
Octobre Rose, un mois dédié à la sensibilisation contre cancer du sein, nous vous accompagnerons a decouvrir un circuit intéressant : Montagnes des lions
Le thème de Cette randonnée portera sur les 3 B : Bien Manger, Bien Bouger, Bonne Santé !!
Venez tous en rose
pull ou teeshirt, bracelet ou écharpe
Vendredi 27 octobre 2017
lieu : Oran
Au programme :
1 départ 9:00 Lieu de rendez Lycee Lotfi
2 Arriver a la foret des ballon seront distribuer sur place au participants et participantes on va les lancer tous ensemble pour une vie en plein sante
3 découvrir la montagne des lions avec une vue magnifique et panoramique
4 pause déjeuner
5 Reprendre notre circuit
6 retour 17 h00
Que faut-il ramener avec soi ?
Ceci est une randonnée; Une randonnée est une activité sportive
Il est fortement recommandé de se munir des équipements suivant :
* Chaussures de marche ou espadrilles
* Eau pour éviter la déshydratation
* Nourriture légère pour la pause déjeuner
La participation est ouverte a tout adulte hommes / femmes
un circuit de 13 km
degrée diffuculte 6/ 10 sentiers et
Prix de la randonnée
________________500 DA /personne _________________
Transport par bus Coaster
en cas d'absence votre ticket n'est pas remboursable
le paiement se fera avant la sortie
En cas dannulation faut nous avertir 48heures avant l'évènement pour etre remboursé
✆ INFOLINE & RÉSERVATION :
☎ Samira 0557960622 Inscription est paiement
veuillez envoyer vos coordonnees nom et prenom
soit sur la page ou au 0557960622
Le marché parallèle du médicament est 25 fois, voire 45 fois, plus rentable que le trafic de drogue et est à l’origine du décès de 800.000 personnes par an dont la majorité est issue des pays sous-développés. Les faux médicaments sont 25.000 fois plus consommés que les vrais.
Tel est le constat établi, hier, par le vice-président de l’ordre des pharmaciens, Mohamed Sanadiki, à l’occasion du forum Santé Pharma, sous le thème « Pharmacie, psychotropes et les dangers du marché parallèle ». Selon Sanadiki, la fabrication de faux médicaments ne répond pas aux normes édictées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et leur propagation prend des proportions alarmantes en Algérie avec quelque 27.000 produits importés illégalement. « Des pharmacies voyous, des charlatans guérisseurs et des délinquants proposent des médicaments d’importation mafieuse sans vignettes et sans factures », a-t-il révélé. A cet effet, Sanadiki a précisé que les moyens de lutte reposent essentiellement sur une prise de conscience globale et le suivi de la nomenclature qui comprend 5.000 produits pharmaceutiques. Selon lui, le phénomène est encore à ses débuts en Algérie comparativement à d’autres pays et ce, grâce à la présence de la caisse de sécurité sociale qui prend en charge pratiquement tous les citoyens. Mais il n’y a que la digue de l’assurance sociale pour empêcher l’explosion de l’informel et surtout du trafic de psychotropes. Fahima Lekhal, pharmacienne à l’hôpital de Ben Aknoun, a expliqué que l’approvisionnement des établissements de santé en médicaments doit se faire sur un carnet à souche à 3 volets délivré par la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH). Elle a rappelé qu’en Algérie, 18 produits stupéfiants (morphiniques) existent dans les CHU. En outre, l’arrêté du 29 juin 2013 a apporté un plus quant aux données des traitements de la douleur dans la prise en charge des maladies lourdes. « Deux officines dans la wilaya d’Alger commercialisent ces produits », a-t-elle indiqué.
Psychotropes, produits à surveillerx
Pour Wahiba Gacem, pharmacienne responsable à l’hôpital psychiatrique Drid Hocine, les psychotropes réduisent la souffrance et leur utilisation s’est généralisée. Elle a rappelé, dans ce sens, qu’il y a en Algérie deux décrets portant classification des plantes et substances classées comme stupéfiants psychotropes ou précurseurs. Evoquant le circuit des psychotropes, elle a fait savoir que le pharmacien doit assurer et déclarer les prestations depuis l’arrivée du médicament jusqu’à sa distribution et sa consommation par le malade selon la circulaire du ministère de la Santé du 22 novembre 2005. Elle a précisé que les producteurs doivent aussi disposer d’un registre spécial des entrées et sorties des médicaments. Dans ce contexte, elle a recommandé d’établir un fichier national des malades mentaux, de classifier les substances psychotropes, de favoriser le bon usage par ordonnance, d’encadrer les conditions d’utilisation, de prescription et de délivrance et de réduire le conditionnement de certains psychotropes.
