
A l’hôpital Mohamed Lamine Debaghine de Bab El Oued (ex-Maillot), à Alger, il n’y a pas que le service qui s’est dégradé. Dans le sillage de la déliquescence généralisée dans laquelle baignent nos hôpitaux, même les rats ont trouvé leur place.
Une vidéo circulant largement sur les réseaux sociaux montre, en effet, des rats d’égouts prospérant dans l’enceinte hospitalière. C’est le cas du service de pédiatrie où les rongeurs se baladent comme bon leur semble. Ils viennent, bien entendu, des poubelles dans lesquelles les déchets s’amoncellent de jour comme de nuit.
Ces images ne font qu’illustrer la situation dramatique dans les hôpitaux. Des établissements dont l’image est déjà écornée par un service qui fait fuir les riches à l’étranger et les autres Algériens vers les cliniques privés.
algerie-focus.com

Le développement personnel est un domaine relativement récent en Algérie, les écoles de formation en coaching, les ateliers en développement personnel, les formations certifiées pullulent depuis un moment, s’il est encore difficile de se faire une opinion définitive sur le professionnalisme de chaque organisme, voici quelques conseils du site esprit-riche.com sur le domaine du coaching ou les questions à se poser avant de faire solliciter un coach :
'' La profession de coach n’est pas réglementée et chacun peut mettre une plaque sur sa porte et recevoir des clients sans aucune contrainte, si ce n’est celles qu’il s’impose. Difficile pour le consommateur de s’y retrouver d’autant plus que derrière ce terme générique il va trouver des dizaines de « spécialités » diverses et variées (coach scolaire, coach de vie, coach en séduction, coach déco, coach coiffure (si, je l’ai vu !), coach amoureux, coach d’organisation, la liste est infinie). Je vais parler ici du domaine que je connais :
Le coaching de vie, destiné aux particuliers, qui est une alternative courte à la thérapie sur des objectifs ciblés (carrière, accidents de la vie, changements, projets)
Le coaching en entreprises, destinés aux managers, aux dirigeants et à leurs équipes (où à des professionnels indépendants), ciblé d’une manière générale sur l’augmentation de leur performance.
Que vous soyez dans un cas ou un autre, voici ce qu’il est bon de savoir pour choisir son coach.
Quelle est sa formation, est-il certifié et par qui ? Il y a pléthore d’écoles de coaching, privées ou dépendantes d’universités. Chacune d’entre elle propose un parcours qui allie (normalement) théorie, acquisitions d’outil, pratique de la relation de coaching et réflexion sur sa pratique. Chaque école s’appuie sur des référentiels dominants (AT, PNL, Gestalt, Systémie etc) et la plupart ont une approche multi-référentielle. Tous les coachs se présentent maintenant comme certifiés, d’ailleurs chaque école revendique cette certification comme argument commercial. Quelle est sa valeur ?
Dans mon jardin, chaque été, poussent d’excellentes tomates denses et savoureuses qui ne passeraient aucun contrôle qualité (biscornues, taille inégale etc) contrairement aux légumes insipides que vous trouvez au supermarché qui, eux, ont passé vigoureusement toute une batterie de tests. Une certification atteste d’avoir suivi un cursus de formation répondant à certains critères. Cela dénote de la capacité à être coach, mais pas de la compétence qui ne peux s’acquérir qu’en situation de travail réelle, avec des « vrais » clients. De plus, comment une école va-t-elle recaler un apprenti coach qui a dépensé plusieurs milliers d’euros pour se faire former dans cette école précisément ? Une garantie supplémentaire est lorsque cette certification est décernée par un organisme relativement indépendant des écoles comme SFCoach (Société Française de Coaching) ICF (International Coaching Fédération), EMCC (European Mentoring and Coaching Council).
Est-il supervisé ? La supervision consiste pour à un coach à disposer d’un espace avec une personne plus expérimentée que lui pour « travailler » ses « cas clients ». Le coaching est un art et non une science, et les écueils à l’accompagnement sont nombreux. La supervision vise notamment à permettre au coach de voir comment il peut être lui-même un obstacle au processus de coaching. Elle fait partie de tous les codes de déontologie de la profession.
Quel est son parcours professionnel ? Notamment pour le coaching en entreprise, il est intéressant de connaître le niveau de responsabilités où il a exercé lorsqu’il était « en entreprise » et le type de problèmes auquel il a été confronté. Vous pouvez lui demander également ce qui l’a amené au coaching.
