riches se bousculent au portillon de ces cabarets pour faire des “rechqates” à 300 ou 400 millions de centimes.
En effet, plus de 300 millions dépensés d’un seul coup par un richissime homme d’affaires pour une “rechqa” lors d’une seule et unique soirée, où l’alcool coule à flot et les filles dénudées se déhanchent au grand bonheur de ces milliardaires et millionnaires assidus. Ces lieux de plaisir échapperaient totalement au contrôle du fisc. C’est du moins ce qu’indiquent des sources proches de l’administration fiscale. Et pourtant, des entrepreneurs, notables et rentiers versent sur les pistes de danse, ou des prostituées leur offrent leur charmante compagnie le temps d’une soirée torride, des sommes faramineuses qui laissent bouche bée les Algériens lambda, dont les fins de mois deviennent de plus en plus difficiles à boucler.
La semaine écoulée, au Murdjado, un certain Redouane El-Kheima, un homme riche originaire de Relizane, grisé par l’ambiance endiablée de ce cabaret, a mis sur la table 80 millions de centimes pour une “rechqa”. Au même moment, au Mezghana, un certain Moh Ouargla, originaire de la ville éponyme, a atomisé ses adversaires d’un soir avec une “rechqa” de 150 millions de centimes. Mais le record absolu est détenu par le célèbre Djamel Biskri, un autre homme richissime qui a fait fortune dans le commerce des dattes, a dépensé, lors d’une seule soirée, plus de 400 millions de centimes ! Et l’homme est connu pour être un véritable habitué des soirées arrosées d’Oran où l’argent coule à flot.
Mais d’où vient tout cet argent ? Qui sont ces milliardaires qui exhibent des fortunes insolentes ? Au moment où notre pays enregistre des déficits sidéraux en recettes fiscales, en raison de la chute brutale des prix du pétrole, l’administration fiscale n’arrive pas (ne veut pas?) à trouver les mécanismes adéquats pour contrôler les fortunes de ces personnes richissimes, d’autant plus que les conditions de leur enrichissement sont singulièrement suspectes. “Des caïds connus pour leurs activités dans le trafic de drogue passent régulièrement leurs soirées dans ces cabarets. Et personne ne trouve à redire !”, s’indignent de nombreux connaisseurs et habitués de ce monde de la nuit, désormais régi par les seules règles du portefeuille. Preuve en est, chaque jeudi, la veille du week-end, les tarifs de l’entrée dans plusieurs cabarets prestigieux comme le Murdjadjo, lequel a été restauré et s’appelle aujourd’hui le Murdjadjo Plus, ou le Mezghena sont fixés à 20 mille DA par personne. Et pour réserver une table, les tarifs peuvent aller jusqu’à 70 ou 80 mille DA. Ces prix sont évidemment encore plus élevés lors des fêtes de fin d’année. Il faut dire que les cabarets algériens ne connaissent pas la crise.
“Ces riches ont le droit de faire ce qu’ils veulent de leur argent, à condition qu’ils précisent d’où il provient”, assure à ce propos Sammy Oussedik, expert financier et ancien cadre supérieur au Crédit Populaire d’Algérie (CPA) et à la Banque extérieure d’Algérie (BEA). Selon notre interlocuteur, les inspecteurs des impôts algériens ont pour devoir de contrôler la légalité de “ces signes extérieur s de richesse” comme cela se fait dans les pays développés. “Ils ont pour mission de demander à ces personnes comment ils gagnent leur argent. Ils doivent vérifier s’ils se sont acquittés de leurs obligations fiscales”, confie encore notre expert.
Malheureusement, pour l’heure, il n’y a rien de tel. Ces hommes riches, armés de leurs “chkaras”, dépensent sans compter dans les cabarets d’Oran et d’ailleurs, sans que personne ne leur demander des explications. Et pendant ce temps, les salariés sont seuls à alimenter la fiscalité en Algérie, à travers la retenue à la source. Ainsi, les faibles paient et les puissants dépensent…
source : algerie-focus.com
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Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.