
Délicieuse salade grecque
Ingrédients (pour 4 personnes) :
- 2 grosses tomates
- 1/2 concombre découpé en dés
- 1 poivron vert et 1 rouge, épépinés et coupés en fines tranches
- 1 gros oignon coupé en fines tranches
- 150 g de feta en cube ou kiri
- zeste et jus d'1/2 citron
- 1 cuillère à café d'origan séché
- 50 g d'olives noires (facultatif)
- sel, poivre
Préparation de la recette :
Découper les tomates en petits dés et les mettre dans un saladier.
Ajouter le concombre, le poivron vert et les olives.
Mélanger avec la moitié de l'oignon et la feta coupée en dés.
Disposer sur le dessus de la salade les restes d'oignon et de feta.
Ajouter le zeste et le jus de citron, assaisonner avec l'huile et l'origan, sel poivre.
Mélanger délicatement et servir
source : marmiton.org

A la veille de la célébration de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, instituée chaque 25 novembre, le réseau de défense des droits des femmes Wassila/Avife a marqué l’occasion en plaidant une autre manière de reconnaître le martyre que subit la femme algérienne.
En effet, le temps d’une conférence, l’Institut national de la santé publique (INSP) s’est transformé en véritable tribune pour la présidente
du réseau, Mme Mammeri Wahiba Oussedik, pour défendre la mise en place d’un module de «victimologie» dans l’enseignement supérieur.
En plus d’être la thématique de la rencontre, la victimologie sert les victimes dans la mesure où comprendre ce qu’elles ont subi peut mener à identifier les meilleures voies de les protéger. « La victimologie n’a pas son module dans l’enseignement et sa spécificité, étant la science de la victime, n’est pas bien prise en charge », a déploré Mme Oussedik. Cette spécialité pourrait grandement contribuer à une meilleure prise en charge des femmes violentées et à mieux lutter contre le fléau de violence envers la femme. « Si de grandes avancées ont été enregistrées en matière d’égalité entre l’homme et la femme, un volet consacré, notamment, par la Constitution, sur le terrain, on ne trouve pas la même connotation à cause, notamment, des comportements et des mentalités qui caractérisent la société algérienne », a-t-elle fait observer.
Soutenant qu’« il y a encore beaucoup de travail à faire pour changer les choses ». Elle a mis, à cet égard, l’accent sur le rôle de « la communication pour aller de l’avant, à travers un débat constructif des principaux acteurs concernés comme la justice, la santé, l’enseignement et la solidarité, et aussi en matière d’éducation et d’information». Justement, à propos d’éducation et d’information, Mme Oussedik laisse entendre qu’il faudrait que cet effort commence dans la cellule familiale, premier foyer des violences faites aux femmes. Elle parle des violences conjugales et intrafamiliales qui sont les plus fréquentes avec 80% environ des cas. D’ailleurs, les chiffres de la police nationale, rendus publics il y a quelques jours au cours d’une rencontre tenue pour la même circonstance, confortent les dires de Mme Oussedik. Sur les 7 061 cas répertoriés au cours de cette année, 54 % des agressions contre les femmes ont été commises au sein des foyers alors que près de 22 % l’ont été dans les rues et près de 15 % au niveau des quartiers où ces femmes résident.
En cause, le système patriarcal qui consacre la domination masculine et octroie aux hommes un droit de violence sur les femmes. Et Mme Oussedik d’insister sur le fait qu’il « est temps que la victimologie sorte de l’improvisation, de la dispersion et d’un suivi à court terme et qu’elle sorte aussi du champ exclusif de l’action humanitaire. Elle doit être institutionnalisée, enseignée, structurée, la victime, sujet de droit étant au centre d’actions pluridisciplinaires concertées».
Ce faisant, l’objectif de cette journée d’étude est de «poser les bases d’une collaboration dans la durée avec l’espoir d’apporter des réponses concrètes aux besoins multiples des femmes victimes», souligne la présidente de l’association.
source : reporters.dz

La Fondation Culturelle Asselah Ahmed et Rabah et l’Ambassade du Mexique en Algérie ont le plaisir de vous informer qu’ils organisent une exposition de peinture faite de reproductions des grandes œuvres de la Mexicaine Frida Kahlo le samedi 16 juillet 2022, à 14h00, au siège de la fondation (29, Boulevard Zighout Youcef Alger centre), une conférence sera donnée sur l’œuvre de Frida Kahlo par Monsieur Bouamama Mustapha, Docteur ès Histoire, Théorie et Pratique des arts visuels.
