
Le fayet club en collaboration avec les ateliers Art'monie organisent une grande fête pour mettre à l'honneur la femme artisane le dimanche 8 Mars.
Au programme
Animation DJ
Exposition vente
jeux pour enfant
restauration
Entrée gratuite

Ingrédients :
- 500 g de thon au naturel en boîte
- 500 g de purée de pomme de terre
- 1 oignon
- 1 œuf
- 10 c. à soupe de chapelure
- 1 c. à soupe d'huile d'olive
- 1 botte de persil
- huile de friture
Préparation :
ETAPE 1 : Épluchez l'oignon et hachez-le.
ÉTAPE 2Faites chauffer l'huile d'olive dans une poêle.
ÉTAPE 3Faites suer l'oignon jusqu'à ce qu'il soit translucide.
ÉTAPE 4Rincez le persil plat et émincez-le.
ÉTAPE 5 Egouttez et émiettez le thon dans un récipient.
ÉTAPE 6 Ajoutez la purée de pomme de terre, l'oignon et le persil, du sel et du poivre et mélangez bien jusqu'à obtenir une préparation bien homogène.
ÉTAPE 7 Façonnez des croquettes avec les mains.
ÉTAPE 8 Roulez les croquettes dans l'œuf battu puis dans la chapelure.
ÉTAPE 9 Conservez-les au frais durant 30 minutes.
ÉTAPE 10 Faites chauffer l'huile de friture dans une friteuse.
ÉTAPE 11 Faites frire les croquettes dans la friteuse jusqu'à ce qu'elles soient bien dorées.
ÉTAPE 12 Egouttez-les sur du papier absorbant.
ÉTAPE 13 Servez sans attendre
sourc : cuisineaz.com

Le ministère des Transports envisage de réformer les prestations de contrôle technique des véhicules assurées par les organismes agréés. Le ministre, Boudjemaâ Talaï, souhaite que cette expertise ne devienne plus une simple formalité administrative. Il exhorte les gérants de ces structures à ne plus se contenter uniquement d’une évaluation superficielle des véhicules. Pour les motiver, il décide de revoir à la hausse la tarification de cet examen, fixée actuellement à 1 000 DA. Ce qui va garantir, avoue M. Talaï, un contrôle méticuleux et approfondi de la part des ingénieurs.
Compte tenu des lourdes charges auxquelles ils font face, constate-t-il, ces derniers n’effectuent plus leur travail de manière adéquate.
D’où le nombre effarant d’accidents enregistré chaque année en Algérie. À ce propos, M. Talaï évalue le parc national automobile à 8,3 millions d’unités dont 62% sont des véhicules légers, soit un véhicule pour 7 personnes. De ce total, 53% ont 10 ans alors que 37% ont plus de vingt ans. Cette vétusté des véhicules, toujours en circulation, constitue l’une des raisons à l’origine des accidents de la route, causant la mort quasi-annuelle de quelque 4 000 personnes.
Toutefois, plus de 95% des accidents sont provoqués par l’élément humain. Ce constat, on ne peut plus amer, est établi par le ministre des Travaux publics et des Transports, Boudjemaâ Talaï. Face à une telle situation, le département des Transports et des Travaux Publics, s’implique pour trouver des solutions, afin d’arrêter l’hécatombe.
M. Talaï évoque quelques propositions déjà lancées. Il cite le permis à points, projet pour lequel, son ministère semble fin prêt.
“On attend seulement l’approbation de la loi par le Parlement, car nous, nous sommes prêts”, déclare-t-il au forum d’El Moudjahid. Avec la carte grise biométrique, ajoute-t-il, l’“on arrivera à identifier le conducteur à tel moment, à tel endroit”. À l’avenir, l’on projette de procéder à une ponction directement sur compte bancaire de tout contrevenant en guise de sanction.
