Une journéée spéciale kabyle au parc Beyrouth 19 Janvier 2016 Musique, concert, spectacle
Une journéée spéciale kabyle le samedi 23 janvier 2016
#yaneyer
#jardin_beyrouth (telemly) a partir de 11h à 16h
*lazemalna des filles avec des tenues kabyles..
9a3da chabaa avec les chanteurs et guitaristes dyalna... plus shooting photos..etc
Marhba bikom
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Quiche aux poireaux légère18 Septembre 2020
La mendicité gagne du terrain en Algérie, notamment dans les grandes villes, où vieux, jeunes et enfants, sont nombreux à tendre la main. Le phénomène est en passe de se banaliser aux yeux des citadins, habitués à des dizaines, voire des centaines d’individus, implorant de l’aide à chaque coin de rue.
Certains citoyens s’apitoient sur le sort de ces mendiants, d’autres croient, dur comme fer, qu’ils en font un commerce qui leur permet de bien gagner leur vie. Vrai ou faux mendiants ? Les autorités publiques promettent d’enquêter et tenter de régler ce véritable problème de société.
En fait, la ministre de la Solidarité nationale et de la Condition de la femme, Mounia Meslem, répondant, avant-hier, à une question d’un député, a affirmé que «des enquêtes seront menées sur le terrain pour mieux comprendre et endiguer le phénomène de mendicité». L’oratrice a précisé que l’identification de ce phénomène «exige une action académique et des enquêtes sur le terrain menées par des organismes et experts spécialisés afin d’en définir les causes».
Ajoutant que «les résultats attendus devront nous éclairer sur les moyens qui permettront de faire une distinction entre les mendiants du fait de la pauvreté et ceux qui en font un métier». Selon l’oratrice, une étude nationale est actuellement menée par le secteur de la solidarité nationale pour la collecte de données détaillées liées à cette problématique pour la période 2015-2019. Si les déclarations de la ministre se veulent plutôt rassurantes, véhiculant une vision quant au règlement progressif du problème, il est toutefois à rappeler que l’Etat accuse un grand retard dans la prise en charge de ce phénomène.
Il y a quelques années, l’on parlait déjà d’une loi interdisant la mendicité. Depuis, rien n’a été fait et le nombre de mendiants n’a cessé d’augmenter. De nos jours, l’on rencontre des familles entière, parfois des mineurs livrés à eux mêmes faire la manche à quelques mètres seulement du siège de l’APN et de bien d’autres institutions officielles. Ce qui démontre le laisser-aller des autorités publiques et le peu d’intérêt accordé à ces individus, qu’ils soient vrais ou faux mendiants.
D’ailleurs, de nos jours, l’on n’hésite pas à qualifier Alger de capitale de la mendicité. Face à cette situation, la ministre de la Solidarité a indiqué qu’il faut engager une concertation et coordination entre tous les secteurs, rappelant le projet de loi de protection de l’enfance qui permettra de prendre des mesures pour protéger cette frange de la société et certains articles du Code pénal qui criminalisent la mendicité en utilisant des enfants. L’ampleur du phénomène, la forme et méthodes adoptées sont «étranges à notre société», notamment à la lumière de la politique sociale en faveur des catégories à faibles revenus, a fait remarquer Mme Meslem.
Une déclaration qui suscite néanmoins moult interrogations. L’argent de l’Etat bénéficie-t-il aux personnes qui sont réellement dans le besoin ? Si c’est le cas, les pensions accordées sont-elles en mesure de subvenir aux besoins des concernés ? En tout état de cause, trouver une solution urgente est plus que souhaitée, sachant que des enfants, des femmes enceintes et des personnes âgées et à bout de force passent leurs journées dans la rue et seraient même exploités par des réseaux spécialisés dans la mendicité.
source : lesdebats.com
Hayet Aït Lounis, une femme boulangère de la commune d’Aghribs à Tizi Ouzou, a remporté le premier prix du concours de boulangerie Saf Challenge, qui s’est déroulé en Côte d’ivoire, selon les résultats rendus ce mercredi 29 janvier 2020 par Lesaffre-Instant. Elle est ainsi sacrée meilleure boulangère d’Afrique, rapporte radio Tizi-Ouzou.
