
Astuce en image : déboucher son évier sans produits chimiques

Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa a annoncé, lundi, la création prochaine d’une instance de lutte contre le jihadisme.
Répondant à une question relative à la stratégie pour immuniser et sécuriser intellectuellement la société algérienne, contre les « idées jihadistes » répandues sur les réseaux sociaux, le ministre a précisé qu’un Observatoire national de lutte contre l’extrémisme religieux sera créé très prochainement.
Le ministre qui animait une conférence de presse en marge de l’ouverture de la 17ème semaine nationale du Saint Coran à Constantine, a expliqué que cet organisme réunira plusieurs départements et instances en mesure d’analyser et de proposer une démarche à suivre pour préserver la société contre toute forme d’extrémisme.
Le ministre a ajouté que le référent religieux national, inspiré du Saint Coran et de la Sunna est « le rassembleur des Algériens », soulignant que le concept du référent religieux national sera renforcé par des directives.
Évoquant le message du président de la République Abdelaziz Bouteflika, aux participants à la 17ème semaine nationale du Saint Coran, le ministre a souligné que le message du président est « une feuille de route et une stratégie de travail » pour les imams, les chouyoukh des zaouias et la société pour œuvrer contre l’extrémisme et privilégier la voie de la modération.
algerie1.com

Alors que la montée en flèche des cas de contaminations à la Covid-19 continue, affolant au passage les citoyens, les prix des tests PCR et antigéniques ont également connu une hausse. Voici les détails, ce samedi 31 juillet 2021.
L’Algérie vit une troisième vague alarmante. L’apparition du nouveau variant Delta n’arrange pas les choses. Bien au contraire, la situation sanitaire est en train de se dégrader. Avoir recours aux tests de dépistage de la Covid-19 en Algérie devient nécessaire pour les citoyens. Pourtant certaines personnes profitent de cette crise sanitaire inquiétante pour en tirer bénéfice.
En effet, les prix des tests PCR et antigéniques ont augmenté. Alors qu’on devrait s’unir et se soutenir face à cette pandémie, certaines personnes trouvent le moment de tirer profit de cette situation à la charge des malades, en augmentant le tarif des tests PCR et antigéniques.
Effectivement, certains laboratoires d’analyses ont vu l’accroissement des cas de contamination comme une opportunité pour se faire de l’argent. Ils ont sans hésitation haussé le prix des tests du coronavirus.
Devant cette situation, les malades n’ont pas eu d’autres choix que de céder et effectuer les tests avec les nouveaux prix. En plus des personnes atteintes du coronavirus ou suspectant l’être, nombre d’individus doivent également réaliser ces tests pour s’assurer de ne pas porter le virus afin de se faire vacciner.
Plusieurs témoignages à propos de cette situation
Effectivement, une patiente s’est dirigée vers un laboratoire dès l’apparition des premiers symptômes de la Covid-19. Après avoir effectué le test antigénique, elle a appris la surprenante hausse de prix du test. Il est passé de 2.000 DA, voire moins, à entre 3. 000 et 3.500 DA en à peine quelques semaines, d’après le témoignage relaté auprès de Le Soir d’Algérie .
Une autre femme touchant la quanrantaine et ressentant les symptomes du coronavirus n’a pas hésité à se diriger vers un laboratoire d’analyse médicale pour se faire dépister au prix de 8.000 DA. Après un résultat négatif, elle a fait un second test, qui s’est révélé comme le premier. C’est seulement au bout du troisième test que le résultat est positif.
Trois tests, qui ont coûté cher, ont été effectués pour confirmer sa contamination. La jeune femme qui est plutôt à l’aise financièrement compatit avec les personnes ayant des problèmes financiers et qui trouvent des difficultés à payer ces tests en cette période de crise sanitaire.
dzairdaily.com