Quel est son parcours personnel ? Le principal outil du coach est… lui-même. D’où l’impérieuse nécessité de bien se connaître, de mettre à distance ses propres patterns de fonctionnement, d’avoir l’esprit suffisamment ouvert pour accueillir la différence, d’être à l’aise avec les émotions et maîtres des siennes etc. Un travail thérapeutique approfondi du coach est pour moi un gage de sécurité pour le client. Certains coachs (dont je fais partie) ont également une formation de thérapeute, c’est un plus indéniable, ne serait-ce que pour identifier la limite entre le coaching et la thérapie !
A-t-il pignon sur rue ? Est-il professionnel au sens administratif du terme (N° de siret) ? Vous reçoit-il dans un coin de son salon ou dans un bureau professionnel ? A-t-il des clients et depuis combien de temps exerce-t-il (il faut bien démarrer, ce n’est pas un critère rédhibitoire) ? Appartient-il à un réseau ou à une fédération ?
Il y aurait sans doute d’autres critères à préciser, mais le but de ma chronique n’est pas d’alimenter la parano et de vous lancer dans un interrogatoire serré. Les processus de référencement de coach dans les grands groupes sont autrement plus exigeants que ces éléments. Il y a enfin un dernier critère totalement subjectif et fondamental : votre feeling. Il peut d’ailleurs être utile de rencontrer 2 ou 3 coachs pour faire un choix. Comment vous sentez-vous en sa présence ? Vous sentez-vous en confiance ? Vous sentez-vous compris ? Bref, sentez-vous que c’est la bonne personne pour vous faire avancer là où vous en êtes aujourd’hui ? Si vous répondez franchement oui, allez-y !

Le couscous à la lavande sauvage est une spécialité puisée du centre d’Alger et de ses environs, comme Blida, Cherchell et Médéa. C’est une façon de fêter le printemps avec ce mets tant apprécié par tous les Maghrébins quelle que soit leur région. La particularité de ce couscous, c’est qu’il est préparé avec cette fleur sauvage qu’est la lavande au parfum fort mais très agréable (el helhal), un plaisir doux et amer, et comme dit lla Fifi, cette Algéroise de 82 ans, «li maâdjbouch el hal ychem el helhal (celui qui n’est pas satisfait, qu’il sente la lavande).
C’est avec nostalgie que lla Fifi nous évoque cette spécialité qui tend à devenir désuète. Sans vouloir dénigrer les femmes modernes, elle nous explique : «Il faut dire aussi que sa préparation demande un peu plus de temps qu’un rôti qu’on jetterait dans une cocotte-minute ou dans un cuiseur et qui est prêt en 20 minutes. Et puis il y a tout un rituel autour.
A l’époque, les familles de La Casbah ou d’autres quartiers où était concentrée la population arabe, comme Belcourt par exemple, vivaient dans un système communautariste ; l’entraide était de mise. De plus, c’était une occasion pour toutes les femmes de célébrer un évènement : le printemps après un long et rigoureux hiver.
C’était aussi une manière de couper avec la monotonie. Il y régnait une ambiance particulière comme pour fabriquer la rechta qui, faut-il le souligner, se faisait au rouleau. Les femmes se réunissaient dans la cour (ouest eddar) et s’adonnaient à la besogne dans la joie et la bonne humeur. Revenons à notre couscous, il faut d’abord se procurer les bouquets de lavande.
A l’époque, c’étaient des vieux en général qui les vendaient au marché, fraîchement cueillis des montagnes de Chréa, dans l’Atlas blidéen, et ceux qui avaient la chance de cultiver la lavande sur leur terre, vous ne pouvez imaginer leur plaisir de choisir eux-mêmes les bouquets.
«Une fois les bouquets réunis, les femmes ôtaient soigneusement les fleurs bleues, et dans le pilon, elles les écrasent avec un peu d’eau. On peut aussi les frotter entre les mains pour en dégager les pétales.»
Je me souviens pour la petite histoire : j’avais environ 10 ans, quand une amie de ma mère, tata Baya, une dame généreuse, belle, aux yeux bleus azur, venait de Boufarik nous rendre visite. C’était elle qui nous annonçait le printemps.
Elle portait dans son couffin, en plus des friandises pour les enfants qu’elle n’oubliait jamais, cette lavande au parfum enivrant qu’on sentait avant même de la voir. Je savais que ce jour-là, il y aurait au menu du couscous bel helhal. C’était un rituel, chaque début de printemps on avait droit à nos bouquets qu’elle cueillait elle-même, et cela a duré jusqu’à sa mort. Ma mère en conservait quelques-uns qu’elle gardait au frais pour tenir toute la durée du printemps. Elle disait à ma mère : «Je t’ai apporté ta part de helhal, je voudrais manger de ta main un bon couscous, tu es la spécialiste.» En l’évoquant, lla Fifi n’a pu s’empêcher d’essuyer une petite larme au coin de l’œil.