S’agissant de l’usage et de la dépendance du médicament psychotrope, Noria Benyakhlef, professeure au service de psychiatrie de l’hôpital Drid Hocine, a rappelé que le psychotrope n’est pas une drogue mais un médicament qui soigne une maladie bien déterminée. Toutefois, elle a signalé que le médicament est parfois consommé en dehors de tout contexte médical et peut faire l’objet de détournement, voire de trafic, au même titre que les drogues illicites. Raison pour laquelle, elle a recommandé de favoriser la sensibilisation et l’information de la population sur les risques liés à l’usage inapproprié de médicaments, mener des actions dans les établissements scolaires, renforcer l’information dans les cabinets médicaux et les officines pharmaceutiques, informer les patients sur les risques de pharmacodépendance et améliorer les conditions de prise en charge médicale des patients dépendants et maintenir l’accès sur prescription médicale.
Pour une Nouvelle stratégie de santé publique
Représentant l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie, Ghania Heddache a souligné que son institution tend à l’élaboration d’une politique publique contre le détournement des psychotropes. L’objectif est de mettre en place une nouvelle stratégie de santé publique. « La répression n’a pas réussi à prévenir l’usage de la drogue et la consommation continue à se propager dans les différentes tranches d’âge », a-t-elle signalé. Selon elle, 13.000 personnes sont suivies au niveau des centres intermédiaires, dont 67% sont âgés entre 19 et 35 ans. « Actuellement, l’Office se penche sur la consommation psychotrope à l’origine d’accidents de la circulation », a-t-elle annoncé. Compte tenu des dangers et dérives, les professionnels du secteur pharmaceutique en collaboration avec les ministères de la Justice, de l’Intérieur et de la Santé se sont entendus pour travailler de concert afin de lutter contre les phénomènes extrêmes que sont les trafics organisés. Raison pour laquelle, cette rencontre a porté sur les conditions nécessaires à la mise en place d’un cadre de concertation et pour engager des réflexions pour l’amélioration de la traçabilité des psychotropes et la mise en place de procédures de contrôle et d’inspection harmonisées.
DGSN : La prévention et la répression pour lutter contre le trafic de stupéfiants
La stratégie de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) s’appuie sur deux principaux volets. Il s’agit de la prévention et de la répression. C’est ce qu’a indiqué Tahar Tilouin, représentant de la DGSN à l’occasion du forum Santé Pharma. Selon lui, la police de proximité tend à se rapprocher davantage des jeunes et établir un contact direct avec les citoyens. Dans ce contexte, a-t-il rappelé, des cellules d’écoute ont été mises en place en 2004 pour prendre en charge les toxicomanes pour les aider à décrocher. Evoquant le trafic local, il a signalé que la tendance a évolué en 2015 se traduisant par la saisie de 395.229 comprimés psychotropes. L’Ouest du pays est la région de prédilection de ce trafic. « Ce phénomène s’explique par le coût accessible de ces produits et le recours aux ordonnances de complaisance en plus de la complicité de certains représentants hospitaliers », a-t-il souligné. A cet effet, il a souligné que sur le plan répressif, la DGSN a mis en place 48 brigades spécialisées dans la lutte contre ce fléau.
source : horizon-dz.com

Les violences à l’égard des femmes en Algérie se sont exacerbées durant la période de confinement en prenant plusieurs formes, selon une étude onusienne.
« La période de confinement sanitaire n’a pas été sans conséquences sur les femmes », souligne une enquête en ligne réalisée pour le Fonds des Nations unies pour la population (Funap) par l’avocate et consultante Nadia Aït Zaï, expliquant que « les violences à leur égard se sont exacerbées, en prenant plusieurs formes : agressions physiques, sexuelles, psychologiques, socioéconomiques… ».
Intitulée « Prise en charge des femmes et des filles victimes de violence basées sur le genre durant l’épidémie de Covid-19 », l’étude parle d’une « pandémie fantôme », rappelant que « la violence à l’égard des femmes constitue l’une des violations des droits humains les plus répandues ».
« A l’ère de la pandémie, cette violence a connu une recrudescence manifeste due à -une pandémie fantôme-, alarmante qui serait imputable en partie à l’isolement social, aux conséquences économiques de la crise sanitaire et à la réduction du revenu des femmes et de la famille », note l’auteur de cette enquête.
Selon la même source, les mesures d’urgence exceptionnelles et le confinement mis en place pour contrer la pandémie de Covid-19 « n’ont fait qu’exacerber un contexte de violence conjugale existant, en raison de l’amplification de certains facteurs ».
Analysant les chiffres de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), l’enquête souligne la gravité du phénomène de la violence à l’égard des femmes durant les dix premiers mois de l’année 2020, avec 5.835 cas enregistrés (plus de 9000 cas, selon les chiffres des associations).
Les données de la DGSN, ajoute la même source, montrent une prédominance des violences physiques (71,17%), relevant que l’autre fait inquiétant est la recrudescence des homicides pendant le confinement.