L’exposition sera ouverte au public du 17 juillet 2022 au 13 aout 2022.

L’exposition Escape, voyage au cœur des cultures numériques propose une découverte pédagogique et ludique des cultures numériques, à travers une trentaine de créations mêlant œuvres d’art numérique, web documentaires, jeux vidéo, expériences en réalité augmentée.
Du samedi 20 novembre à 18h00 au mercredi 08 décembre à 18h30 à l'Institut français d'Alger - Centre ville - Salle d'expositon.
En 2021, l’Institut français enrichit son offre d’une nouvelle exposition dédiée aux cultures numériques : Escape, voyage au cœur des cultures numériques avec le double objectif de : renforcer la visibilité de la création numérique française à l’international accompagner la démarche de transformation numérique des établissements du réseau culturel et sensibiliser leurs publics aux grands enjeux des cultures numériques
L’exposition Escape, voyage au cœur des cultures numériques propose une découverte pédagogique et ludique des cultures numériques, à travers une trentaine de créations mêlant œuvres d’art numérique, web documentaires, jeux vidéo, expériences en réalité augmentée.
Elle invite à mieux comprendre les bouleversements causés par la Révolution numérique et explore les grandes notions qui la composent : #Web, #réseaux sociaux, #algorithmes, #data, #GAFAM, #hacker, #maker, #fake news, #intelligence artificielle, #transhumanisme, etc. Dans une époque qui nous incite sans cesse à nous connecter, l’exposition Escape, voyage au cœur des cultures numériques invite à regarder ce monde numérique avec un œil critique, à faire un pas de côté et échapper un instant à son emprise, à retrouver notre libre arbitre ; à appuyer sur la touche « Escape ».
DÉCOUVRIR ET COMPRENDRE LA RÉVOLUTION NUMÉRIQUE À TRAVERS LE REGARD DES CRÉATRICES ET CRÉATEURS
Le numérique fait aujourd’hui partie intégrante de notre quotidien. La révolution numérique - certains parlent même de changement de civilisation - trouve ses racines dès l’après seconde guerre mondiale et se poursuit de façon exponentielle depuis plus de cinquante ans maintenant. Cependant, avec l’adoption massive d’Internet par le grand public dans les années 2000, chaque nouvelle décennie (voire chaque année) apporte son lot de nouveaux outils, de nouvelles technologies, de nouvelles pratiques, parfois difficiles à assimiler et à comprendre. Si bien qu’aujourd’hui, si nous vivons les cultures numériques, pouvons-nous pour autant affirmer que nous les connaissons réellement ?
Sauf à être spécialiste de l’informatique, ingénieur, historien ou historienne des sciences…notre connaissance du numérique est principalement le fruit de nos usages, de notre curiosité, de ce que nous découvrons en autodidacte. Nous apprenons à nous servir de la multitude d’outils mis à notre disposition, nous formant sans cesse aux nouvelles versions de logiciels, applications, ordinateurs, smartphones… Au point de nous sentir parfois dépassés.
Nous intégrons par ailleurs, presque inconsciemment, l’idée que le numérique nous rend plus efficace et qu’il augmente nos possibilités, qu’il nous rend plus libre, car le cyberespace échappe à tous pouvoirs physiques. Ces rêves de liberté, de contre-pouvoirs et d’indépendance sont cependant largement remis en question par l’hégémonie de gigantesques multinationales qui contrôlent et s’accaparent nos données dans une logique de profits. De plus, dans une époque où les confinements et le repli sur soi nous incitent à nous connecter davantage, la nécessité de faire le point sur ces cultures numériques devient urgente : les identifier, les définir, mieux les comprendre pour mieux guider nos usages, nos consommations ou nos choix de vie futurs.
