L’AARC célèbre la « Journée internationale du Jazz » avec la formation « NIGHTS IN TUNISIA » :
À l’occasion de la célébration de la Journée Internationale du Jazz, décrétée par l’Unesco en 2011, l’Agence Algérienne pour le Rayonnement Culturel présente, en partenariat avec l'Office Riad El Feth (OREF), l’ensemble Diagonale de Jean Christophe Cholet - le projet Nights in Tunisia – Le concert aura lieu le Lundi 28 avril 2014 à 19:00 à la Salle Ibn Zeydoun.
L’AARC fête depuis son instauration la Journée Internationale du Jazz et souhaite à nouveau être à la hauteur des attentes de son public. Raison pour laquelle son choix s’est porté cette année sur ce merveilleux projet qui allie comme jamais les sonorités maghrébines, andalouses, les modes venus d’orient et les tonalités du jazz. Ce lundi 28 avril sera à nouveau le rendez-vous des mélomanes et des artistes, de la découverte et de la générosité, du partage et de l’élégance.
«Si le jazz a aujourd’hui une dimension verticale (par sa longue histoire) et horizontale (par son universalité), la “diagonale” décrit idéalement la direction choisie par J-C Cholet : aller de l’une à l’autre par cette voie oblique et ascendante qui traverse tous les paysages musicaux, des plus traditionnels aux plus contemporains.» J.C Cholet.
«Nights in Tunisia» est un projet qui propose de réunir sur scène le raffinement de la musique et du chant arabe combiné avec la braise ardente des rythmes du jazz actuel. L'art des maqâms (essence modale de la musique arabe) associé à de riches progressions harmoniques.
L’ensemble Diagonal, porté par le pianiste, compositeur et chef d’orchestre Jean-Christophe Cholet, explore depuis plus de dix ans le patrimoine des musiques populaires d’ici et d’ailleurs. Pour ce nouveau programme, le travail de composition est partagé avec deux autres membres de l’orchestre, le tromboniste Geoffroy de Masure et le violoniste Jasser Haj Youssef, musicien se produisant dans les orchestres de musique arabe les plus prestigieux et musicologue spécialisé dans la recherche sur les similitudes entre l’improvisation dans le jazz et les musiques traditionnelles arabes. On retrouve également dans la formation Diagonale, le saxophoniste Vincent Mascart (il a joué avec l’Orchestre National de Barbès -ONB), le trompettiste Geoffroy Tamisier (compositeur et arrangeur avéré), Mehdi Akseur (Chanteur du groupe Orchestre National de Barbès), Boris Darley (ingénieur du son), Stéphane Galland (prodigieux batteur, à son palmarès une soixantaine d’albums), Jean-Luc Lehr (Bassiste, diplômé en musicologie, a donné des Master Class à la Royal Academy of Londres) et Meta (un rythmicien solide et aguerri, au cursus de chant, batterie et percussion).
« NIGHTS IN TUNISIA »
Lundi 28 Avril 2014
Salle Ibn Zeydoun – Centre des Arts, Riad El Feth
19h00 précise – Tarif : 500 DA

ALGER- Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid a affirmé, mardi à Alger, que les six cas de la souche indienne du coronavirus (B.1.617) détectés dans la wilaya de Tipasa avaient été contaminés par un ressortissant indien établi en Algérie.
En marge d'une visite d'inspection à l'hôpital Salim Zmirli d'El Harrach, le ministre a indiqué que "la détection du variant indien introduit par un ressortissant indien établi en Algérie (dépisté à l'hôpital de Koléa) a été suivie d'une enquête qui a permis de détecter les autres cas".
L'enquête épidémiologique est toujours en cours pour dépister d'autres cas éventuels", a-t-il fait savoir.
"Actuellement, la situation qui prévaut est +relativement stable+", a troisième vague de contamination, mais la prévention et le respect des mesures préventives et sanitaires restent de mise pour préserver la sécurité de tous".
S'agissant de la cadence de vaccination et la réception de quotas supplémentaires de doses de vaccins, le ministre a affirmé que "nous devions réceptionner, ce vendredi, une quantité considérable de vaccin en provenance d'Inde, mais ce pays a décidé de suspendre l'exportation du vaccin en raison de la situation pandémique qui y prévaut actuellement".
"L'Algérie a déjà versé 15% du montant de cette part que nous aurions aimé recevoir. Toutefois, nous étudierons toutes les éventualités pour faire face à cette situation", a-t-il ajouté.
"La diplomatie algérienne veille à obtenir les parts nécessaires de vaccin", a-t-il souligné, ajoutant que le respect du protocole sanitaire et l'application de toutes les mesures préventives constituaient "le meilleur choix pour préserver la stabilité à laquelle est parvenu notre pays en matière de lutte contre cette pandémie", ajoute le ministre.
L’Institut Pasteur d'Algérie a annoncé, lundi, que six (06) cas du variant indien avait été détectés pour la première fois, dans la wilaya de Tipasa. Ce variant est classé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) comme "variant d'intérêt". APS