Durant les dix premiers mois de l’année 2020, au moins 32 femmes victimes de violences sont décédées, regrette-t-elle.
« Il y a eu 6 homicides volontaires de janvier à février 2020, 19 de mars à octobre, soit 25 femmes tuées durant cette période de confinement », a-t-elle précisé.
Les coups et blessures ayant entraîné la mort sont de l’ordre de 7 cas, ce qui porte le nombre total de femmes victimes à 32, a-t-elle détaillé, relevant qu’en ce qui concerne les auteurs de ces violences, l’étude fait état d’un classement « assez atypique ».
« Les personnes étrangères sont presque aussi nombreuses que les membres de la famille à agresser les femmes », fait observer l’enquête, notant que dans la famille, les époux prédominent dans la liste des agresseurs établie à partir des chiffres de la police, mais ce qui est le plus frappant, c’est qu’ils sont suivis de la catégorie « autres membres de la famille », ce qui « nous fait penser aux oncles, beaux-frères, etc ».
Devant cette situation, l’avocate affirme que « l’Etat est dans l’obligation de créer des mécanismes de protection, tels que l’ordonnance d’éloignement, des centres d’accueil et un mécanisme de signalement des violences ».
Les chiffres de la DGSN ne cernent toutefois pas l’ampleur du phénomène, estime la même source, qui indique que les données récoltées par des associations, reprises par la même étude, relèvent la gravité de la situation.
Elles font état de près de 10.000 cas de violences contre les femmes, avec près de 1.000 cas d’atteintes à caractère sexuel (827 cas, contre seulement 138 enregistrés par la police), 2.548 violences socioéconomiques et 3.263 brutalités psychologiques (1.416 cas enregistrés par la police).
Concernant les facteurs à l’origine des violences à l’égard des femmes, l’enquête mentionne notamment la perte de revenus, le désaccord persistant, l’exiguïté du logement et la difficulté de chercher de l’assistance.
« Le confinement a exacerbé les violences à l’égard des femmes à cause de la cohabitation continue avec leurs agresseurs dans des appartements souvent exigus », note encore l’enquête.
Cette étude relève aussi, à côté des violences classiques répertoriées et enregistrées, l’apparition des violences socio-économiques (perte de revenus, licenciement, baisse des salaires).
radio-m.net

Le lancement de la quatrième édition du prix de l’Escale Littéraire d’Alger 2016 s’est déroulé dans un des hôtels les plus chics d'Alger "Sofitel Algiers Hamma Garden", cette année le jury récompensera deux œuvres :
-Le Prix de l’Escale Littéraire d’Alger pour le roman qui aura conquis le jury de par son style
- Un coup de cœur du jury pour un roman qui aura plu et qui méritera une mise en avant.
Le Prix de l’Escale Littéraire d’Alger, co organisé par Denis Labayle et AkliTadjer, écrivains émérites et président du jury a pour but de mieux faire connaitre la scène littéraire algérienne .
L’édition 2015 avait récompensé Mme Leila Hamoutène pour le « châle de Zineb ».
Cette année une sélection de 10 titres a remporté les grâces du jury :
.Aussi loin iras tu de Junon Lys , EditionsApic
. Moi scribe de Rachid Moktari, Editions Chihab
. La traversée du Funambule d’AreskiMetref , EditionsKoukouEditions Casbah
. pluies d’or de Mohamed Sari , Editions Chihab
. Chuchotement de Leila Aslaoui , EditionsDalimen
. La Maison en haut de la côte de Zohra Farah, Editions Média Plus
. La fin qui nous attend de Ryad Girod , Editions Barzakh
. Maintenant ils peuvent venir d’ Areski Mellal , Editions Barzakh
. Les seigneurs des cinquante de Hocine Mezali , Editions ENAG
. Quatrième épouse de KaddourM’hamsadji ,
Soutenue par la commission européenne , la 4 ème édition du Prix de l’ Escale Littéraire a reçu l’appui de la banque BNP Paribas, des Moulins Benamor et des assurances Gras Savoye ainsi que de la compagnie nationale Air Algérie .
Les autres membres du Jury sont : Mme Nadia Sebkhi directrice de la publication L’ivrEscQ , Mr OutoudertAbrous, directeur de la publication Liberté Algérie, Mr Youcef Sayah journaliste , Mme Natacha Boussaa auteur du livre « il vous faudra nous tuer » Editions Denoël, Mr Hervé Hamon auteur des « Porteurs de valises et Mme Mélanie Matarese, rédactrice en chef d’El Watan Week-end .
Le web magazine Zeinelle remercie Naima Abbes pour son accueil chaleureux et son professionnalisme et souhaite bonne chance aux lauréats .
NB
source photo : dz-gen.com
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.