«Il faut dire aussi que sa préparation demande un peu plus de temps qu’un rôti qu’on jetterait dans une cocotte-minute ou dans un cuiseur, et qui est prêt en 20 minutes.»
«Une fois les bouquets réunis, les femmes ôtaient soigneusement les fleurs bleues et dans le pilon, elles les écrasaient avec un peu d’eau. On peut aussi les frotter entre les mains pour en dégager les pétales. Aujourd’hui, à l’ère de l’automatisme, on peut utiliser le mixeur.» C’était une joie à l’époque, par une journée printanière et ensoleillée, de déguster ce couscous fumant accompagné de petit-lait, nous raconte lla Fifi. En général, quand il est préparé pour la première fois et pour marquer l’évènement, les voisines sont invitées à la fête.
La maisonnée embaume alors l’odeur de la lavande et chatouille les papilles de ses habitants. «Et c’est autour de la sahfa que les femmes, profitant du midi où les hommes sont affairés dehors, apprécient en toute liberté leur couscous à l’extérieur des ghrouf (chambres). La lavande étant amère, et malgré son mélange avec le sucre, est peu ou pas appréciée par les enfants, c’est un plat destiné plutôt aux adultes. On ne peut parler de cette petite plante sans évoquer ses vertus. Elle est antispasmodique, diurétique et aide aussi à nettoyer l’organisme d’une manière naturelle.»
RECETTE :
Prenez les bouquets de lavande, lavez-les soigneusement, puis ôtez délicatement les pétales car ils sont fragiles. Passez-les au mixeur, ou à défaut, frottez-les entre les mains pour les libérer. Les fleurs mixées peuvent être congelées dans des boîtes hermétiques jusqu’à 12 mois. On utilise environ une mesure de fleurs mixées pour deux mesures de couscous. Mais les mesures ne sont pas figées, on peut les changer selon le goût de chacun ; il y en a qui aiment que dans le mélange il y ait plus de lavande, d’autres pas. Mais à force d’en préparer, on arrive à adopter les bonnes doses. La mesure de sucre qui sera ajoutée juste avant de servir est laissée à l’appréciation de la maîtresse de maison.
Cuisson
* Mélangez les fleurs mixées en prenant le soin de les mouiller après la deuxième étape de la cuisson du couscous, ensuite remettre le mélange à cuire une troisième fois à la vapeur.
* Une fois le couscous bien cuit, le verser dans une sahfa( djefna) ou un plat creux à votre convenance. Arrosez de beurre que vous aurez fait fondre au préalable dans une casserole à feu doux (c’est plus pratique, ça vous évite d’écraser le beurre qui mettra plus de temps à fondre).
* Le beurre peut être remplacé par de la margarine, du smen, ou de l’huile d’olive nouvelle. Saupoudrez enfin de sucre glace ou de sucre cristallisé.
* Servir chaud, accompagné de petit-lait ou de lait caillé.
source : le soir d'Algérie
Hanches larges, cuisses épaisses, fessier rebondi et courbes voluptueuses... Les conseils morpho du site femmeactuelle.com pour choisir le denim qui sublimera vos atouts. Le passage dans la cabine d’essayage peut être un véritable calvaire pour un grand nombre de modeuses, surtout quand il est question d’un nouveau jean. Il faut bien se l’avouer, trouver le bon jean devient un véritable casse-tête surtout quand nous avons quelques rondeurs. Trop serré ou bien trop large, vous n’arrivez pas à trouver le jean tendance et confortable qui mettra KO vos complexes.Suivez le guide !Jeans : les bonnes coupes pour sublimer vos formes
Le jean bootcut : ce modèle légèrement évasé dans le bas est parfait pour dissimuler les mollets un peu forts. Ce jean aussi appelé "flare" d’inspiration pattes d’éph’ affinera votre silhouette et vous fera gagner quelques centimètres. Attention de ne pas tomber dans le kitch en adoptant le look cow-girl. Pour être chic et tendance avec cette pièce, associez-la avec une blouse fluide, un blouson style Perfecto et une paire de boots.
Le jean droit : si vous avez des hanches assez larges, ce modèle est fait pour vous. Par sa coupe classique, le jean droit harmonisera vos formes en créant une silhouette affinée. Avec un pull et une paire de low-boots, vous saurez jouer de vos atouts et faire tourner les têtes.