ALGER - Le quatrième Festival National de la Littérature et du Cinéma féminin de Saïda, prévu du 11 au 15 décembre, sera animé par une sélection littéraire dans les trois langues l'Arabe, le Tamazight et le Français, ainsi que par la projection de plusieurs films algériens aux thématiques en lien avec la promotion de la femme, indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Sous le slogan "L'autre regard", la quatrième édition de ce festival, qui revient "après le succès des précédentes éditions", accueillera dans le strict respect des mesures de prévention sanitaire contre la propagation du Coronavirus, des hommes et femmes de Lettres de renoms, à l'instar de Waciny Laredj, Maissa Bey, Sabiha Benmansour, Aldjia Bouhar, Chabha Bengana, Hadjer Kouidri, Zineb Sekkal et Chaimaa Bendjoudi.
D'un autre côté, plusieurs longs métrages aux contenus mettant en valeur la femme et son droit "irréversible" à disposer de sa vie, seront projetés, "Saliha" (2021) de Mohamed Sahraoui, "Juventus Timgad" (2016) de Fabrice Benbaouche, "143 rue du désert" (documentaire-2019) de Hassen Ferhani, "Elle nous regarde" (2020) de Lyna Zerrouki, "L’Etoile d’Alger" (2016) de Rachid Belhadj et "Papicha" (2019) de Mounia Meddour, entre autre, précisent encore les organisateurs.
Dans les différentes salles d’exposition, poursuit le communiqué, des ciné-concerts inédits et des ateliers d’effet spéciaux seront également en libre accès, dans une édition qui offrira l'opportunité au grand public de se rapprocher des artistes et comédiens d'autres courts métrage présélectionnés pour le concours du Grand prix, présentés par leurs réalisateurs.
A cet effet, un jury sera constitué de Tahar Boukella, Président, Yasmine Chouikh et Rania Serouti, membres, pour la nomination du Grand Prix et de la meilleure interprétation féminine.
Lors de l'ouverture de cet événement, organisé sous l'égide du ministère de la Culture et des Arts, en collaboration avec la wilaya de Saida, un hommage sera rendu à Yamina Chouikh et à "Mama Nedjwa", de son vrai nom Ghania Benstiti, célèbre animatrice de télévision de l'émission des années 1980, Nadi El Atfal (Club des enfants), conclut le communiqué.aps

Comment éliminer les traces de pesticides qui se logent à la surface des fruits et légumes ?
Les pesticides sont un réel danger pour notre alimention, les légumes et fruits BIO n’étant pas produits en Algérie, se pose alors un vrai problème de santé publique.
Car contrairement aux idées reçues, nos agriculteurs utilisent bien des pesticides pour protéger leurs terres , leurs fruits et légumes, nous entendons souvent dans les marchés, des vendeurs de légumes clamer haut et fort, « c’est du bio Madame » malheureusement, pas si sûr, car certains marchand ne savent pas faire la différence entre un produit bio et produit non bio.
Rappelons qu’un aliment peut-être naturel sans forcément être bio, prenons l’exemple de l’huile d’argan, certes c’est un produit naturel mais pas nécessairement bio, il aura la certification BIO si l’agriculteur qui possède l’arganier n’a pas versé des pesticides, ou herbicides chimiques, afin d’éloigner les pucerons, les mauvaises herbes et les insectes pour protéger son champs et ses arbres.
Là ou le marchand de légumes peut avoir raison c’est qu’effectivement lorsque les légumes qu’il produit, achète ou vend n’ont pas été exposés à des fertilisants artificiels ou hormones de croissance, car le prix n’aurait jamais été le même, la forme et la couleur des fruits et légumes également.
Observez bien les fruits et légumes importés, ils ont tous le même calibre, la même forme, mais malheureusement sans aucun goût.
Rappelons-le, nos fruits et légumes sont délicieux, gorgés d’eau et de soleil, pas étonnant que des émigrés venant d’Europe emportent avec eux dans leurs valises, des tomates, des oignons, et des poivrons ;-).
En attendant la commercialisation des fruits et légumes BIO, voici comment éliminer les pesticides de légumes et fruits :
L’eau salée :
Le lavage à l’eau salée, éliminerait la plus plupart des résidus de pesticides, mais pour vous faciliter le travail, brosser bien les aliments à l’aide d’une petite brosse souple avant, puis tremper 3 min les fruits ou légumes dans de l’eau salée.
Bicarbonate de soude :
Le bicarbonate de soude est un précieux allié pour venir à bout des pesticides, surtout pour les fruits et légumes de grande tailles tels que : les pommes, les aubergines, les poires, et les poivrons.
Voici la recette : mélangez une cuillère à soupe de bicarbonate avec une cuillère à café d’eau, imprégnez votre brosse avec ce mélange, puis brosser soigneusement vos légumes ou vos fruits.
Pour les petits fruits tels que : les fraises, les raisins, ou les cerises…mélangez dans une casserole, un litre d’eau et une cuillère à café de bicarbonate, et laissez les fruits tremper durant 10 min. Toujours bien rincer les légumes et fruits, puis les sécher.
Le vinaigre :
C’est l’une des astuces les plus connues, et l’une des plus faciles, mettez une mesure de vinaigre, pour deux mesure d’eau dans une casserole. Faites tremper les fruits ou légumes de votre choix dans ce mélange durant 15 min, frottez bien avec une petite brosse pour enlever le reste des impuretés, puis rincez à l’eau froide pendant 15 secondes.
ED
source photo : vitaality.fr
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