
Dans cette équation à plusieurs inconnues, les parents jouent aux équilibristes pour rester dans leur budget et offrir à leurs enfants scolarisés des produits qui ne nuisent pas à leur santé. Oui, les temps ont changé, il faut regarder l’étiquette du produit avant d’acheter. Ces produits peuvent contenir des produits toxiques. C’est l’association de protection et orientation du consommateur et son environnement de la wilaya d’Alger (APOCE) qui tire la sonnette d’alarme sur le danger qui guette les enfants scolarisés à travers des produits ne répondant pas aux normes.
Le marché est inondé ces jours-ci avec des articles scolaires de différentes marques et provenances et à des prix défiant toute concurrence pour certains d’entre eux. C’est pourquoi l’APOCE met en garde les parents contre cette tentation de vouloir faire des économies en optant pour des articles pas chers et qui peuvent s’avérer dangereux pour la santé de leurs enfants. Des tabliers contenant des produits chimiques inflammables, des protège-cahiers comportant du plomb, des gommes et des pâtes à modeler ainsi que de la colle faits avec des produits toxiques ou des métaux lourds et des effaceurs qui peuvent provoquer des allergies. Voilà ce qui est exposé sur les étals à des prix très abordables mais qui peuvent avoir des conséquences graves sur la santé de l’enfant.
Le président de l’APOCE, Zebdi Mustapha, contacté hier, a expliqué qu’il y a des normes internationales à respecter et qui doivent être appliquées en Algérie afin d’éviter l’importation de produits non conformes. Il a ajouté que plusieurs parents se sont plaints à l’association à propos d’articles scolaires dangereux vendus sur le marché. L’association recommande de ce fait d’opter pour l’achat de produits de qualité dans des magasins contrôlés. M. Zebdi souligne dans ce sens que les articles scolaires doivent être soumis à des contrôles de laboratoires afin d’identifier la provenance du produit et s’il est nuisible ou non. Mais le plus grand problème demeure l’attribution des autorisations de commercialisation de ces produits, selon le président de l’APOCE, ce qui donne libre champ à l’introduction à travers les frontières de marchandises ne répondant pas aux normes au détriment de la santé des enfants.
Comme moyen de prévention, la direction de la santé d’Oran avait lancé l’année dernière une campagne de sensibilisation à travers la radio locale sur le danger de certains articles scolaires tels que la colle, les effaceurs, les crayons noirs, la pâte à modeler dont des composants chimiques étaient néfastes pour la santé. Quant à l’association, elle a mené une campagne de sensibilisation à travers les réseaux sociaux et estime que la meilleure prévention est entre les mains des parents qui doivent vérifier chaque article avant d’acheter et ne pas céder à la tentation des prix choc.
source : Lequotidien-oran.com

La grogne populaire ne tarit pas en Algérie. Des centaines de citoyens sont sortis ce soir dans plusieurs localités à travers le pays dès l’annonce officielle du dépôt du dossier de Adelaziz Bouteflika au niveau du Conseil constitutionnel. Des rassemblements ont notamment lieu à Alger, Tizi-Ouzou, Béjaia, Guelma, Boumerdes et Bordj Bou Arreridj. Les manifestants expriment leur colère à la suite de cette nouvelle.
Le froid et la nuit tombée n’ont pas découragé les milliers d’Algériens venus crier leur mécontentement après la lettre adressée par Abdelaziz Bouteflika au peuple algérien.
À l’est du pays, à Guelma, Sétif, Constantine, Bordj Bou Arreridj et Skikda entre autres, les manifestants sont sortis en grand nombre afin d’afficher leur ras-le-bol du système en place. Certaines sources nous affirment également que la capitale Alger vit des manifestations nocturnes similaires.
Même constat en Kabylie. À Béjaïa et Bouira, des centaines de personnes se sont rassemblés pour dire non à la « continuité » et dénoncer le régime. Plusieurs vidéos de ces manifestations sont échangées sur les réseaux sociaux. À Tizi-ouzou, ce sont les étudiants de l’Université Mouloud-Mammeri qui sont sortis marcher dans les rues de la ville et faire entendre leur message.