Elle a représenté l’Algérie au concours international africain des boulangers, organisé par le groupe français Lesaffre-Saf-Instant à Abidjan, en Côte d’Ivoire.
Sur le site Lesaffre-Instant, on lit que le candidat qui remporte le premier prix de ce concours devrait empocher un chèque de 50 000 euros; bénéficier d’un Relooking de boulangerie; d’un an de levure gratuite et d’une formation personnalisée.
En plus de la jeune boulangère algérienne, les neuf autres candidats finalistes sont : Eric Lavergne-saf (Madagascar), Florent Kouadio Yao (Côte d’Ivoire), Jean Mark Konan (Côte d’Ivoire), John Munyambu (Kenya), Lahiru Prasad Liyanage (Sri Lanka), Lamine Niang (Gambie), Meeday (Nigeria), Samson Tulu Ayano (Ethiopie) et Tameru Asres Besha (Djibouti).
Déroulement du concours
Le concours en question s’est déroulé en deux phases. La première s’est déroulée du 30 septembre jusqu’au 19 octobre dernier. Durant cette première phase, pour participer, les prétendants devaient créez un compte sur l’application Saf-instant pour accéder au règlement et modalités du concours, explique l’organisateur sur sont site web, puis, poster sur l’application Saf-instant « votre rêve de boulanger » en vidéo durant la même période.
Théâtre d'objet - Théâtre d'Illusia " La marionnette dans tous ses états"
à partir de 6 ans. Temps fort jeune public
Les marionnettes à fils, à gaine, à tige ou encore des objets insolites, le théâtre d'Illusia propose de découvrir la variété du monde de la marionnette. Les marionnettes traditionnelles d'Asie comme la marionnette à fils de Birmanie ou les marionnettes à gaine de Taiwan vont sortir de la collection de la compagnie pour rejoindre des marionnettes contemporaines créées par Marja Nykänen et Jean-Christophe Canivet.Avec plusieurs extraits de spectacle, la compagnie présentera son univers poétique avec les textes de Mohamed Kacimi ("Cette nuit autour du puits ou les Enigmes de la reine de Saba" et "l'Histoire des Oiseaux qui Voulaient Connaître le Bout du Monde") ainsi que des scénettes de manipulation avec des musiques originales. Laissez-vous surprendre… les illusions d'Illusia sont magiques!
Avec les musiques originales de Keyvan Chemirani et Sanna Salmenkallio et des textes de Mohamed Kacimi
www.theatre illusia.com
L’îlot z’enfants parc d'attractions familial proposant plusieurs activités sportives telles que le trampoline , tir à l'arc , aquagym...motricité pour les plus petits propose un programme riche durant la première semaine des vacances scolaires 2019
Le parc qui se situe sur l’ avenue principale de rouiba vers ain taya (à 50 m du barrage de police et de speedy )
propose également un espace buvette et un coin restauration.
Le programme de la semaine :
Lundi 23 décembre 2019 de 10h a 11h30 : séance baby gym 6 mois / 2 ans : séance découverte gratuite ( présence obligatoire d un des 2 parents ) le parent pratique avec le bébé.
Mercredi 25 décembre 2019 de 10h a 11h30 : séance baby gym 3/5 ans : séance 700 dinars .
Possibilité de prendre au mois avec tarif degressif .
Les séances de baby gym sont dispensés par un coach sportif .
Nous serons ouverts tous les après midi de 15h a 18h au public en seance libre
Pour les séances de baby gym
Veuillez reserver par téléphone car les places sont limitées a 7 enfants.
Téléphone : 0783231594
Ingrédients :
Poireaux4
Pâte feuilletée 1 rouleau
Oeufs 2
Crème liquide allégée 1 brique
Muscade
1 pincée
Sel, poivre
Préparation de la recette : quiche aux poireaux légère
Préchauffez votre four à 180°C. Faites précuire la pâte feuilletée recouverte de billes de cuisson pendant 10 minutes.
Faites cuire les poireaux coupés en tronçons 15 minutes à la vapeur.
Battez les œufs, la crème allégée et la pincée de muscade, salez et poivrez à votre goût.
Répartissez les poireaux égouttés sur la pâte précuite et versez par-dessus le mélange œufs-crème. Enfournez la quiche aux poireaux légère pour 35 minutes.
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