ExpoVente de Peinture au Fayet CLUB 18 Septembre 2015 Art § Culture § Artisanat
Exposition Vente de Peinture au Fayet CLUB
Le Vendredi 2 et Samedi 3 Octobre 2015, De 10H00 à 18H00
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- 1 kg de jeunes courgettes
- 2 oeufs
- 1 oignon
- 2 gousses d’ail
- 1 botte de basilic
- 1 cuillerée à soupe d’huile d’olive
- Préchauffez le four à 180 °C (th. 6).
- Lavez les courgettes et coupez-les en fines rondelles.
- Hachez les gousses d’ail pelées et dégermées avec l’oignon et le basilic.
- Dans une sauteuse, faites suer les courgettes à l’huile d’olive avec le hachis d’ail et de basilic 15 minutes à feu doux jusqu’à ce qu’elles rendent toute leur eau, sans les laisser colorer.
- Préparez le coulis : lavez les tomates puis mixez-les fortement avec les gousses d’ail pelées et dégermées.
- Versez cette purée dans une casserole.
- Ajoutez le bouquet garni et poivrez.
- Faites cuire à petits bouillons sans couvrir pendant 30 minutes afin que le coulis s’épaississe.
- Laissez refroidir.
- Débarrassez les courgettes dans un plat en les égouttant éventuellement afin qu’elles soient le plus sèches possible.
- Laissez refroidir.
- Battez les oeufs en omelette, poivrez et mélangez-les aux courgettes.
- Versez la préparation aux courgettes dans des petits moules individuels en silicone (ou dans un moule à cake).
- Placez-les dans un bain-marie, enfournez et laissez cuire 20 minutes (30 minutes pour un grand moule) en couvrant d’une feuille d’aluminium si le dessus colore trop.
- Démoulez les fondants. Versez dans chaque assiette un peu de coulis froid et disposez par-dessus 1 fondant chaud.
- Astuce : Vous pouvez servir les fondants de courgettes à la même température que le coulis, mais le contraste chaud-froid est meilleur.
- Recette extraite de Gérer son poids et son cholestérol/ Nathalie Hutter-Lardeau/ Mango/ recettes de Sophie Menut, photographies d’Amélie Roche et stylisme d’Alexia Janny
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SERUM VISAGE : A QUOI ÇA SERT ?
Qu’il soit illuminateur, anti âge, anti soif ou anti tâche, le sérum répond à des besoins spécifiques de la peau, c’est un concentré d’actifs qui agit en profondeur grâce à sa texture très légère qui pénètre très facilement les cellules les plus profondes de l’épiderme.
Ce produit encore inconnu il y a quelques années inonde les magasins de cosmétiques,
Les spécialistes de la beauté, et les magazines spécialisés ne parlent que de lui, mais entre ceux qui le présentent comme un produit indispensable à notre routine beauté, et ceux qui préfèrent s’en passer et rester fidèles à leurs anciennes habitudes, on ne sait plus quoi en penser d’autant plus que plusieurs questions restent en suspens, qu'est-ce qu'un sérum ? Est-ce différent d'une crème ? Dans quels cas l’utiliser ? À partir de quel âge peut-on l’utiliser ? Comment choisir son sérum ?
Voici une multitude de questions auxquelles nous allons tenter de répondre, afin de mieux percer le mystère du Sérum.
Qu’est ce qu’un sérum ?
Un sérum est un soin ciblé qui booste votre peau, ses concentrés actifs sont beaucoup plus concentrés qu’une crème, il s’utilise principalement en cure de 1 mois, une à deux fois par an.
Il s’applique après le nettoyage de la peau et avant la crème de jour ou de nuit.
Est- il différent d'une crème ?
Oui, le Sérum est différent d’une crème hydratante, il n’est en aucun cas un substitut à votre crème du jour, il s’utilise de manière ponctuelle, il vient justement compléter ce qu’une simple crème du jour, ou même une crème anti ride ne peut offrir à la peau en profondeur.
Le sérum est dépourvu de fonction protectrice car il est riche en actifs mais pauvre en matières grasses, raison pour laquelle il faut appliquer une crème par-dessus qui, plus elle est épaisse, mieux elle assurera un effet barrière en surface, et préviendra l’évaporation de l’eau de vos cellules.
Dans quel cas l’utiliser ?
Dans le cas d’un besoin bien spécifique pour votre peau, comme une déshydratation cutanée. Il est spécialement conçu pour les peaux sensibles et sèches, pour les taches brunes sur le visage à réduire, un visage terne et fatigué à illuminer, ou des rides du visage à remodeler en profondeur.
À partir de quel âge peut-on l’utiliser ?
A 20 ans, le sérum est idéal pour combattre la déshydratation cutanée, liée aux agressions extérieures (vent, froid, exposition prolongée au soleil, changement de saison …)
A 30 ans, idéal pour prévenir les premières rides d’expression.
A 40 ans, idéal pour booster la peau qui commence à perdre son élasticité, et qui risque de voir apparaître des petites taches brunes.
A 50 ans, idéal pour corriger les rides profondes et lisser le grain de peau.
Comment choisir son sérum ?