Rappelons qu’en ce samedi 3 mars, le Président Abdelaziz Bouteflika a adressé une lettre au peuple algériens, s’exprimant sur sa candidature à la prochaine élection présentielle d’avril 2019 et promettant qu’il ne mènerait pas son mandat à terme s’il est élu.
Un chercheur algérien, Said Bouhalal, de l’université de Sétif a mis au point une technique qui consiste à régénérer les déchets en plastique à leur état initial en grains de polymères, a indiqué mercredi 17 mai 2017 le directeur général du Centre national de développement des énergies renouvelables (CDER), Noureddine Yassa.
Il 'agit d’une opération de transformation et non pas de recyclage, permettant de régénérer des tonnes des déchets en plastique à la phase initiale de la matière première, à savoir la polymère, une matière essentielle dans l’industrie de plastique, a-t-il précisé sur les ondes de la radio nationale.
Cette solution permettra également de préserver l’environnement et les ressources conventionnelles, a-t-il précisé.
Selon lui, 95% des déchets en plastique dans le pays finissent par êtres incinérés, ce que dégage des émissions "très nocives" pour la santé, l’environnement et notamment la couche d’ozone, et provoque des dégâts sur les écosystèmes. "Mais avec cette technologie innovatrice, les déchets en polymère peuvent être régénérés sans externaliser du pétrole", a-t-il fait savoir
Pour rappel, le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l`Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Hafid Aourag, avait considéré cette innovation comme solution qui va révolutionner le monde des énergies renouvelables, avançant que cela offrirait une alternative fiable et rentable sur les volet économique et environnemental.
source : huffpostmaghreb.com
Ménopause : la sauge salvia officinalis alliée des bouffées de chaleur, et des troubles de l’humeur
Pendant la période de la ménopause, les ovaires produisent graduellement moins d'estrogènes, résultat : votre corps voit apparaître des symptômes tels que la sécheresse de la peau, la prise de poids, les bouffées de chaleur, et les changements d’humeur.
Justement arrêtons nous sur les deux derniers syndromes de la ménopause, réputés pour être les plus dures à supporter : les bouffées de chaleurs et les changements d’humeur.
Savez vous qu’il existe une plante qui régule en même temps les troubles de l’humeur et les bouffées de chaleurs ? Grâce à laque vous allez pouvoir reprendre une vie normale, sans être submergées par vos émotions et des sueurs nocturnes.
Eh oui, cette plante en question s’appelle la sauge el salmia enarabe السالمية, elle étaitutilisée en phytothérapie dans l’Égypte et la Grèce ancienne, à l’époque de l’Empire romain jusqu’au Moyen-Âge.
Elle a été Surnommée par les romains « l’herbe sacrée » ,d’ailleurs ce n’est pas un hasard si l’origine du mot sauge vient du latin ‘’salvare’’ qui veut dire ‘’sauver’’.
En produisant des phyto-œstrogènes c’est-à-dire des œstrogènes végétaux, la sauge aide à rééquilibrer les mécanises de contrôle de la température corporelle, c'est-à-dire aide à réguler la transpiration, et à réduire la fréquence des bouffées de chaleur.
Elle possède également des propriétés calmantes et vous aidera à réguler les troubles d’humeur qui surviennent à la période de la ménopause.
Comment la consommer ? Et où l’acheter ?
La sauge Se vend en pharmacie en forme de gélules, ou en tisanes chez votre herboriste.
Si vous préférez la consommer en tisanes, voici comment la préparer :
Faites bouillir un litre d’eau, mettez 3 poignets de feuilles de sauge, laissez infuser durant 10 à 15 min, puis laissez refroidir.
Prenez une tasse 3 fois par jour en cure de 3 semaines.
Précaution d’usage :
Par précaution, la sauge est déconseillée aux personnes ayant des antécédents de cancer du sein, les femmes enceintes ou qui allaitent ainsi que les personnes souffrant d’épilepsies.
IMPORTANT : afin d’éviter toute interaction médicamenteuse, veuillez demander conseil à votre pharmacien, ou à votre médecin.
ED
image : pratique.fr
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.