Confiture de coing aux épices 14 Mars 2016 recettes cuisines et chroniques culinaires
- 2 clous de girofle
- 1 bâton de cannelle
- 1 morceau de gaze
- 1 étoile de badiane
- eau
- 2 citrons
- 300 g de sucre
- 2 gros coings soit environ 800 g
Étape 1 :
Épluchez et coupez les coings en 8 , mettez-les dans un saladier avec de l'eau et le jus d'un citron et demi .....
Réservez tous les pépins , ils vont vous servir pour la cuisson ....
Étape 2 :
Dans l'auto-cuiseur , mettez les tranches de coings , couvrez d'eau à niveau sur les coings . Fermez l'auto-cuiseur et quand la soupape siffle comptez 5 mn de cuisson .....
Étape 3 :
Ouvrez l'auto-cuiseur , ajoutez le sucre , le jus de citron , les épices et les pépins des coings lavés et mis dans de la gaze .....
Laissez cuire et mijoter le temps qu'il faut , les coings change de couleur au long de la cuisson ..... Du blanc , il vont passer à lune couleur rosée , de plus en plus foncée pour arriver à un bordeaux brillant ..... Les tranches de coings sont pratiquement confites , le jus est devenu gelée ......Les épices ont dégagées toutes leurs arômes ........
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Ils sont jeunes et doués. Ce sont de la graine de stars. De la matière grise. Celle de la jeune Algérie qui gagne. Ils s’appellent Manel, Iheb, Sarra, Ramdane, Oussama, Rayene, Kahina, Lunda, Fayçal, Narimane, Mounira…Pour ne citer que ceux-là. C’est une fine et dynamique équipe d’architecte de l’EPAU, l’Ecole polytechnique d’architecture et d’urbanisme d’Alger. Ils sont la «dream team» d’une jeune entreprise : StarryC. Des étoiles montantes. Pour ainsi dire une constellation s’inspirant de la fameuse œuvre de Vincent Van Gogh. C : Compagnie. Et ces étudiants de l’EPAU participent au concours d’entrepreneur lancé par Injaz El Djazair, avec l’entreprise StarryC. Ils effectuent des recherches portantes sur un matériau de construction dit le «ciment intelligent ». Parce que lumineux, écologique, durable et esthétique.
Starryc, est une jeune entreprise montée par des futurs architectes, ambitieux, motivés et passionnés de l’Ecole polytechnique d’architecture et d’urbanisme d’Alger, créée dans le cadre du parcours d’entrepreneur lancé par Injaz.
Leur cadre de référence est le domaine de l’éco-construction et le développement durable en mettant en valeur la richesse du Sahara algérien, ses ressources naturelles et ses paysages spectaculaires, par le biais de l’élaboration des matériaux plus respectueux de l’environnement. Leur objectif est de rendre les espaces extérieurs plus lumineux avec moins de consommation d’énergie électrique. Profiter de l’énergie solaire (plus de 3650 heures d’exposition au soleil en Algérie), ainsi qu’ajouter une touche artistique à nos murs, routes et tout l’espace extérieur du territoire algérien. Il s’agit de produits, en cours de réalisation, 100% durables, construits à base des matériaux naturels et d’autres recyclés.
UN CIMENT LUMINEUX, DURABLE ET ESTHÉTIQUE
Le premier produit, «le ciment lumineux (SC)», qui absorbe l’énergie solaire pendant la journée pour la transmettre en lumière artistique, illumine les espaces extérieurs durant la nuit. Ce produit se présente en deux types ; un type qui donne une lumière d’une couleur verte phosphorique (SCG) et un deuxième type donne une lumière d’une couleur bleu phosphorique (SCB). Ces lumières seront présentées sous les formes de vagues (Waves) rappelant les tableaux de Starry Night, donnant un effet spectaculaire, lumineux, beau à voir et propre. Le concept de cette entreprise s’inspire du tableau Starry Night (la nuit étoilée) de Vincent Van Gogh,
Le tableau représente ce que Van Gogh pouvait voir et extrapoler de la chambre qu’il occupait dans l’asile du monastère Saint-Paul-de-Mausole, à Saint-Rémy-de-Provence en mai 1889. Souvent présenté comme sa grande œuvre, le tableau a été reproduit à de très nombreuses reprises.