D’autres mesures jugées indispensables pour éviter les embouteillages sont également prises, notamment l’ouverture des extensions de lignes de métro Haï
El-Badr-Aïn Naâdja et l’autre reliant la Grande-Poste à la place des Martyrs, prévue, d’après lui, à la fin de l’année 2017. Par ailleurs, pour le projet de loi relatif à la réglementation et à la sécurité routière, qui sera présenté aujourd’hui en plénière à l’APN, Boudjemaâ Talaï souligne que la commission des transports et des télécommunications avait proposé l’introduction de nouvelles mesures. Il s’agit, entre autres, de l’obligation de la ceinture de sécurité pour les passagers installés à l’arrière et d’un siège enfant en cas de transport de bébé. Il est en outre proposé que les contrevenants paient une amende de 5 000 DA. En ce qui concerne l’éventuelle augmentation des tarifs des transports qu’induirait la hausse des taxes sur les prix du carburant, prévue par la loi de finances 2017, Boudjemaâ Talaï précise qu’“aucune augmentation n’est prévue dans les tarifs des transports”.
liberte-algerie.com

Le couscous à la lavande sauvage est une spécialité puisée du centre d’Alger et de ses environs, comme Blida, Cherchell et Médéa. C’est une façon de fêter le printemps avec ce mets tant apprécié par tous les Maghrébins quelle que soit leur région. La particularité de ce couscous, c’est qu’il est préparé avec cette fleur sauvage qu’est la lavande au parfum fort mais très agréable (el helhal), un plaisir doux et amer, et comme dit lla Fifi, cette Algéroise de 82 ans, «li maâdjbouch el hal ychem el helhal (celui qui n’est pas satisfait, qu’il sente la lavande).
C’est avec nostalgie que lla Fifi nous évoque cette spécialité qui tend à devenir désuète. Sans vouloir dénigrer les femmes modernes, elle nous explique : «Il faut dire aussi que sa préparation demande un peu plus de temps qu’un rôti qu’on jetterait dans une cocotte-minute ou dans un cuiseur et qui est prêt en 20 minutes. Et puis il y a tout un rituel autour.
A l’époque, les familles de La Casbah ou d’autres quartiers où était concentrée la population arabe, comme Belcourt par exemple, vivaient dans un système communautariste ; l’entraide était de mise. De plus, c’était une occasion pour toutes les femmes de célébrer un évènement : le printemps après un long et rigoureux hiver.
C’était aussi une manière de couper avec la monotonie. Il y régnait une ambiance particulière comme pour fabriquer la rechta qui, faut-il le souligner, se faisait au rouleau. Les femmes se réunissaient dans la cour (ouest eddar) et s’adonnaient à la besogne dans la joie et la bonne humeur. Revenons à notre couscous, il faut d’abord se procurer les bouquets de lavande.
A l’époque, c’étaient des vieux en général qui les vendaient au marché, fraîchement cueillis des montagnes de Chréa, dans l’Atlas blidéen, et ceux qui avaient la chance de cultiver la lavande sur leur terre, vous ne pouvez imaginer leur plaisir de choisir eux-mêmes les bouquets.
«Une fois les bouquets réunis, les femmes ôtaient soigneusement les fleurs bleues, et dans le pilon, elles les écrasent avec un peu d’eau. On peut aussi les frotter entre les mains pour en dégager les pétales.»
Je me souviens pour la petite histoire : j’avais environ 10 ans, quand une amie de ma mère, tata Baya, une dame généreuse, belle, aux yeux bleus azur, venait de Boufarik nous rendre visite. C’était elle qui nous annonçait le printemps.
