
Si le prix des soins est la seule excuse pour ne pas vous faire bichonner par une professionnelle dans un salon de beauté, voici un article qui va vous faire changer d’avis, pour moins de 2000 Da, vous pouvez enfin vous occuper de vous.
Que vous soyez étudiante ou que vous ayez un petit salaire, après avoir lu cet article, vous aurez ZERO EXCUSE pour ne pas vous occupez de vous ;-)
comme dirait Jim Rohn : « Prenez soin de votre corps. C’est le seul endroit que vous avez pour vivre ».
le premier soin en question c'est :
La réflexologie plantaire :
plus utilisée dans la médecine traditionnelle chinoise, la réflexologie des pieds possède de multiples vertus pour le corps et l’esprit, un massage doux que l’esthéticienne va effectuer pour vous libérer de vos tensions physiques et apaiser votre stress.
Dans la médecine traditionnelle chinoise chaque point situé dans la plante des pieds est relié à un organe vital de notre corps, raison pour laquelle pratiquer la réflexologie plantaire stimule notre auto guérison et nous maintient en bonne santé physique et psychique.
Prix en institut à partir de 2000 Da
Le modelage visage :
Teint terne, traits tirés, relâchement cutané, ne cherchez plus, nous avons la solution pour vous, ça s’appelle le modelage du visage, si nous en parlons souvent dans le magazine sur ces bienfaits, c’est parce que nous l’avons testé et nous sommes particulièrement conquis, un deux en un, un soin qui apporte détente et régénération (ou oxygénation) cutanée.
Prix en institut entre 1500 Da et 2000 Da
Massage du dos :
Il suffit de prononcer ce mot pour sentir une détente profonde envahir votre corps, ses nombreux bienfaits ne sont plus à présenter, atténuation de la douleur, réduction des tensions, assouplissement des muscles, pour ne citer que ceux-là.
Disponible dans quasiment tous les instituts, le massage relaxant et une valeur sure du bien-être et de la détente.
Prix en institut entre 1500 Da et 2000 Da
Vous savez ce qui vous reste à faire ;-)
E.D
Article associé :
On a testé le modelage du visage ( Pour un teint frais et reposé ) chez Beauty Lift de Sidi Yahia

ALGER- Les maladies chroniques sont à l'origine de près de 57% des décès en Algérie, dont 66% sont âgés de 30 à 69 ans, a révélé samedi à Alger, Pr. Soraya Belamri, responsable du Service des causes médicales de décès à l'Institut national de santé publique (INSP).
"Les données des fichiers nationaux de l'INSP font ressortir que les maladies cardiovasculaires, les tumeurs, les maladies respiratoires et endocriniennes sont les principales causes de décès en Algérie avec des taux respectifs de 22%, 13%, 6% et 4,5%", a précisé Pr Belamri dans son intervention à l'occasion du lancement par le ministre de la santé du "Plan national Infarctus Algérie".
"Les maladies non transmissibles (MNT) touchent près de 60% de sujets de sexe féminin tandis que le reste du taux touche les sujets de sexe masculin", a-t-elle expliqué ajoutant que les études de l'INSP ont montré que près de 60% des MNT causent le décès des sujets âgés de 30-69 ans.
Les maladies cardiovasculaires représentent 34% chez la catégorie sus-citée dont 36% chez les sujets de sexe masculin et 31% chez les femmes", relevant que les donnée de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) faisaient état de "15 millions de décès chez les sujets de 30-69 ans à travers le monde".
S'agissant de l'établissement des certificats de décès délivrés par les médecins au niveau des directions de la santé qui les transmettent à leur tour à l'INSP, il a affirmé que l'opération avait connu une grande amélioration durant les dernières années", relevant les carences qui subsistent notamment l'utilisation de la paperasse au lieu de la numérisation".
Après avoir appelé à la nécessité de renforcer la formation et de numériser l'opération ainsi que le recours aux bureaux d'admission en vue d'aider les décideurs à améliorer la situation sanitaire, elle a fait observer que de nombreux médecins ne remplissent qu'une partie du certificat de décès.
L'INSP a formé près de 6.000 médecins sur l'établissement, en bonne et due forme, des certificats de décès qui peuvent être servis dans la classification des principales maladies qui causent le décès à travers le pays.
Concernant la prise en charge des cardiopathies notamment l'infarctus, les intervenants ont mis l'accent sur la nécessité "de former les médecins généralistes (30.000 au secteur public et 11.000 au privé) sur la manière de prescrire les premières doses des médicaments notamment dans les régions qui manquent de médecins spécialistes.
Ils ont également annoncé le lancement d'une application créée par la Société algérienne de cardiologie en vue d'organiser cette prise en charge entre les 14 services de cardiologie des établissements hospitalo-universitaire et les centres de base. APS

