
Cela fait plusieurs semaines que des élèves de troisième année secondaire du lycée Frères-Ziani de Tizi n Braham, au nord de la wilaya de Sétif, bénéficient de cours de soutien en langue et littérature françaises à la bibliothèque municipale de la localité. Jusque-là, l’information peut apparaître anodine, cependant l’insolite, c’est que lesdits cours sont assurés à titre gracieux par le directeur d’une école primaire de la commune.
Merrar Yazid, directeur de l’école primaire Ziani-Messaoud (sud), ancien professeur de langue française, s’est porté volontaire pour aider les lycéens qui passeront le baccalauréat dans quelques jours. Cela se passe au moment où des professeurs et autres universitaires qui assurent des cours de soutien exigent des tarifs parfois exorbitants et qui ne sont pas à la portée des parents.
Source : journal liberté

Les travailleurs chinois étaient hier à l’oeuvre. Ils nettoyaient les alentours de la mosquée d’Ihadaden, l’une des plus grandes de la ville de Béjaïa.
Cela peut paraître bizarre pour certains, mais c’était hier une réalité à Béjaïa. L’action chinoise s’inscrit dans la dynamique initiée par le nouveau wali depuis son arrivée. Les samedis propres se poursuivent à Béjaïa. Les entreprises publiques et privées y sont impliquées aux côtés de citoyens des quartiers pour redonner à Bejaia son éclat. Les entreprises chinoises, avec leurs ouvriers, s’y invitent. Hier, ils étaient au grand quartier d’Ihhaddaden. D’autres entreprises battent le rappel de leurs «troupes» chaque samedi et cela fait un mois que ce bénévolat dure, faisant de la ville de Béjaïa chaque jour un peu plus propre.
Hier, le quartier de Sidi Ali Lebhar a été nettoyé également. Les habitants de cette cité s’y sont impliqués et «sont priés de bien vouloir préserver les lieux et apporter leur aide à nos agents de nettoyage», lit-on dans la communiqué de la cellule de communication de la wilaya de Béjaïa. L’opération de nettoyage des quartiers ainsi que le curage des oueds qui traversent la ville de Béjaïa initié par le wali, se poursuivent. Hier encore, plusieurs engins ont été à l’oeuvre. Une opération qui suscite chaque week-end un engouement. Ses répercussions sont telles que l’on n’hésite plus à y prendre part. Dès son installation à la tête de la wilaya de Béjaïa, Ahmed Maâbed, qui avait fait de la situation de l’hygiène au niveau de la wilaya son cheval de bataille, a provoqué une dynamique qui s’est traduite sur le terrain par une série d’actions de nettoyage de la ville de Béjaïa.
Depuis, la journée de samedi n’est pas celle de repos et de farniente, mais celle d’une journée de volontariat. Les directions de l’exécutif de wilaya ainsi que les communes ont été instruites pour l’amélioration du cadre de vie des habitants des quartiers et des cités de la ville de Béjaïa. Répartie en 19 zones, la commune du chef-lieu fait sa toilette hebdomadaire. Pour la direction des travaux publics, son intervention se déroule sur les différents axes routiers en étroite collaboration avec les entreprises tant privées que publiques et la population. L’exécutif, les entreprises publiques et privées, les élus des l’APC ainsi que le mouvement associatif et des habitants s’associent dans un élan qui n’a de valeur que de débarrasser Béjaïa de son insalubrité.
En attendant que l’Epic communal et les projets de réalisation de Centres d’enfouissement technique à travers les différentes communes de la wilaya voient le jour, l’heure est au bénévolat. Il reste à espérer que tout un chacun fasse de son mieux pour que l’action de protéger cet environnement dans lequel nous vivons, se concrétise. Il reste aussi à espérer que les édiles versent dans la réflexion pour situer les problèmes et dégager des solutions définitives pour éradiquer cette saleté. Il suffit de voir ce qui se passe dans les wilayas voisines pour se situer et envisager des actions autres que celle du volontariat, qui demeurent provisoires et tout juste faites pour parer au plus pressé.
Lexpressiondz.com
La peau est plus souvent agressée en hiver à cause des variations de température, de la chaleur à l’intérieur des maisons mais également à cause du vent qui la fragilise. De plus, il faut avouer que l’on s’occupe moins de soi en hiver, on a tendance à oublier notre bonne routine beauté et dès que l’occasion se présente on n’hésite pas à rester sous la couette le plus longtemps possible en mangeant des aliments bien gras et sucrés, mais bonne nouvelle ce n'est pas de notre faute, c’est notre organisme qui le réclame, comme le précise le site futura-sciences.com : « Lorsque les températures descendent, nous dépensons plus d'énergie pour maintenir notre chaleur corporelle à ses 37°. Un constat qui peut nous encourager à manger plus et à manger plus gras, surtout. pourtant, s'il n'est pas interdit d'augmenter un peu notre consommation de matière grasse en hiver - lorsque la météo est rude, il faut savoir se faire plaisir … il est conseillé tout de même de la limiter, comme à n'importe quel moment de l'année » … ouf nous voilà rassuré !!!
Mais, quand bien même notre organisme est ainsi fait ce n’est pas une raison de trop l’écouter, on se remotive et commence à chercher une solution pour sortir du lit et s’occuper de soi. Et heureusement que l’équipe zeinelle est là pour trouver un super bon plan pour vous chouchouter et booster l’éclat de votre peau.
Qui dit bonne mine et booster l’éclat du visage dit automatiquement soin à la vitamine C, mais pourquoi particulièrement un soin à la vitamine C en hiver ?
Car la vitamine est une référence dans la grande famille des antioxydants, elle est naturellement présente dans la peau, elle prévient certains signes de l’âge sur le visage et limite l’apparition des rides, elle permet également de lutter contre le stress oxydatif et les radicaux libres provoqués par ces derniers.
Intégrée dans un soin pour le visage elle booste l’éclat du teint, lisse le grain de peau et donne une mine éclatante, ce qui lui vouerait d’être élu le soin anti grise mine de l’hiver.
Maintenant vous savez ce qu'il vous reste à faire, un soin à la vitamine C à la maison ou en institut fait par des professionnels de la beauté.
Ou faire un soin du visage à la vitamine C ?
Anaros institut
Adresse :
318 cooperative moustakbel Dely Ibrahim
0542 38 41 60
Esma Djigouadi


