Société générale a organisé le jeudi 7 janvier à l'institut français d'Alger, une cérémonie de remise des prix aux lauréats de la troisième édition de son concours « Jeunes Artistes Peintres », présidée par Mr Eric Wormser, Président du Directoire.
La Société Générale se veut un tremplin pour l’émergence des talents prometteurs algériens dans l’Art contemporain .Le concours a vu la participation d’une centaine d’artistes, entre amateurs et professionnels.
Les œuvres d’enfants en difficulté issus des associations Chems , Anit, Alif et AEPF, ont été exposées durant cette soirée. Société Générale œuvre à soutenir les efforts louables de ces enfants et à réussir leur insertion , notamment dans le monde artistique.
Le magazine ZEINELLE et l’ensemble de l’assemblée présente ont été unanimes pour reconnaitre le talent certains de ces enfants.
Le jury composé de personnalités et d’experts du monde artistique, a rendu son verdict en dédiant le premier prix à Lamine Sakri, d’El Tarf, le second à Djamel Talbi de Sidi-Idir ( petite kaylie) et le troisième à Ahmed Mebarki de Tizi –Ouzou.
Les enfants lauréats ont également reçu leurs prix et des cadeaux de félicitations.
Une cérémonie conviviale et réussie, avec en fin de soirée le partage du gâteau d’anniversaire, célébrant la 15 éme année de Société Générale en Algérie.
Le magazine ZEINELLE souhaite bonne chance aux lauréats pour d’éventuelles représentations de notre Art contemporain, notamment à l’étranger.
Bessaha Nadia

Du henné noir, importé de Libye et vendu sur le marché algérien, est dangereux pour la santé et serait mortel. Le ministère du Commerce a saisi, par lettre le 15 avril courant, toutes les directions de wilayas pour les prévenir contre la vente de ce produit.
La direction du contrôle économique et la répression de la fraude a constaté que le henné noir libyen contient des « substances chimiques toxiques pouvant causer des inflammations de la peau et des intoxications pouvant entraîner la mort, d’après les analyses faites par le ministère libyen de la santé ».
Selon le même document, publié par l’Organisation algérienne de protection et d’orientation du consommateur et de son environnement (APOCE) sur sa page Facebook, le henné noir aurait causé la mort de 59 personnes en Libye.
D’après des médias libyens, le henné noir incriminé serait frelaté ou d’origine douteuse. En plus des 59 décès, il a été à l’origine de l’empoisonnement de 149 personnes dans ce pays.
Le PPD, un produit toxique
Le henné noir contient du P.Phenylenediamine (PPD) qui est réputé toxique car dérivé du goudron (le goudron est connu pour être cancérigène).
Le PPD peut provoquer des allergies cutanées de gravité variable pour la peau et des complications sanitaires irréversibles. Le PPD, qui a la caractéristique de résister à la chaleur, est présent également dans les teintures foncées pour cheveux, dans les encres et dans les pneus.
Le rajout du PDD, qui est une diamine aromatique, fait du henné noir, un produit chimique destiné surtout pour les tatouages dont la qualité est de durer plus longtemps et de sécher rapidement.
Ces tatouages ont provoqué dernièrement des complications cutanées en Égypte et en Libye où le henné noir est très utilisé comme en Inde, au Pakistan ou dans les pays du Golfe.
L’European Society of Tattoo and Pigment Research a lancé, dernièrement, un avertissement quant à l’utilisation du henné noir contenant du PPD, très prisé par les amateurs du tatouage.
Aux États Unis, le National Cancer Institute a également averti contre l’utilisation du PPD après avoir fait le lien avec des cas de tumeurs (notamment chez les femmes qui utilisent des colorations capillaires).
Le PPD figure sur une liste rouge au Canada. Déjà à l’état naturel, le henné est un produit dangereux, surtout pour les jeunes personnes. Il peut provoquer des maladies du sang comme le déficit en globules rouges.
Le henné, qui donne des teintures rouge ou orange, est obtenu à partir du broyage des feuilles du Lawsonia Inermis, un arbuste qui pousse en Afrique et en Asie. Le henné noir n’existe pas à l’état naturel. D’où le rajout du PPD et d’autres produits chimiques.
source :
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Le ministère de l’Habitat, de l’urbanisme et de la ville a mis en place une commission d’enquête pour définir les causes de l’effondrement, vendredi, d’une bâtisse en construction à El-Achour (hauteurs d’Alger), a annoncé samedi un communiqué du ministère relayé par l’Agence de presse algérienne (APS).