Evidement en fonction du type de problème de peau à soigner, mais surtout le choisir en évitant quelques ingrédients de sa composition tel que le silicone.
Car si votre sérum contient du silicone, sachez qu’il n’hydratera en aucun cas votre peau en profondeur, (adoucira seulement) pire encore il risque de boucher les pores de votre peau, et empêchera certains actifs d’y pénétrer.
N’hésitez pas à lire attentivement la composition du produit, et vérifiez sous ses appellations qui se terminent toujours par l’une ou l’autre de ses terminaisons : methicone, siloxane, silicone.
ED
Souheir Louahala, professeur de yoga formée à l'établissement The Yoga Barn de Bali organise le 30 novembre 2019 une rencontre qui regroupera yoga, randonnée, et brunch à la forêt de Bainem.
Il s'agit d'un combo constitué d'un:
- Circuit de randonnée pédestre de 45 min
- Séance de Flow Yoga 45 min
- Brunch à partir de 11h45*
Détails:
Jour et heure: Samedi à partir de 10h00
Lieu: forêt de Bainem, esplanade des palmiers (repère: DGSN).
Besoins: paire de baskets confortable // tapis de Yoga
Brunch: dans un esprit de convivialité, le brunch sera composé par la contribution de tous les participants. Par messagerie, nous échangerons sur les différents mets à prévoir.
Prix des activités de randonnée et de Yoga: 1000 Da
recette anti-cholestérol : Fondants de courgettes
source : topsanté.com
Ingrédients
Préparation
Des paroles – ou des instructions – en l’air. Le feuilleton de la concession des plages, restée problématique, et cacophoinique durant plusieurs semaines n’aura-t-il finalement servi à rien ? En dépit des « multiples » instructions de la wilaya d’Alger, mais surtout des Ministères de l’Intérieur et du Tourisme attestant de la gratuité des plages, les « squatteurs » réinstallent leurs parasols et dictent leurs lois, au grand dam des estivants qui déplorent l’absence des autorités et leur « manque de sérieux ».
Dans les plages algériennes, algéroises ou autres, les « gros bras » font payer le parking, les frais des parasols et des mobiliers. Tel est le constat fait par le quotidien El Khabar, deux jours après la fête de l’Aïd El Fitr et le mois de ramadan.
Dans la wilaya de Boumerdès, plusieurs jeunes squattent les espaces adjacents aux plages de la ville, « aménageant » de manière illégale une aire de parking. Selon ce quotidien arabophone, certains jeunes ont même été « verbalement » chargés par les mairies de la gestion de ces lieux. Ces squatteurs ne manquent pas d’imposer par la force les frais de stationnement aux estivants.
La même pratique est répandue dans les autres plages de Boumerdès, boudant les instructions de l’Intérieur. Certaines plages, qui devraient être gratuites se retrouvent concédées par les mairies à des concessionnaires privés, qui, en plus, ne respectent pas le cahier des charges imposé par le ministère du Tourisme, a rajouté la même source.
La wilaya de la capitale n’échappe pas non plus aux squatteurs. Les estivants aux plages algéroises, certainement les plus « concernées » par les instructions, d’abord du wali Abdelkader Zoukh, ensuite du ministère des Collectivités Locales, ont eux aussi constaté la présence de plagistes, qui demandent « leurs dus ».
Des familles et des visiteurs, rapporte le quotidien El Watan, ont payé, « par ignorance ou de peur d’éventuels actes de sabotage » jusqu’à 1.000 Da de frais. Certains estivants, informés des instructions de la wilaya, ont refusé de payer le moindre dinar, face au mécontentement des squatteurs, repartis « bredouille ».
Les plages de la wilaya de Tipaza ne font pas exception. Des plagistes tentent aussi de forcer les visiteurs à s’acquitter de 100 Da pour le stationnement. Sur le sable, les squatteurs implantent leurs parasols et mobiliers, occupant toutes les bandes des plages, exigeant des prix allant de 200 à 600 Da.
Des exceptions qui font ravir les estivants
Contrairement aux autres wilayas, Oran et certaines de ses plages étaient épargnées des transgressions des instructions ministérielles. Les estivants pouvaient, selon le quotidien El Khabar, planter leurs parasols à leur gré sans être perturbés par les squatteurs.
Les plages des wilayas de Mostaganem et Aïn Temouchent faisaient aussi exception. L’accès à plusieurs plages de ces villes étaient gratuit, note la même source.
A Aïn Temouchent, des agents de sécurité ont été chargés de veiller à l’application des nouvelles lois. A Mostaganem, l’accès aux plages était symboliquement fixé à 20 Da.
source : huffpostmaghreb.com
Un samedi haut en couleur :
Réveillez l’artiste qui sommeille en vous le samedi 27 septembre au port de la madrague.
Venez peindre, et vous amusez en pleine aire.
N’oubliez pas de ramenez avec vous de la peinture, maquillage, Henné, feuilles à dessin, des morceaux de bois, pinceaux, gobelets, feutres, crayons, pastels, papier kraft,...etc.
Lieu : El Djamila plage artificielle de la Madrague.
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.