Contre la présence nocturne anormale ou gênante de lumière artificielle
Il est maintenant conservé dans le Museum of Modern Art (MoMA) à New York depuis 1941. Starry Night, donc, un tableau iconique, qui a pris dans ces derniers temps plus d’importance et devient de plus en plus intéressant pour la nouvelle génération d’artistes. Chacun de notre groupe de travail a une grande appréciation pour cette merveille, ce qui nous a inspirés pour chercher une méthode de le réaliser sur terrain, et profiter de son apparence et effet très attirant et amusant, le ciel étoilé. Ces recherches ne sont pas des palliatifs mais une alternative, une innovation.
A titre indicatif. Citons ces problèmes résultant d’un de vision optimale. La consommation d’énergie. L’Algérie produit 81.3TWh d’électricité, en progression de 6% en 2019 et de 89% depuis 2009, ce qui en résulte une énorme consommation d’énergie électrique, spécialement dans les espaces publics et extérieurs. La pollution visuelle. La présence nocturne anormale ou gênante de lumière artificielle dans les rues et les espaces extérieurs de la ville peut endommager la vue et ruine le moment spécial d’apprécier le ciel et la lune, ce qui rentre dans le non-respect de l’environnement.
L’absence d’éclairage. En Algérie, malgré la pollution lumineuse dans les cités ; les zones isolées, les autoroutes et les voies mécaniques dans le Sahara souffre de l’absence d’éclairage public, ce qui augmente le risque des accidents routiers avec plus de 1600 morts et 16 000 blessés en six mois en 2019. La RN1 ne possède aucun élément d’éclairage au Sud, ce qui est grave et dangereux, surtout pour les camions de marchandises qui voyagent au minimum deux fois par semaine. Sans oublier la majorité des jardins et places familiales, donc se balader en nuit est presque impossible.
Manque d’esthétique. Aujourd’hui dans l’urbain, il y a des façades et des ruelles qui se trouvent juste avec le ciment ou béton sur les murs, que ça soit par manque de moyens ou autres et d’après notre expérience à l’EPAU, qui ne possède aucun revêtement sur le béton, on a constaté que le ciment a un effet sombre et lourd qui peut être améliorer. La limite d’utilisation. Le ciment est un liant inorganique qui permettra d’assembler des éléments entre eux comme des briques, de faire des fondations ou bien l’étaler sur les murs, généralement quand on l’utilise, on voit la nécessité de le cacher ou l’entretenir plus avec un revêtement – peinture, céramique, pierre … – ce qui engendre plus d’argent à y mettre et plus de temps et effort.
source : el watan
ALGER - Une exposition des peintures innovantes avec une vision moderniste et des produits de l'artisanat traditionnel a été inaugurée samedi à Alger, laquelle combinera les techniques d'art de la mosaïque, de la sculpture sur bois, du tissage, de l'art de cour et de la poterie qui, tous, reflètent la diversité des éléments du patrimoine culturel de l'Algérie, à travers les œuvres de la plasticienne Laimache Amal et l'artisan créative Sahib Fazia.
Organisée par l'Agence algérienne pour le rayonnement culturel (AARC) à Dar Abdellatif à Alger, cette exposition met en exergue une cinquantaine d'œuvres d'art et combine, selon une vision moderniste, entre l'art de la mosaïque et les produits de l'artisanat traditionnel concernant la vie quotidienne dans la société algérienne tels les tapis, les paniers plats en alfa et les différents produits bio.
