
La période d’acquittement de la vignette automobile pour l`année 2018 s’étalera du 1er au 31 mars, indique ce dimanche la Direction générale des impôts (DGI).
La vente des vignettes, dont les tarifs restent inchangés, s’effectuera de 8h à 16h auprès des recettes des impôts ainsi qu’au niveau des receveurs d’Algérie Poste, précise la DGI à l’agence officielle.
Pour permettre aux automobilistes d’acquérir leurs vignettes durant les jours de repos, les recettes des impôts seront ouvertes au public les samedi, selon la même source.
L’administration fiscale invite les automobilistes à ne pas attendre le dernier moment pour s’acquitter de cette obligation légale et éviter ainsi les chaînes d’attente et les désagréments qui en résultent.
Par ailleurs, les automobilistes sont priés de s’assurer du tarif légal de leur vignette avant son acquisition car toute vignette non conforme au tarif légal entraîne le retrait de la carte d’immatriculation qui ne sera restituée qu’après présentation d’une vignette conforme et majorée de 100%.
Les propriétaires de véhicules neufs acquis en 2018 demeurent concernés par l’achat de la vignette. À ce titre, la carte provisoire de circulation (carte jaune) tient lieu de document servant à son acquisition dans un délai d’un mois à compter de la mise en circulation du véhicule sur le territoire national.
S’agissant des véhicules utilitaires, le tarif des vignettes est fixé selon le poids total en charge (PTC) et non pas la charge utile.
Le défaut d’apposition de la vignette sur le pare-brise du véhicule donne lieu à l’application d’une amende fiscale égale à 50% du montant de la vignette, avise la DGI.
Le prix de la vignette varie en fonction de la puissance de motorisation du véhicule et de son ancienneté : une fourchette de 500 DA à 3.000 DA est imposée pour les véhicules ayant plus de 10 ans d’âge, de 1.000 DA à 4.000 DA pour ceux dont l’âge varie entre 6 et 10 ans et de 1.500 à 6.000 DA pour les 3 à 6 ans.
Les véhicules ayant moins de 3 ans sont imposés d’une vignette dont le prix oscille entre 2.000 et 10.000 DA. Toutefois, l’exemption de la vignette automobile est toujours accordée au profit des véhicules à immatriculation spéciale appartenant à l’État et aux collectivités locales (communes, daïras, wilayas) et les véhicules dont les propriétaires bénéficient de privilèges diplomatiques ou consulaires.
Cette exonération touche également les ambulances, les véhicules équipés de matériels sanitaires, les véhicules équipés de matériel de lutte anti-incendie, les véhicules destinés aux handicapés et les véhicules équipés d’un carburant GPL/C.
Les tracteurs et autres engins agricoles, les véhicules à moins de quatre roues (motocyclettes, vélomoteurs…), les engins à travaux publics ou encore les remorques ne sont pas concernés par la vignette automobile.
Pour rappel, la vignette automobile a été instaurée en Algérie depuis 1998. Une part de 20% de ses recettes est versée au Trésor public et 80% au Fonds commun des collectivités locales.
TSA.