Un nouveau message attribué au président Bouteflika a été adressé à la nation à l’occasion du 57ème anniversaire de la fête de la Victoire (19 mars 1962) ce lundi. Le rédacteur ou les rédacteurs de cette missive ont envoyé un certain nombre de signaux au peuple algérien, mais les réactions sur les réseaux sociaux ont été immédiates : « dégage ».
Le message adressé à la nation ce lundi 18 mars au nom d’Abdelaziz Bouteflika traduit le refus du régime à rendre la souveraineté au peuple et son entêtement à rester aux commandes de toute initiative de changement.
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Au lieu d’adresser un message d’adieu afin de minimiser les dégâts, les rédacteurs de ce message ont, une fois de plus, ignoré les revendications du peuple algérien. La feuille de route annoncée est en décalage avec les attentes du peuple, à la tête desquelles le départ de la caste au pouvoir et le démantèlement du système.
Le message de ce lundi réitère les « propositions » formulées dans la missive du 11 mars dernier, traduisant par là même, la volonté du régime à piloter ce fameux changement. Le contenu n’est ni plus ni moins, que de vagues promesses de réformes remises au gout du jour. Une liste de promesses jamais honorées présentée à la population à chaque fois qu’une grave crise se profile à l’horizon.
Comme traduit dans la lettre rendue publique par les médias gouvernementaux la semaine dernière, on annonce une « révision « profonde » de la Constitution », ou encore un changement du système de gouvernance, à la suite des travaux d’une conférence nationale. Une conférence chapeautée par des figures du régime. Ces mêmes figures que les Algériens révulsent.
Sur les réseaux sociaux, la réponse ne s’est pas fait attendre. « Qu’on n’insulte pas notre intelligence », écrit un internaute qui a demandé à ce que l’auteur de ces messages soit identifié. Quasiment tous ceux qui ont réagi ont rejeté le contenu de cette lettre, mettant le départ de Bouteflika et de ses serviteurs, ainsi que le démantèlement du système, comme préalable à tout débat.
algerie-focus.com

La dynamique révolutionnaire enclenchée par le mouvement populaire en février 2019 aboutit à un consensus général sur la nécessité du passage à un régime démocratique et à un cadre de gouvernance politique au service du citoyen et du progrès général du pays.
Sur le plan économique, la dégradation rapide des comptes, le marasme général vécu par les acteurs, et la stagnation économique, sont un sujet d'inquiétude grandissantes.
Deux décennies de mauvaise gouvernance tournée vers la prédation et l'exploitation rentière des ressources naturelles du pays aboutissent aujourd'hui vers une situation critique, nécessitant des mesures d’urgence, et une absence dramatique de visibilité sur les perspectives économiques et sociales pour les années à venir.
CARE, le Cercle d'Action et de Réflexion autour de l'Entreprise, avec d’autres, organisations et experts, a appelé plusieurs fois, au travers de ses activités et publications, à la construction d'un véritable consensus national sur les réformes économiques à mener et ce, dans la perspective de la libération du potentiel de création et développement des entreprises, la diversification des activités, et l'élaboration d'un modèle de gouvernance économique transparent, responsable et équitable.
Dans le contexte actuel, CARE considère comme une urgence le besoin de se concerter et de rapprocher les vues sur les enjeux des réformes économiques à mener afin de faire face aux urgences d'un côté, et tracer une feuille de route de développement à moyen terme.
Dans cet esprit, nous lançons une initiative de feuille de route économique concertée qui pourrait servir de base référentielle aux politiques à conduire et d'évaluation de l’action gouvernementale pour les années à venir.
A ce sujet, une matinale de CARE, en format de table ronde d’experts, sera organisée le lundi 22 juillet 2019, de 9h à 13h, Hôtel SOFITEL HAMMA Alger,
L'objectif sera de regrouper les propositions d'actions et de lignes directrices de politique économique actuellement disponibles sur la scène en vue de synthétiser progressivement les visions autour de trois panels :
1. Quelles mesures pour préserver et régénérer les grands équilibres budgétaires et de balance des paiements ?
2. iversification économique et soutien à l'investissement : quels leviers de politique économique ?
3. cadre de gouvernance et éthique des affaires: quelle mise à jour effectuer?
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.