A cette occasion, la plasticienne Laimache Amal présente au public un ensemble de peintures artistiques appartenant à l'art de la mosaïque, avec une touche moderniste, en utilisant la pâte de verre qu'elle a transformée en visages et symboles qui s'inspirent des dimensions et de la beauté du patrimoine culturel algérien, africain et méditerranéen ainsi que de la calligraphie arabe.
De son côté, l'artisan Sahib Fazia propose une riche collection de peintures qui mêlent artisanat traditionnel et techniques modernistes dans une synthèse très élaborée, comme l'utilisation de lasers dans la conception des symboles de ses peintures inspirées des éléments de la culture amazighe.
L'artiste a en outre estimé que cette exposition était une occasion pour mettre en exergue ses créations qui reflètent son attachement au patrimoine culturel algérien et à son originalité, avec une touche moderniste.
Pour sa part, l'artiste Laimache Amal a affirmé son attachement à l'art de la mosaïque qu'elle considère comme "un héritage esthétique et authentique en Algérie" et qu'elle utilise pour concevoir ses œuvres puisées du patrimoine et de la beauté de la nature en Algérie.
L'exposition se poursuit à Dar Abdellatif jusqu'au 8 avril prochain. APS
Alors que le lancement de l’opération de remise des clefs est annoncé en grande pompe sur le site de l’Agence nationale pour l’amélioration et le développement du logement (AADL), plusieurs souscripteurs, parmi les bénéficiaires, sont déçus, voire choqués, quant à l’état des logements réceptionnés .
Ce sont notamment les bénéficiaires des deux sites de la nouvelle-ville Bouinane, 1000 et 2600 logements (Blida), qui se trouvent dans le désarroi suite au non-achèvement des travaux de raccordement en eau, électricité et gaz, ainsi que les travaux d’aménagement extérieur. C’est la raison pour laquelle ces souscripteurs demandent l’ouverture d’une enquête sur la situation de ces deux sites.
«L’opération des remise des clefs partielle a été lancée le 20 décembre. Depuis, les souscripteurs sont encore sous le choc. Plusieurs îlots ont été réceptionnés alors qu’ils sont inhabitables. Il reste encore des travaux à achever, tels le raccordement en eau et aux réseaux de gaz et d’électricité, sans parler de l’état des cités à l’extérieur», a déclaré hier au Jeune Indépendant Riadh, coordinateur des souscripteurs des sites en question.
Encore en chantier et sans bitume, les deux sites connaissent également l’entassement des immondices de débris et terre, qui se transforment en gadoue du fait des eaux pluviales et des engins en pleine œuvre, entravant ainsi les travaux de raccordement aux réseaux d’électricité et de gaz, précise notre interlocuteur.
De même, les habitants de certains îlots souffrent du manque de réseau d’assainissement, à l’image de l’îlot 28. Les protestataires pointent du doigt les entreprises de gestion et de réalisation ainsi que la direction de l’AADL. «Nous avons été voir le chef des projets pour qu’il nous donne des explications sur l’état de nos logements mais il n’y a eu que des promesses et rien n’a été fait.
L’entreprise de la nouvelle ville Bouinane, l’entreprise de réalisation turque et la direction de l’AADL se renvoient la balle et nous laissent livrés à nous-mêmes, sans solution», regrette ce souscripteur. Il a fait savoir que «l’entreprise de la nouvelle-ville Bouinane a été mise en place dans le but d’accélérer l’avancement des travaux au niveau des sites et de réaliser une nouvelle-ville selon les normes requises».
«Vu l’état lamentable de nos cités, nous nous interrogeons sur l’efficacité de cette entreprise sur le terrain et nous demandons la désignation d’une commission d’enquête», réclame-t-il au nom des souscripteurs. Selon les témoignages, l’AADL avait promis à ses clients «de livrer, en septembre dernier, ces projets complètement finis, y compris les travaux d’aménagement et les structures d’accompagnement (établissements scolaires, bureau de poste, marché, etc.)».