La commission est composée du directeur général de la construction et des moyens de réalisation, du directeur général de l’urbanisme et de l’architecture, et du directeur de l’habitat de la wilaya d’Alger, ainsi que du directeur de l’urbanisme et de l’architecture de la wilaya d’Alger, du directeur général du centre national de recherche appliquée en génie parasismique, du directeur du centre national d’études et de recherches intégrées du bâtiment et du directeur du laboratoire national de l’habitat et de la construction.
La commission s’est rendue sur place pour constater les dysfonctionnements au niveau de cette bâtisse et mettre la lumière sur les véritables raisons à l’origine de l’effondrement de cette construction pour établir les responsabilités,
« en proposant les mesures à prendre à l’égard des acteurs, après l’établissement des responsabilités », ajoute le communiqué.
source : huffpostmaghreb.com
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En effet, l’Arabie saoudite a annoncé récemment la reprise de la Omra en 2021, pour les étrangers dont les Algériens. Suspendue depuis la mi-mars en raison de la propagation de la Covid-19, la Omra va reprendre dès le 1er Moharram 1443. Cette date correspond au mardi 10 août 2021. C’est une nouvelle qui devrait réjouir les fidèles musulmans désireux d’accomplir ce rituel important l’Islam.
Effectivement, désormais il est accessible aux Algériens de se rendre à la Mecque. Les autorités saoudiennes procéderont, dès ce lundi 9 août, à la réception des demandes de pèlerins. Il est question de ceux venant de l’extérieur du Royaume saoudien. Il s’agit de toute manière de ce qu’a rapporté le média arabophone Ennahar, dans son édition de samedi.
Selon la même source médiatique, le gouvernement saoudien a fait état de l’augmentation de la capacité d’accueil. Et ce, dès le début de la nouvelle année de l’hégire 1443. Dans ce sens, chaque mois, jusqu’à deux millions de pèlerins pourront effectuer la Omra. C’est ce que mentionne le média généraliste susmentionné.
Les conditions imposées aux pèlerins étrangers
Il est important de noter que l’instruction concerne la majorité des pays du monde. Néanmoins, les ressortissants de 33 pays ne sont pas autorisés à accomplir les rites de la Omra. Les pays sont sélectionnés selon l’évolution de la pandémie et la situation sanitaire qui y règne actuellement.
D’autre part, pour éviter la propagation du virus à couronne, le pays gardien des deux villes saintes de l’Islam a imposé plusieurs conditions aux pèlerins étrangers. Il est question en premier lieu de la vaccination. Pour le moment, le Royaume a adopté les vaccins Pfizer, AstraZeneca et Johnson&Johnson. Outre la vaccination, les pèlerins étrangers devront se soumettre à un confinement sanitaire de trois (3) jours.
Par ailleurs, le nombre de personnes ne dépassera pas deux dans chaque chambre. Quant au nombre d’individus dans les bus, il ne dépassera pas les 25 personnes. C’est ce qu’a annoncé Mustapha Hidaoui, le chargé d’information à l’Office national du Hadj et de la Omra.
www.dzairdaily.com
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A l’époque médiévale, la montagne du Gouraya s’appelait Amsioun, comme le prouve le témoignage daté du XIIème siècle d’ al-Idrissi, célèbre géographe du roi normand Roger II de Sicile :« Bejaia, située près de la mer, sur des rochers escarpés, est abritée, au nord, par une montagne dite Amsioun, très élevée, d’un difficile accès et dont les flancs sont couverts de plantes utiles en médecine : bois de hadhadh, scolopendre, al-barbaris, grande centaurée, rezavend, castoun, absinthe,… ». Elle changea de nom après le XVIème siècle grâce à l’action de celle qui deviendra la sainte protectrice de la ville.