L’exposition Escape, voyage au cœur des cultures numériques offre une plongée dans l’histoire d’Internet, mais également dans l’univers du Big data et du contrôle des données, des médias, de la cybersurveillance. Elle interroge la place de l’homme au sein de ce nouvel écosystème matériel et virtuel et pose la question de notre connexion au vivant et au monde physique qui nous entoure dans un environnement de plus en plus numérisé. L’exposition Escape, voyage au cœur des cultures numériques propose une découverte des cultures numériques et des enjeux qu’elles portent à travers la vision de celles et ceux qui accompagnent ces bouleversements depuis leur origine : les créatrices, les créateurs, artistes, cyberactivistes, studios de production, réalisatrices, réalisateurs… Ces femmes et hommes, précurseurs, défricheurs, chercheurs, qui, par leurs regards ou leurs détournements, souvent nous guident et nous alertent… bien avant les politiques ! Escape, voyage au cœur des cultures numériques nous invite à faire un pas de côté, à regarder ce monde numérique avec un œil critique, à échapper un instant à son emprise et retrouver notre libre arbitre.
INTRODUCTION DÉCOUVRIR ET COMPRENDRE LA RÉVOLUTION NUMÉRIQUE À TRAVERS LE REGARD DES CRÉATRICES ET CRÉATEURS.
Appuyez sur la touche Escape de votre ordinateur et suivez-nous dans ce voyage bien réel à travers les cybercultures : bienvenue à bord ! Les commissaires Eric Boulo est créateur, concepteur, organisateur d’événements culturels et défricheur de nouveaux programmes tout public. Grâce à une veille permanente sur les nouveaux courants musicaux, la création numérique et le mouvement « makers », il produit, programme et coordonne des événements inédits, fédérateurs, transversaux et intergénérationnels. Ce sont des nouveaux formats de découvertes et de partages autour des nouvelles pratiques artistiques et pédagogiques ; et principalement sur les domaines qui favorisent l’interactivité et la mixité : musique, arts numériques, jeux vidéos alternatifs et Do It Yourself. Il procède par un véritable travail de terrain afin de fédérer avec succès des publics variés : professionnels, amateurs, grand public, familles, jeune public, adolescents, communautés… Les programmes d’événements décomplexés autour d’ateliers et de rencontres qu’Eric imagine permettent de valoriser et transmettre de nouvelles expériences d’éducation, sociales ou d’aide aux personnes en situation de handicap… On le retrouve comme programmateur, coordinateur d’événements grand public, famille et jeune public sur de nombreux festivals.
Antonin Fourneau vit entre Paris et Marseille, travaille à travers les quatre coins du monde, s’inspirant autant des diverses cultures que des pratiques locales. Ces créations aussi ingénieuses qu’originales se concentrent sur les interactions entre l’histoire des technologies, les jeux, la lumière, le son et le cinéma. Le travail d’Antonin prend différentes formes : installations, attractions, objets, événements, … Diplômé de l’École Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence avec son projet collaboratif Eniarof, proposant une nouvelle forme de fête foraine, Antonin Fourneau écrit un ouvrage Eniarof - Guide de bricolage pour fabrication de Fêtes foraines publié aux éditions 1980 en mai 2017. Eniarof bat son plein, en France comme à l’étranger avec 27 éditions en 2018.
Antonin Fourneau est également enseignant, conférencier invité et intervenant dans différentes écoles. Il enseigne en Design des nouveaux médias à l’EnsAD-Paris, dans la section Design Textile et Matériaux, intervient à l’ENJMIN (Ecole Nationale du Jeu et des Médias Interactifs Numérique) à Angoulême et a co-dirigé le groupe de recherche sur les jeux GoD|Art (Game oriented Design|Art) pendant 4 ans.
Bouhedli Mohamed Nassim 07 Décembre 2015 à 11:20:39
Excellent article merci signé Bouhedli Mohamed Nassim
Mahmoudi 13 Décembre 2015 à 08:21:21
Très bonne ambiance. Cadre familial et convivial. Activités enrichissantes pour les enfants, ça change de l'ordinaire: saut à la longueur, lancée de poids, chasse au trésor... Bonne initiative. Merci