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SOCIÉTÉ GÉNÉRALE ALGÉRIE RÉCOMPENSE LES LAURÉATS DE SON CONCOURS « JEUNE ARTISTE PEINTRE 2016»
Société Générale Algérie a organisé un vernissage ce MERCREDI 19 OCTOBRE 2016 au niveau de sa salle de conférence de Sidi Yahia à Alger, pour récompenser les lauréats de la quatrième édition de
son Concours « JEUNE ARTISTE PEINTRE ». Onze toiles, parmi la centaine proposée par les
participants au concours, ont été retenues par le jury, pour être exposées au public. Société Générale Algérie, représentée par ses cadres locaux ainsi que les membres de son Conseil de Surveillance, en
réunion à Alger, a convié à cette sympathique cérémonie, l’ensemble des participants à la compétition « jeune artiste peintre 2016 » ainsi que les clients de la banque amateurs d’art.
Après délibérations, le jury composé de personnalités et d’experts du monde des arts a annoncé les noms des lauréats du concours :
* -PREMIER PRIX, RÉSIDENCE D’ARTISTE, décerné à Noureddine Benhamed pour sa toile "Je suis sisyphe".C'est un jeune diplômé de l'école régionale des beaux arts d'Oran,il a participé à plusieurs expositions individuelles
* -DEUXIÈME PRIX, 150 000 DA, attribué à Zakaria Moustari pour son oeuvre intitulée "anniversaire".Zakaria est né à Bordj Bou Arréridj. Il est professeur de dessin à l'école des beaux arts de Sétif
* -TROISIÈME PRIX, 100 000 DA décerné à Torkia Ait Saadi pour son tableau intitulé "papillon" .Torkia est native de la ville de Bouira ,elle est titulaire d'un diplôme de magistère en art et sciences de l'art en 2013 à l'école supérieure des beaux arts d'Alger
Pour l’occasion, Société Générale Algérie a réalisé un livret qui rassemble les œuvres de la cuvée 2016 du Concours « Jeune Artiste Peintre » et qui résume leur parcours artistique. Ces œuvres seront insérées dans l’agenda de la Banque pour 2017.
A travers ce concours, ouvert à tous les jeunes artistes peintres professionnels et amateurs, Société Générale Algérie confirme une fois de plus son engagement en faveur des artistes, de l’art et de
la peinture en particulier, et contribue à l’émergence de talents prometteurs algériens dans l’art plastique contemporain.
Société Générale Algérie, réitère son attachement à ses valeurs d’entreprise : l’Innovation, la Responsabilité, l’Engagement et l’Esprit d’Equipe.
AGA Consulting et EFAM organisent un séminaire sur « l’hypnose en communication, un outil pour réussir votre vie professionnelle et familiale »
Alger, mercredi 31 octobre 2018 de 9:00 - 11:00 lieu: Hôtel El Aurassi salle de conférence «YWY», l’entrée gratuite sur réservation ( Place limitée )
Vous qui devez communiquer, éduquer convaincre, guider, guérir, vendre, séduire, ou influencer en toute éthique.
L’objectif de cette journée animée par Monsieur Pierre Marichal, formateur et conférencier, hypnothérapeute/coach à Paris et Bruxelles, découvrir les techniques et les applications de l’hypnose éveillée conversationnelle.
Une forme de communication hypnotique totalement intégrée dans la conversation normale qui permet de relier directement votre esprit à celui de votre interlocuteur.
La méthode Pierre Marichal s’inscrit toutefois sous le signe de la simplicité et se veut accessible à tous. Elle concerne la maîtrise de la conversation et notre communication avec autrui, mais elle est aussi un art de vivre et une façon de trouver le bien-être.
Vous apprendrez également comment la clé de la réussite est liée à votre façon de penser. En modifiant le regard que vous portez sur votre personne, vos rapports aux autres, vos objectifs et votre univers, vous transformerez votre vie, découvrez votre plein potentiel et réaliser vos objectifs.
A la suite de cette conférence PIERRE MARICHAL propose une formation certifiante, intensive et accélérée à l’hypnose éveillée conversationnelle qui se déroule en 6 journées de séminaire les 1, 2 et 3 novembre 2018 pour un 1er niveau et les 18, 19 et 20 janvier 2019 le 2ème niveau. Ces 6 journées d’enseignement intensif sont six étapes qui vont se combiner de façon à former un global facile à comprendre et à utiliser.