Gouraya est une femme qui vécut pendant la première moitié du XVème siècle. Elle a hérité sa sainteté universellement reconnue de son père Sidi Ayad, dont le mausolée existe toujours dans le village qui porte son nom près de Sidi Aïch. Gouraya avait trois sœurs. Lalla Timezrit dont le mausolée veille sur les deux versants d’une montagne près d’El Matten, Lalla Mezghitane qui veille sur Jijel et Lalla Yemna inhumée au pic de la dent non loin de sa sœur Gouraya.
Dès son enfance, Lalla Gouraya reçut une grande initiation à la religion musulmane. Elle s’aperçut très vite qu’elle avait le don de la prophétie et qu’elle pouvait conjurer les périls. En 1510, elle fut témoin de la période historique la plus douloureuse et la plus destructrice pour Bejaia, à savoir la prise de la ville par les Espagnols. Elle entra en résistance et donna espoir aux Kabyles. Après la libération de la ville, Lalla Gouraya alla s’établir au sommet de la montagne qui domine la ville. Elle se dressa une Kheloua et se livra aux pratiques de la vie érémitique. Les Bougiotes virent en elle une sainte aimée de Dieu et ne cessèrent de la solliciter: « A Yemma Gouraya guelaa`nayam! ».
A sa mort, Lalla Gouraya a été inhumée dans une Koubba (Mausolée) qui deviendra un lieu de Ziara (pèlerinage) pour toute la population de la Kabylie, et au delà. C’est ainsi que depuis le XVIème siècle Yemma Gouraya est devenue la gardienne de la ville. Le Mausolée de Yemma Gouraya sera détruit par l’armée française en 1833. Ce n’est que dans la deuxième moitié du XIXème siècle que les autorités coloniales autorisèrent la population à accéder de nouveau au sommet et la Ziara pu reprendre jusqu’à nos jours.
Avec ses 99 Walis (Saints), Bejaia est considérée comme étant « la petite Mecque ». L’une des légendes les plus célèbres a un rapport avec le saint protecteur des marins, Sidi Abdelkader an-Nedjar (XVIIIème siècle), aujourd’hui inhumé au Fort de la Mer (brise de mer). « Un jour, Sidi Abdelkader avait pressentit l’arrivée d’immenses vagues qui viendraient détruire Bejaia. Il fit alors appel aux autres saints de la ville pour l’aider à les repousser. Cependant, aucun d’entre eux ne put y faire face. C’est alors qu’il fit appel à Yemma Gouraya qui monta en haut de la plus haute colline (de Bejaia) pour protéger la terre tandis qu’Abdelkader protégeait la mer ». C’est pourquoi on dit que Bejaia est protégée à jamais.
Aujourd’hui des incendies ravagent le nord de l’Algérie y compris la ville des 99 saints. Les collines boisées, hier couvertes de verdure , ne sont plus que des monticules noirâtres où se dressent les sombres squelettes d’arbres… Cependant Dieu fait bien les choses, les forêts disposent de capacités de résilience ; après un incendie , elle peuvent se reconstituer. Les espèces refont rapidement leur apparition et leur diversité dépasse en quelques années seulement celle de la forêt initiale.
Héritiers du passé, nous sommes aussi les gardiens pour l’avenir ! Cela signifie que nous avons des responsabilités importantes à l’égard de cet héritage et que nous sommes entièrement et profondément responsables à l’égard des générations futures. Protégeons la Terre !
Source de la Légende : Parc National de Gouraya – Bejaia
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Ingrédients :
2 feuilles de brick
4 cuillères à soupe de fromage à la crème light
2 cuillères à café de fromage frais 0% à l'ail et fines herbes
1 blanc d’œuf
3 cuillères à soupe d'huile d'olive
sel, poivre
Préparation :
Dans un saladier, mélangez le fromage à la crème, le fromage frais, du sel et du poivre.
Coupez les feuilles de brick en bandes.
Placer 1 c. à café de mélange de fromages à l'extrémité de chaque bande.
Pliez les bandes en triangle.
Badigeonnez les bricks avec le blanc d'oeuf pour coller les extrémités
Faites chauffer l'huile dans une poêle. ( mais idéalement le cuire au four afin qu'il ne soit pas trop calorique )
Faites cuire les bricks 4 minutes de chaque côté jusqu'à ce qu'elles soient bien dorées.
Laissez tiédir puis servez sans attendre à l'apéritif ou en entrée (voire plat) déposé sur un lit de salade.
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