«Les travaux au niveau du site 2600 logements étaient à l’arrêt depuis plus d’une année, et après plusieurs rassemblements de protestation devant les sièges de l’AADL et du ministère de l’Habitat, on nous a promis de régler le problème définitivement au mois de septembre, mais il n’en fut rien», révèle Mohamed, un autre souscripteur.
Contacté par le Jeune Indépendant pour obtenir des explications quant aux préoccupations des souscripteurs, le directeur des projets n’a pas donné suite à nos sollicitations. Pour rappel, plusieurs sit-in de protestation ont été observés par les souscripteurs de ces deux sites bien avant la réception «partielle» de leurs logements en vue de réclamer l’avancement des travaux au niveau des bâtiments mais surtout l’évacuation des immondices constituant un vrai obstacle pour l’aménagement extérieur et l’installation des divers réseaux. Réceptionnés non achevés après tant d’années d’attente, les nouveaux logements, censés soulager la souffrance de milliers de familles, deviennent ainsi un véritable cauchemar.
jeune-independant.net
Eau de mer, chlore, soleil, vent dessèchent et ternissent notre chevelure, qui ressemble davantage à un filet de pêche qu’à une crinière de sirène. Si vous avez une coloration, ça peut virer à la cata complète. Investissez dans un masque ou une huile contenant un filtre UV (ou d’un indice KPF, l’équivalent pour les cheveux du FPS de la peau) et appliquez-le généreusement avant chaque exposition. Le soir, rincez à l’eau tiède avec quelques gouttes de vinaigre pour éliminer les résidus. Si vous avez les cheveux longs, rendez-vous service en les attachant dès que le mercure dépasse 25°C, vous limiterez les efforts de votre corps pour réguler sa température interne.
Malgré un retard considérable, le “E-paiement” ou paiement électronique est devenu opérationnel à partir de ce mardi. Ce mode de paiement ayant fait ses preuves dans d’autres pays est une nouveauté en Algérie. Voici tout ce qu’il faut savoir sur les tenants et aboutissants du paiement électronique dans notre pays.
C’est le ministre délégué chargé de l’économie numérique, Mouatassim Boudiaf qui a été chargé pour communiquer dans ce dossier. Plusieurs éléments permettant d’apprécier ce nouveau procédé ont été présentés lors de son passage ce mardi sur les ondes de la radio nationale la Chaîne III.
Selon lui, c’est plusieurs entreprises et onze banques qui vont assurer à leurs usagés le service de paiement électronique. “Il s’agit des six (6) banques publiques ainsi que cinq (5) banques privées”, explique le ministre. Ambitionnant de généraliser l’utilisation du E-paiement à tous les secteurs, M. Boudiaf a assuré qu’il est, dors et déjà, ouvert à aux grands facturiers, au secteur des transports et celui des assurances.
L’intervenant a également abordé le sujet de l’optimisation de ce service qui vise à s’étendre pour intégrer parmi ses usagés les clients de la Poste. À cet effet, Il a annoncé que les quelques sept millions de personnes disposant de cartes de paiement délivrées par les services de la poste pourront, à leur tour, être intégrés à ce type de cyber-paiement. Additionné au 1 300 000 bénéficiaires actuels, ce mode de paiement virtuel comptera dans une seconde phase plus de sept millions d’usagés.
Répondant à la question délicate de la sécurisation des transactions, M. Boudiaf a rappelé que la Banque d’Algérie s’est portée garante de la sécurité totale de ce mode de paiement. Les détenteurs de cartes de paiement disposant, selon ses dires, du numéro d’identification et d’un mot de passe. Le volet juridique a également été évoqué par le même ministre lequel a fait état de l’existence d’une loi qui serait en phase finale d’élaboration dont le but est de garantir un encadrement de tout type de transactions à caractère commercial sur internet.
source : algerie-focus.com
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