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Selon un classement établi par le site Slate Afrique
Bouteflika dans le Top 10 des dirigeants les plus accros au pouvoir
Par : journal liberté
Voici un classement de ces chefs d’État africains qui ne lâchent pas le “koursi”. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo de Guinée Bissau, ancien militaire de 71 ans au pouvoir depuis 34 ans. José Eduardo Dos Santos, 34 ans de règne à la tête de l’Angola, compte se présenter en 2017. Paul Biya, 80 ans, s’accroche au pouvoir au Cameroun depuis 32 ans. Yoweri Museveni, 69 ans, aligne 28 ans de pouvoir en Ouganda. Robert Mugabe, 89 ans et 26 ans au pouvoir au Zimbabwe. Idriss Déby Itno, 62 ans, 23 ans de pouvoir au Tchad. Blaise Compaoré, comme beaucoup d’autres, a pris les rênes du pouvoir au Burkina après un coup d’État en 1987 pour ne plus le lâcher. Bloqué par sa Constitution de 1991 et sa limitation de mandats, il cherche un moyen de résoudre ce casse-tête avant la présidentielle de 2015. Omar al-Béchir, 70 ans et 20 ans de dictature au Soudan où sa réussite aura été de diviser son pays en deux. Issayas Afeworki, 67 ans et 20 ans au pouvoir en Érythrée dont il a été l’artisan de l’indépendance en mai 1993, arrachée à l’Éthiopie. Bouteflika, qui devrait briguer un 4e mandat, alors que sa santé s’effrite, est dans ce Top 10.
source image : focus-algerie.com

Les membres du collectif syndical ont expliqué qu’un débrayage s’impose, compte tenu du fait de la «non-prise en charge des revendications soumises à la tutelle».
L’intersyndicale s’est prononcée jeudi dernier sur sa prochaine action de protestation.Les six syndicats autonomes de l’éducation observeront ainsi, une grève nationale le 26 février prochain, suivie le lendemain de sit-in de protestation régionaux, au niveau des wilayas de Batna, Laghouat, Relizane et Blida.
Les membres du collectif syndical ont expliqué qu’un débrayage s’impose, compte tenu du fait de la «non-prise en charge des revendications soumises à la tutelle». Ces derniers estiment qu’on ne peut parler d’ouverture du dialogue alors que les responsables du ministère de l’Education «persistent à ne pas prendre au sérieux les doléances des travailleurs du secteur».
L’intersyndicale a dans ce contexte, remis en question les projets de PV issus des discussions avec la ministre de l’Education, dont le contenu serait selon eux «en totale contradiction avec ce qui a été dit dans les réunions avec les responsables en ce qui concerne la majorité des dossiers».
Les six syndicats du Cla, Satef, Snapest, Unpef, Snte avaient organisé à la date du 21 janvier dernier une grève mettant en avant leurs principales exigences. Il s’agit pour rappel du «maintien du travail à travers la commission mixte», «le maintien de la retraite proportionnelle et de la retraite sans condition d’âge», mais encore «l’abrogation définitive de l’article 87 bis (de la loi de finances de 2015) et la création d’une prime spécifique aux corps communs et ouvriers qualifiés». Ces derniers tiennent aussi à «l’instauration de nouveaux mécanismes pour rééquilibrer le pouvoir d’achat». A côté, ils demandent de ne pas «toucher aux droits du personnel éducatif aux week-ends ainsi qu’à leurs congés de maladie».
Par ailleurs, après avoir enchaîné les réunions, l’insatisfaction des syndicats s’affichait de plus en plus. Cela s’est traduit par leur décision de poursuivre leur mouvement de protestation, en entamant régulièrement des actions sur le terrain.
Notons aussi que l’impact de cette prochaine grève au sein des établissements scolaires peut éventuellement être plus important, étant donné la participation du Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste).
D’autre part, il faut dire que les syndicats autonomes tentent de faire pression sur les autorités afin qu’ils obtiennent satisfaction. On peut dans ce sens, établir le lien entre l’enchaînement des actions de protestation dans ce secteur et l’approche de l’élection présidentielle, soit le 18 avril prochain. Voyant en ceci, le seul moyen de résoudre les multiples problèmes dont ne cesse de se plaindre une bonne partie du personnel de l’éducation.
Pour le reste des revendications pédagogiques du collectif des six syndicats autonomes, les points cités sont «la révision des programmes scolaires en fonction du niveau des élèves, notamment au cycle primaire», ou encore «la réduction du volume horaire des enseignants dans les trois paliers» appelant également à la «protection du statut pédagogique de l’enseignant». Concernant les relations avec leur tutelle, le malaise semble évident entre la première responsable du secteur, Nouria Benghebrit et les six entités syndicales.
Cette dernière a insisté à chacune de ses sorties médiatiques sur le caractère «permanent» du débat avec tous ses partenaires sociaux.
Lexpressiondz.com
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