Elle portait dans son couffin, en plus des friandises pour les enfants qu’elle n’oubliait jamais, cette lavande au parfum enivrant qu’on sentait avant même de la voir. Je savais que ce jour-là, il y aurait au menu du couscous bel helhal. C’était un rituel, chaque début de printemps on avait droit à nos bouquets qu’elle cueillait elle-même, et cela a duré jusqu’à sa mort. Ma mère en conservait quelques-uns qu’elle gardait au frais pour tenir toute la durée du printemps. Elle disait à ma mère : «Je t’ai apporté ta part de helhal, je voudrais manger de ta main un bon couscous, tu es la spécialiste.» En l’évoquant, lla Fifi n’a pu s’empêcher d’essuyer une petite larme au coin de l’œil.
«Il faut dire aussi que sa préparation demande un peu plus de temps qu’un rôti qu’on jetterait dans une cocotte-minute ou dans un cuiseur, et qui est prêt en 20 minutes.»
«Une fois les bouquets réunis, les femmes ôtaient soigneusement les fleurs bleues et dans le pilon, elles les écrasaient avec un peu d’eau. On peut aussi les frotter entre les mains pour en dégager les pétales. Aujourd’hui, à l’ère de l’automatisme, on peut utiliser le mixeur.» C’était une joie à l’époque, par une journée printanière et ensoleillée, de déguster ce couscous fumant accompagné de petit-lait, nous raconte lla Fifi. En général, quand il est préparé pour la première fois et pour marquer l’évènement, les voisines sont invitées à la fête.
La maisonnée embaume alors l’odeur de la lavande et chatouille les papilles de ses habitants. «Et c’est autour de la sahfa que les femmes, profitant du midi où les hommes sont affairés dehors, apprécient en toute liberté leur couscous à l’extérieur des ghrouf (chambres). La lavande étant amère, et malgré son mélange avec le sucre, est peu ou pas appréciée par les enfants, c’est un plat destiné plutôt aux adultes. On ne peut parler de cette petite plante sans évoquer ses vertus. Elle est antispasmodique, diurétique et aide aussi à nettoyer l’organisme d’une manière naturelle.»
RECETTE :
Prenez les bouquets de lavande, lavez-les soigneusement, puis ôtez délicatement les pétales car ils sont fragiles. Passez-les au mixeur, ou à défaut, frottez-les entre les mains pour les libérer. Les fleurs mixées peuvent être congelées dans des boîtes hermétiques jusqu’à 12 mois. On utilise environ une mesure de fleurs mixées pour deux mesures de couscous. Mais les mesures ne sont pas figées, on peut les changer selon le goût de chacun ; il y en a qui aiment que dans le mélange il y ait plus de lavande, d’autres pas. Mais à force d’en préparer, on arrive à adopter les bonnes doses. La mesure de sucre qui sera ajoutée juste avant de servir est laissée à l’appréciation de la maîtresse de maison.
Cuisson
* Mélangez les fleurs mixées en prenant le soin de les mouiller après la deuxième étape de la cuisson du couscous, ensuite remettre le mélange à cuire une troisième fois à la vapeur.
* Une fois le couscous bien cuit, le verser dans une sahfa( djefna) ou un plat creux à votre convenance. Arrosez de beurre que vous aurez fait fondre au préalable dans une casserole à feu doux (c’est plus pratique, ça vous évite d’écraser le beurre qui mettra plus de temps à fondre).
* Le beurre peut être remplacé par de la margarine, du smen, ou de l’huile d’olive nouvelle. Saupoudrez enfin de sucre glace ou de sucre cristallisé.
* Servir chaud, accompagné de petit-lait ou de lait caillé.
source : le soir d'Algérie

Concert de musique traditionnel folk à Ibn Zaydoun
Pour la 1 ère fois en Algérie, 25 musiciens venant des 4 coins du monde vous feront découvrir leurs musiques traditionnelles et folkloriques sur la scène de la salle ibn zaydoun le jeudi 06 septembre à 19h pour un concert qui vous fera voyager !
Organisé par Ethno Algérie, ce programme crée par (JMI) Jeunesses Musicales International a pour but de faire découvrir la musique traditionnel folk et mondiale.
Prix: 800 da
Vente sur place.
#musique_folk_algerie
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.