
Par le Dr Bourouina Nabil Diabetologue
Les personnes atteintes de diabète sont plus touchées que les personnes non diabétiques par les troubles psychologiques comme la dépression et l'anxiété.
Ces sentiments peuvent aller de la simple baisse de moral passagère sans gravité à la dépression plus lourde.
Le patient peut avoir de multiples raisons de déprimer entre l'annonce du diagnostic, la pression sociale qu’il vit, les conséquences sur sa vie professionnelle et personnelle...
Le combat de la personne contre le diabète est double: d’abord contre elle-même, lorsqu’elle se dévalorise et « se rend malade d’être malade ». Ensuite vis-à-vis de la société, lorsqu’elle veut la réduire à sa maladie. Le premier travail est donc à faire sur soi-même pour accepter son diabète, le connaître et ainsi mieux le gérer... ce qui permet de reconnaître les situations où demander de l’aide devient nécessaire.
En pratique, la dépression est largement sous-diagnostiquée chez les diabétiques: elle est le plus souvent considérée comme une réaction “normale” secondaire à la maladie, aussi bien par les patients et leur entourage que par les soignants. Vivre avec le diabète, n'est pas facile tous les jours: Il y a des « hauts et des bas », mais cela ne doit pas être confondu avec une dépression.
Une dépression non prise en charge conduit vers une instabilité du diabète et de plus graves complications. Ceci est dû aussi bien au mode de vie des patients atteints de dépression que de certains mécanismes biologiques.
D’un autre côté, si la dépression aggrave le pronostic du diabète, l’inverse est aussi vrai : le diabète a un effet négatif sur l’évolution de la dépression. Plusieurs études ont montré que la présence d’un diabète allonge la durée des épisodes dépressifs, qu’il est plus souvent la cause d’une chronicisation et qu’il augmente le risque de rechutes et de récidives dépressives.
En terme de prévention, même en dehors d’une dépression, les interventions psychologiques ont un effet positif sur l’équilibre glycémique. Ceci permet au patient de garder une certaine stabilité de son diabète en gérant de la meilleure manière tout le côté psychologique qui est souvent négligé ou du moins sous-estimé.
Source ; Dr Bourouina Nabil Endocrinologue Diabetologue

1 poignée de feuilles de laitue
1 petite carotte
10 olives noires dénoyautées
6 tomates séchées
1 boule de mozzarella
1 échalote
2 c. à soupe d'huile d'olive
1 c. à soupe de vinaigre balsamique
basilic ciselé
sel, poivre
Préparation
ÉTAPE 1 Nettoyez et essorez les feuilles de laitue. Hachez-les grossièrement.
ÉTAPE 2 Pelez et râpez la carotte.
ÉTAPE 3 Coupez les tomates séchées en morceaux.
ÉTAPE 4 Pelez et hachez l'échalote.
ÉTAPE 5 Égouttez et coupez la mozzarella en morceaux.
ÉTAPE 6 Mélangez l'huile d'olive, le vinaigre balsamique, du sel et du poivre dans un bol.
ÉTAPE 7 Répartissez la vinaigrette dans le fond de deux bocaux en verre.
ÉTAPE 8 Répartissez dans les bocaux la carotte râpée, les olives noires, l'échalote hachée, les tomates séchées, les feuilles de laitue, la mozzarella coupée et le basilic ciselé.
ÉTAPE 9 Fermez les bocaux avec les couvercles.

ALGER- Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid a affirmé, mardi à Alger, que les six cas de la souche indienne du coronavirus (B.1.617) détectés dans la wilaya de Tipasa avaient été contaminés par un ressortissant indien établi en Algérie.
En marge d'une visite d'inspection à l'hôpital Salim Zmirli d'El Harrach, le ministre a indiqué que "la détection du variant indien introduit par un ressortissant indien établi en Algérie (dépisté à l'hôpital de Koléa) a été suivie d'une enquête qui a permis de détecter les autres cas".
L'enquête épidémiologique est toujours en cours pour dépister d'autres cas éventuels", a-t-il fait savoir.
"Actuellement, la situation qui prévaut est +relativement stable+", a troisième vague de contamination, mais la prévention et le respect des mesures préventives et sanitaires restent de mise pour préserver la sécurité de tous".
S'agissant de la cadence de vaccination et la réception de quotas supplémentaires de doses de vaccins, le ministre a affirmé que "nous devions réceptionner, ce vendredi, une quantité considérable de vaccin en provenance d'Inde, mais ce pays a décidé de suspendre l'exportation du vaccin en raison de la situation pandémique qui y prévaut actuellement".
"L'Algérie a déjà versé 15% du montant de cette part que nous aurions aimé recevoir. Toutefois, nous étudierons toutes les éventualités pour faire face à cette situation", a-t-il ajouté.
"La diplomatie algérienne veille à obtenir les parts nécessaires de vaccin", a-t-il souligné, ajoutant que le respect du protocole sanitaire et l'application de toutes les mesures préventives constituaient "le meilleur choix pour préserver la stabilité à laquelle est parvenu notre pays en matière de lutte contre cette pandémie", ajoute le ministre.
L’Institut Pasteur d'Algérie a annoncé, lundi, que six (06) cas du variant indien avait été détectés pour la première fois, dans la wilaya de Tipasa. Ce variant est classé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) comme "variant d'intérêt". APS

Un terrible crime a secoué, mardi, la ville frontalière de Maghnia. Un père de famille, âgé de 53 ans, a tué sa femme en instance de divorce en pleine audience du tribunal de première instance de cette ville, a-t-on appris hier de sources judiciaires.
Le drame s’est produit au niveau de la salle d’audience n°01 de cette institution judiciaire de Maghnia, où le juge spécialisé dans les divorces examinait le dossier du couple, ont ajouté nos sources. Le mis en cause a surpris tout le monde en assénant plusieurs coups à la nuque et au cœur de sa femme, âgée de 29 ans, qui s’est écroulée sur place au milieu d’une mare de sang.
La victime a succombé à ses blessures avant même l’arrivée des éléments de la protection civile, qui ont transféré le corps de la victime à la morgue de l’hôpital « Chaabane Hamdoune » de Maghnia où une autopsie médico-légale sera pratiquée. L’auteur du crime a été maitrisé et arrêté par la police de la Sûreté de la daïra et écroué par le juge d’instruction de ce tribunal. Ce crime a soulevé l’indignation de tous les magistrats, greffiers, avocats et habitants de Maghnia.
Lequotidien-oran.com
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