
Le curcuma est appelé aussi haldi. En Inde, cette épice constitue la base des masques que s'appliquent les futures épouses la veille de leurs noces, on l'utilise aussi lors des cérémonies religieuses.
La peau est rayonnante. Antiseptique, le curcuma clarifie le teint tout en adoucicant la peau.
Le yaourt, vivifiant, contient de l'acide lactique qui contribue à débarrasser la peau du sébum et des bactéries tout en hydratant. Il a également un effet tonifiant et resserre les pores. Utilisé, régulièrement, il rééquilibre le taux d'acidité et peut ainsi éviter l'apparition de boutons.
Ingrédients
- 1 cuillère à soupe de yaourt ou crème fraiche
- 1 cuillère à soupe de curcuma
Après avoir mélangé les ingrédients, appliquez la préparation sur le visage ou le corps. Quand le masque est sec, rincez à l'eau tiède.
Ce masque indien rend la peau douce, rayonnante, et lumineuse. Il est idéal pour les peaux mates ou bronzées car il colore légèrement le teint et ravive le bronzage. Il fait disparaitre les tâches sur la peau.
Lors de l'application, nous vous conseillons de prévoir des gants car le curcuma jaunit les doigts.

Ingrédients:
1 grosse pomme de terre cuite
1 petite boîte de de thon au naturel égouttée
1 oignon émincé sauté
2 oeufs durs hachés
Une poignée de câpres dessalées ou d’olives émincées
1 oeuf
Fromage type kiri 2 à 3 portions ou bien du fromage râpé
Persil haché
Poivre du moulin
Piment en poudre
Sel
Feuilles de brick
Préparation:
Dans un saladier écrasez la pomme de terre cuite à l’eau, lui rajouter le thon émietté, les oeufs râpés, les câpres ou les olives, les oignons que vous aurez fait revenir dans un peu d’huile, le sel, le poivre un peu de piment si vous aimez et le parsil haché. Rajoutez le fromage puis l’oeuf, bien mélanger.
Formez des cigares,des triangles ou des enveloppes si vous préférez. Faites-les frire dans un peu d’huile chaude ou si vous préférez les faire cuire au four.
L’ambassade de France vient de démentir, ce mercredi 20 mars, l’information selon laquelle, le consulat de France en Algérie a suspendu la délivrance des visas aux ressortissants algériens.
« En réponse à une information mensongère et farfelue, le consul général de France à Alger dément
formellement les propos qui lui sont prêtés et confirme que les consulats généraux d’Alger, Oran et
Annaba n’ont pas suspendu la délivrance des visas aux ressortissants algériens. », indique le communiqué dont Interlignes Algérie une copie.
inter-lignes.com

Le “médicament” fantaisiste du docteur Zabibat continue de soulever la controverse. Lors d’un séminaire organisé dans la wilaya de Relizane par la Fédération nationale des associations de diabétiques (FNAD), il a été convenu que ce produit ne représente nullement les caractéristiques d’un médicament actif.
C’est une véritable guerre contre les préjugés qu’est en train de mener actuellement la FNAD. L’organisation tente tant bien que mal d’expliquer que la molécule développée par le Dr Zaibat n’est pas un médicament, mais un simple complément alimentaire. M. Noureddine Boucetta, président de cette organisation, a souligné que le Dr Zaïbat lui-même s’est rétracté lors d’une sortie médiatique pour parler de complément alimentaire et non de médicament.
La démarche de cette organisation semble être motivée par une volonté de démystifier l’aspect salvateur de cette découverte dont les effets curatifs sont attendus par plusieurs millions de patients, la tâche est ardue, disent-ils, car l’amalgame est bien entretenu.
Rappelons que l’annonce en grande pompe de la découverte d’un médicament miracle contre le diabète par le Dr Zaïbat, “scientifique” totalement inconnu dans les cercles spécialisés, a provoqué de vifs débats sur la scène médiatique nationale. Après avoir fait face à de sérieuses critiques de la part de la communauté scientifique et une pression médiatique insoutenable, l’auteur de cette découverte s’est rétracté en déclarant qu’il n’a jamais parlé de guérison ni de médicament, mais de complément alimentaire.
source : algerie-focus.com

Dans les oasis de Ate Izjen (Beni-Isgen), du Ghoufi (Batna) et du Ghout (El Oued) en Algérie, l’APEB favorise la valorisation les dattes de basse qualité en vinaigre. Par les effets du changement climatique, les rendements de datte sont en baisse depuis plusieurs années. La situation n’allant pas en s’améliorant, il a fallut trouver des alternatives de revenus pour les oasiens, comme la transformation des dattes en vinaigre.
L’APEB vous présente en video comment valoriser des produits déclassés comme les dattes, en faisant une bonne pratique oasienne en Algérie.La vidéo est réalisé par le RADDO et PALMVISION et avec le soutien de l’AFD.
Vidéo : https://youtu.be/owZhxLi9QuA
source : nessahra.net
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