A la fin de ce programme de formation enrichi d'une nouvelle approche, les participants auront intégré les bases de l'hypnose éveillée conversationnelle et maîtriser parfaitement cette technique.
Et parce que nous pensons que l’échange et le partage d’expérience constitue des meilleurs moyens de continuer à évoluer.
Pour confirmer votre participation et avoir plus d’informations, contactez-nous sur efam.savoir@gmail.com ou par téléphone sur 0657746871.
Communiqué de presse
La galerie Ezzou’art à le plaisir de vous inviter au vernissage de l'exposition « kan ya Makane » de l’artiste peintre Nouredine Hamouche
Le samedi 16 mars 2019 à partir de 15h
Exposition du 16 mars au 4 avril 2019
L'Office Riadh El Feth organise, dans le cadre de son programme d'activités artistiques et culturelles, un concert avec le groupe El Dey ce Samedi 26 Août à 19h à la salle Ibn Zeydoun!
Les interprètes du tube "Maria" vous feront vibrer et danser le temps d'un concert unique dans une salle mythique!
Entrée: 500 DA
Tickets disponibles au guichet de la salle Ibn Zeydoun tous les jours de 12h à 20h.
Les personnes qui consomment plusieurs boîtes de paracétamol par mois pourraient présenter un risque accru de développer des maladies cardiovasculaires, selon une revue de la littérature médicale publiée ce 2 mars dans la revue Annals of the Rheumatic Diseases. La prise de ce médicament semble pourrait aussi accroître le risque de troubles gastro-intestinaux et des hémorragies digestives sur le long terme. Les données disponibles, bien que limitées, incitent à une vigilance particulière pour les patients concernés.
Au-delà de 4 grammes par jour, le paracétamol peut être toxique pour le foie. Mais même en-deçà de ces doses, cet antalgique pourrait présenter d'autres effets secondaires préoccupants, chez les personnes qui en consomment sur une base régulière.
Des chercheurs britanniques ont parcouru la littérature scientifique à la recherche d'informations sur les éventuels effets secondaires de cette molécule. Seules huit études présentaient des données suffisamment riches pour se prêter à l'analyse.
•L'une de ces études, réalisée en 2006 auprès de plusieurs milliers de femmes adultes, révèle que celles prenant plus de 22 comprimés (d'au moins 500 mg) par mois présentaient un risque significativement augmenté de développer une maladie cardiovasculaire dans les douze ans (risque accru estimé entre +14% et +59%), comparées aux femmes ne consommant pas de paracétamol. Ces données sont théoriquement indépendantes de leur état de santé initial.
•Deux études réalisées en 2002 sur une population similaire montrent que les consommatrices de paracétamol ont également significativement un risque accru d'hypertension, vraisemblablement lié à la dose prise. L'effet apparaît dès un comprimé par mois, mais son intensité est diversement estimée.
•Trois études aboutissent à des conclusions analogues concernant une diminution des capacités de filtration rénale.
•Une étude met en avant un risque accru de troubles gastro-intestinaux et d'hémorragies digestives chez les patients utilisateurs de paracétamol.
•Enfin, une étude suggérant un taux de mortalité plus élevé des patients s'étant vu prescrit du paracétamol est également citée. Le contexte de la prescription médicale apparaît toutefois susceptible d'influencer fortement le résultat présenté, et empêche en outre toute extrapolation aux utilisateurs de paracétamol en automédication.
Les auteurs notent toutefois que les gros consommateurs de paracétamol ont souvent, à l'origine, des problèmes médicaux qui imposent la prise d'autres médicaments. Les données recueillies pourraient donc être moins corrélées au paracétamol lui-même qu'à ces autres substances.
Des commentateurs ont d'ores et déjà souligné que les résultats présentés "ne sont pas spécifiques au paracétamol", et semblent partagés avec d'autres analgésiques tels que l'ibuprofène. Les incertitudes liées l'effet propre de ces médicaments dans l'apparition des troubles mentionnés incitent à rester prudent.
Les auteurs de l'étude jugent néanmoins que le risque lié à la prescription de paracétamol est actuellement sous-évalué par les cliniciens. Ils plaident donc "pour que les risques d'effets indésirables [qui lui sont associés] soient mieux pris en compte" dans le calcul du rapport bénéfice/risque, lors des prescriptions.
Plus généralement, "compte tenu de la forte utilisation [du paracétamol] et du fait qu'il peut être obtenu sans prescription", il serait pour eux justifié d'examiner individuellement, "et de façon systématique", son efficacité et sa bonne tolérance.
source : allodocteur.fr
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