La Ferme Pédagogique de Zéralda organise les 14 - 15 - 16- 17 OCTOBRE 2021
Le #Grand_Marché du #Mawlid_Ennabawi_Echarif
Au programme :
Expo-vente des produits du terroir et de l’artisanat local
Plusieurs ateliers pédagogiques destiné aux enfants
#atelier_fromage
#atelier_jardinage
#atelier_dessin_sur_verre
#atelier_Poterie
#atelier_dessins_sur_bougie
ITN (International Talent Network), Cabinet de conseil en recrutement & formation à l’international, fondé en 2014 par Amina KARA et Marie Aude LABROSSE, a organisé samedi 31 janvier, pour la première fois en Algérie « Kafaat to come », un évènement unique en son genre.
Les membres du cabinet ITN sont parties du constat qu’il existe en Algérie un besoin de personnel formé aux méthodes de travail au standard international, maîtrisant parfaitement au minimum deux langues étrangères avec une capacité de s'adapter à un environnement multiculturel. C’est pourquoi, le cabinet s’est spécialisé dans la sélection de talents algériens localisés à l’étranger.
L’événement « Kafaat to come 2015 » organisé par ITN a pour but principal de mettre en contact des entreprises nationales et multinationales, avec de jeunes cadres diplômés dans les plus grandes écoles internationales.
Plusieurs entreprises ont répondu présents à cet appel, dont Djezzy, Schneider electric, Faderco, Cevital, Icosnet, Renault, NCA Rouiba, Société Générale Algérie, Citi bank, AD Display, Ardis, Allégorie group…, une occasion unique pour ces entreprises de tisser un solide réseau professionnel ,et de récupérer les CV d’ Algériens ayant une expérience et une expertise internationale.
Durant cet événement qui a duré toute la journée de samedi, un riche programme de conférences –débats a été proposé aux participants et visiteurs autour de plusieurs thématiques, « Des retours des compétences internationals du monde : idées reçues », « Attirer et intégrer les profils internationaux dans l’entreprise : ce qui marche ».
Plusieurs personalités marqué de leur présence l’événement Kafaat to com, dont : La Ministre de la Poste, des technologies et des télécommunications, Houda-Imane Faraoun, le PDG de NCA Rouiba : Slim Othmani, la Sénatrice de Paris Leila Aïchi, la première femme algérienne membre conseil d’administration dans le CAC 40,Aicha Mokdahi, Soraya Roumi, le créateur des marques Baliston et Glagla Shoes des chaussures uniques et connectées, Karim Oumnia , le militant syndical et associatif et homme politique français Karim Zeribi,le Conseiller municipal de Marseille, la journaliste chez BFM TV Neila Latrous, le Rédacteur en Chef de Beur FM Abdelkrim Branine, la Directrice Ressources Humaines de Société Générale Soraya Roumi, le grand artiste Safy Boutella, ainsi que le chorégraphe de renom Kamel Ouali.
Ces personnalités invitées par « Kafaat to come » ont fait de brillantes interventions et donné de précieux conseils aux jeunes participants algériens étblis à l’étranger ,quant à l’attitude et l’état d’esprit à prévilègier s’ils veulent rentrer travailler en Algerie.A retenir le la recomandation très pertinente de Mr Slim Othmani PDG NCA Rouiba aux jeunes , de ne pas faire l’erreur d’attérir en super star dans les entreprises algériennes, au risque de perturber toute la stabilité de l’entreprise.
Ou encore l’intervention très remarquée du chorégraphe Kamel Ouali, qui encourage vivement ce type d’intiative dont le but est aussi d’aider les jeunes Algériens locaux à travailler en synergie avec les Algériens qui possèdent expérience internationale,afin de ressortir le potentiel humain, et créatif qui sommeille en chaque personne determinée à reussir dans son propre pays.
Cerise sur le gateau, l’événement s’est clôturé avec le spectacle d’un jeune humouriste « Reda Saddiki », mêlant humour et d‘intelligence, qui a tellement séduit et touché les participants ,qu’une « stand ovation » lui a été réservée à la fin du spectacle, des applaudissement qui l’ont emu jusqu'aux larmes.
Nous souhaitons à ce jeune humouriste une carrière aussi brillante que celle de Djamel Debbouze ou Gad elmaleh !! Yes you can Reda :-)
ED


Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.