Le jean taille haute : ce modèle est votre meilleur allié pour camoufler votre petit ventre et galber vos cuisses. Avec un joli chemisier rentré et une ceinture large en cuir, ce jean marquera et affinera votre taille. Accompagné d’une paire d’escarpins en verni ou en daim, vous aurez une silhouette élancée. Et si le postérieur de la bomba latina Jennifer Lopez vous fait rêver, le jean taille haute mettra également en valeur votre joli fessier rebondi.
Le slim : pour sublimer vos courbes sans les accentuer, optez pour ce jean. Aujourd’hui, de nombreuses marques ont décidé de lancer des lignes de slim Stretch afin de vous apporter un maximum de confort. Avec cette pièce, vous pouvez opter pour un look de ville casual. Tee-shirt uni, bombers et paire de baskets, cette tenue vous donnera des allures décontractées. Et si vous souhaitez gagner quelques centimètres, n’hésitez pas à retrousser le bas de votre slim. Enfin si vous êtes davantage à la recherche de confort, pensez au jegging. Par son aspect jean, vous vous sentirez à l’aise comme dans un legging. Ce dernier apportera une petite touche sportswear à vos ensembles.
Jeans : les pièges à éviter lorsqu’on est ronde
Le skinny : même s’il est l’un des modèles les plus tendances, le jean skinny n’est pas adapté à toutes les morphologies. Très près du corps et moulant, le skinny est bien souvent conseillé aux silhouettes filiformes. Ce jean mettrait en avant certaines parties de votre corps que vous souhaiteriez dévoiler avec subtilité et classe. Car n’oublions pas, le jean est une pièce fétiche de votre armoire adoptée pour son confort. Vous devez alors vous y sentir à l’aise, comme dans vos baskets.
Eviter les jeans trop larges : mesdames, arrêtez de cacher vos formes. Bien souvent complexées, vous optez pour les jeans larges style boyfriend ou baggy. Or ces derniers ne sculptent pas votre corps. Au contraire, les jeans trop larges vont avoir tendance à vous donner du volume.
Les imprimés et les couleurs flashy : qu'ils soient petits, gros, géométriques ou originaux, les imprimés sur les jeans sont plutôt des faux-amis. Peu flatteurs, ces derniers viennent étoffer votre silhouette au lieu de l’affiner. Cependant, si vous craquez pour un jean aux rayures verticales, vous pouvez vous jetez dessus sans aucune hésitation. Ces lignes allongeront vos formes. Vous pouvez également vous amuser en optant pour un jean aux motifs fleuris brodés qui apporteront un peu de modernité à votre ensemble. Quant aux couleurs, optez pour la sobriété. Jean brut, noir, gris ou marron, ces coloris épouseront parfaitement vos formes pour vous donner une allure plus élancée.
Les marques défendent le body positive
Qu’on se le dise, la mode n’est plus une question de taille. De plus en plus de marques souhaitent mettre un terme au diktat du 36. Dans cette idée, le site internet Asos a lancé sa ligne « curve ». De la taille 46 à 56, les fashionistas peuvent trouver le jean qui leur plaît et qui leur convient. Et afin de répondre aux demandes de toutes les modeuses, certains sites ont fait de la mode spéciale ronde leur marque de fabrique à l’instar de Balsamik, Paprika et Yours. Et si vous préférez essayer votre jean avant de l’acheter, certaines grandes enseignes ont également lancé leurs collections spéciales grandes tailles. H&M, Kiabi et Mango offrent une gamme variée de vêtements adaptés à toutes les morphologies allant jusqu’au 54. Un large choix qui vous permettra de trouver le jean qui sublimera vos atouts.
La recette du Cake au Poulet
Découvrez la recette simple et facile à faire du cake au poulet.
Un cake salé apprécié par le plus grand nombre et simple à réaliser.
Ingrédients pour 6 personnes
- Oeufs3
- Farine150g
- Levure1 sachet
- Huile de tournesol8cl
- Lait entier12,5cl
- Gruyère rapé100g
- Blancs de poulet200g
- Sel, PoivreUne pincée
Préparation - 20 Min
- Préchauffez le four à 180°C (thermostat 6)
- Emincez l’oignon et faite le revenir à feu doux pendant 5 minutes.
- Ajouter dans la poêle, les blancs de poulet découpés en lamelles fines
- Rajoutez le sel, le poivre et faite rissoler le tout pendant 5 min.
- Dans un saladier, fouetter les oeufs puis ajoutez, la farine mélangée à la levure.
- Une fois que vous obtenez une pâte fluide, incorporez le lait, puis lhuile
- Continuez à mélanger
- Enfin y ajouter le gruyère, puis le mélange oignon/poulet.
- Verser le tout dans un moule à cake non beurré.
- Placer le moule au four pendant 45 minutes
Cuisson - 45 Min
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