Avec la communication qui va dans tous les sens sauf dans celui de la vérité, certains vont jusqu’à remettre en question la présence même du choléra. D’autres informations font état de l’apparition du vibrion cholérique qui était prévisible depuis le mois de janvier. Ce dossier est loin d’être clos. Deux jours à peine après les assurances du ministère de l’Agriculture quant à la bonne qualité des fruits et légumes produits localement, l’Institut Pasteur revient avec une contradiction qui confirme la gestion chaotique de cette épidémie. En effet, au moment où la source du vibrion cholérique n’est toujours pas identifiée, la guerre des informations autour de cette question, qui préoccupe l’opinion publique depuis plus de trois semaines, semble sans fin. Maladie à transmission hydrique (MTH) par excellence, la piste de la présence du vibrion dans l’eau du robinet a été écartée par les responsables du secteur ainsi que les experts. Toutefois, les fruits et légumes — notamment la pastèque, le melon et la salade dont la qualité de l’eau d’irrigation est suspecte — restent une piste probable de la survenue de cette pandémie.
Face à l’état de panique des citoyens qui ont boudé ces produits et la vague de rumeurs sur cette maladie très contagieuse, le ministère de l’Agriculture a décidé de sortir de son silence pour rassurer les citoyens en expliquant que l’eau d’irrigation absorbée par les plantes ne représentait pas de danger pour les productions agricoles. Pour le département de Bouazgui, les fruits et les légumes ne constituent pas un milieu d’évolution du vibrion cholérique. Il avait également déclaré que cette année aucun cas d’irrigation avec les eaux usées n’a été signalé et que les fruits et légumes étaient indemnes de toute contamination dangeureuse.
Une déclaration que contredit formellement l’Institut Pasteur (IPA) dans son communiqué publié sur son site dont la dernière mise à jours date de ce jeudi. Dans ce document, l’IPA met en garde les citoyens quant à une éventuelle contamination des fruits et légumes irrigués avec des eaux usées : «La contamination de fruits (pastèque, melon non lavés) ou légumes pouvant être consommés crus (carotte, concombre, salade, tomate, betterave), irrigués par une eau polluée par les matières fécales est suspectée.» Les experts confortent la piste de l’IPA Les fruits et légumes peuvent-ils être à l’origine de cette maladie ? Pour les experts, la réponse est affirmative. «Plusieurs études scientifiques montrent qu’il existe un lien certain entre la qualité de l’eau d’irrigation utilisée, les techniques agricoles adoptées par les maraîchers et certaines maladies infectieuses qui affectent directement l’homme, et imputent l’entière responsabilité à la transmission dans la chaîne des risques sanitaires.
Selon une étude publiée en 2010, les eaux usées urbaines peuvent ainsi propager dans les cultures de nombreux micro-organismes pathogènes dont le vibrion cholérique», explique Farès Kessasra, hydrogéologue et consultant auprès de l’Unesco, qui s’appuie également sur les déclarations de l’OMS qui confirment la possibilité de contamination en surface des fruits et légumes par le vibrion du choléra provenant d’eaux ou de sols contaminés. Une contamination qui peut durer 10 jours au maximum. L’OMS va encore plus loin en citant également les aliments humides tels que le lait, le riz cuit, les lentilles, la pomme de terre, les haricots, les œufs et le poulet qui peuvent être contaminés pendant ou après leur cuisson et laissés à température ambiante pendant plusieurs heures.
Ils constituent un excellent milieu de culture pour le vibrion cholérique. Pour notre interlocuteur, il ne faut exclure aucune piste, surtout que les agriculteurs algériens font usage de fientes de volaille et autres déchets organiques enrichis aux hormones et anabolisants de croissance non contrôlés provenant de poulaillers. «Les sols se retrouvent contaminés par des matières fécales et toutes les souches bactériennes qui en découlent. Ils utilisent également en toute impunité des eaux usées urbaines mélangées aux rejets des zones industrielles généralement non traitées par les usines et éjectées dans les oueds. Même les eaux souterraines sont contaminées par les rejets d’eau superficielle et le lessivage des sols souillés.
Censées être saines et utilisées pour l’irrigation par captage hydraulique (puits et forages), elles deviennent un milieu favorable à l’apparition et la propagation des MTH», ajoute Farès Kessasra. Avec la confirmation de l’hypothèse de l’Institut Pasteur, une nouvelle zone d’ombre s’ajoute à la gestion de cette épidémie considérée par nombre d’Algériens comme une honte pour le pays. Avec une communication qui va dans tous les sens sauf dans celui de la vérité, certains vont jusqu’à remettre en question la présence même du choléra. Avec les dernières informations confirmant que l’apparition du vibrion cholérique était prévisible depuis le mois de janvier, ce dossier est loin d’être clos.
– Selon le ministère de la santé : 74 cas de choléra confirmés Dans un dernier bilan arrêté ce jeudi, le ministère de la Santé a indiqué, dans un communiqué, l’augmentation des cas confirmé de choléra qui a atteint les 74. Ils sont enregistré dans les wilayas de Bouira (3 cas), Tipasa (15 cas), Alger (15 cas) et Blida qui détient le record avec 39 cas. Les wilayas de Médéa — malgré les dénégations de son DSP — et Aïn Defla ont chacune un seul cas enregistré. Le nombre de patients sortants s’élève à 132, soit 66% de l’ensemble des hospitalisations, note le ministère dans son communiqué. Les malades restants séjournent toujours au niveau de l’EPH de Boufarik et les cas hospitalisés à l’EHS El Kettar ont été déclarés sortants après guérison.
source : elwatan.com

La couette est pratique pour faire son lit rapidement, il n’y a plus qu’à la poser ! En revanche, pour le lavage c’est une autre histoire … Voici des solutions pour laver une couette sans l’abimer.
Astuce de grand-mère
- Vérifiez tout d’abord les instructions de lavage sur l’étiquette de votre couette (Attention, les couettes ne sont pas toutes adaptées pour un lavage en machine).
- Pliez votre couette en accordéon.
- Placez des balles de tennis dans votre machine à laver.
- Commencez votre programme avec un essorage faible.
- Retirez votre couette de la machine, grâce aux balles de tennis, le garnissage de votre couette ne formera pas de boule.
- Séchez votre couette dehors s’il fait assez chaud.
Ingrédients
- Un peu de lessive liquide de préférence
Équipement
- 2 balles de tennis propre
Les conseils de nos grands-mères
- Si vous devez ranger votre couette dans un placard, pensez à utiliser une housse vide air.
- Si votre couette ne rentre pas dans votre machine à laver, il faudra alors l’emmener au pressing.
- Sachez que vous pouvez nettoyer une couette jusqu’à 200 cm x 200 cm dans une machine à laver de 5 kg.
- Pour une couette de 220 cm x 240 cm ou plus, il faudra que vous ayez une machine à laver de 7 kg.
Astuces.com

Le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, à instruit les imams afin qu’ils contribuent à contrecarrer la traditionnelle flambée des prix du ramadan. La démarche vise à sauvegarder une paix sociale fragile qui peut être mise en péril par la cherté de la vie. Elle constitue également un aveu d’impuissance d’un gouvernement qui n’arrive pas à réguler le marché.
Incapable de réguler le marché des produits alimentaires, notamment ceux des fruits et légumes, le gouvernement se tourne vers les imams pour tenter de maintenir des prix raisonnables lors du prochain ramadan.
Le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, a carrément demandé aux imams «d’accompagner les institutions de l’État dans leur lutte contre les spéculateurs qui menacent la sécurité du pays, notamment lors du mois sacré» durant lequel les prix atteignent des sommets. Pour le ministre, les «imams doivent prêcher la bonne parole en invitant les spéculateurs à être cléments envers la population et à s’écarter des pratiques contraire à la foi».
Saisissant la perche tendue par le gouvernement, le président du Syndicat national des imams et des fonctionnaires du secteur des Affaires religieuses, Djelloul Hadjimi, a affirmé que les mosquées sont prêtes à réinvestir le terrain social afin d’aider le gouvernement à gérer des situations compliquées. Pour convaincre de la pertinence de ses propos, le responsable a évoqué le rôle des imams dans la gestion de la crise à Ghardaïa.
Cette démarche du gouvernement est révélatrice de son incapacité à imposer les lois de la République sans recourir à l’instrumentalisation de la religion.
Algerie-focus.com
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.