Un hommage sera rendu, mardi prochain au palais des sports d’Oran, au défunt chanteur du raï Cheb Hasni, en commémoration du 23ème anniversaire de son assassinat, le 29 septembre 1994, indique l'APS.
Ce concert organisé par l’association "Art et culture pour la promotion et la protection du patrimoine musical oranais (ex-Apico), verra la participation de plusieurs chanteurs de raï connus, dont Houari Benchenet, Cheba Zahouania, Hasni Seghir, Bilal Seghir, Cheb Anouar, El-Hindi, Cheba Kheira, Cheba Dalila, Gana Maghnaoui, Kader Japonais, Cheb Redouane et Cheb Mahfoud et bien d’autres, ainsi que le célèbre trompettiste Bellemou et les humoristes de "Bila Houdoud" et "El Amjad" et Haroudi.
Prémonition ou simple coïncidence, en 1992 Cheb Hasni chantait "galou Hasni mat" (Ils ont dit que Hasni est mort), et deux ans après, le 29 septembre 1994, il sera assassiné dans son quartier de Gambetta à l'âge de 26 ans, laissant derrière lui plus de 130 albums. Aujourd’hui, 23 ans après, pour ses fans qui l’adulent toujours, Hasni, "le Rossignol du Raï" est toujours vivant.
Né à Oran le 1er février 1968, Hasni Chakroun est considéré comme le roi du raï sentimental. Il voulait être footballeur, mais le destin on avait décidé autrement, il deviendra ce raï lover adulé par plusieurs générations, presque par hasard.
Hasni aimait jouer au football. Il a, d’ailleurs, commencé à taper sur le ballon rond dès l'âge de 9 ans avec l'un des clubs phares d’Oran, l’ASCO (ASMO aujourd’hui). A 15 ans, il se blesse sur le terrain et séjourne à l'hôpital pendant plusieurs semaines. Entre temps, Hasni avait pris beaucoup de poids et malgré ses tentatives et les entrainements, il a dû se rendre à l’évidence et abandonner son parcours sportif.
La première fois que Hasni avait chanté en public, c’était dans un mariage. Et c’était la découverte. Il interpréta la célèbre chanson "El Marsem" avec l’orchestre de Nouri Kada et se fait remarquer par un producteur bien installé sur la place d’Oran.
Hasni avait déjà abandonné ses études. Il s’engouffra corps en âme dans le monde de la chanson raï. A 18 ans, en 1986, il enregistre sa première cassette dans laquelle il interprète trois chansons en duo avec la chanteuse de raï Cheba Zahouania et en 8 ans seulement il avait plus de 130 albums à son actif, comprenant plus de 400 chansons.
Hasni a sillonné plusieurs ville d'Algérie avant de se produire en France, puis aux Etats-Unis. Il chantait l'amour et l’espoir de toute une jeunesse devenant une légende.
huffpostmaghreb.com

Originaire de Syrie ou du Maghreb, cette plante potagère, très répandue en Europe, est à la fois aromatique et médicinale.
Elle est appelée bourrage, pain des abeilles ou langue de bœuf. Son nom vient de l’arabe abû araq qui signifie « père de la sueur », en référence à ses propriétés sudorifiques.
Une ressource thérapeutique
Dès l'Antiquité, la bourrache est vantée par l’historien romain Pline l’Ancien pour ses vertus euphorisantes. Ses fleurs servent à concocter un vin censé donner du courage aux légionnaires. Plus tard, elle est utilisée pour ses propriétés diurétiques. Introduite par les Arabes en France au début du Moyen Age, elle devient, au début du XXe siècle, l’ingrédient incontournable du « bouillon pectoral » contre les refroidissements de poitrine. Aujourd’hui, les scientifiques ont validé son rôle d’antidépresseur et ont découvert que la forte teneur en acide gammalinolénique de ses graines retarde les effets du vieillissement.
Tout se mange, rien ne se perd
En cuisine, la bourrache est considérée comme un légume oublié. Ses petites fleurs bleues comestibles, à la saveur iodée proche de celle des huîtres, sont employées par les chefs pour sublimer une assiette. Ses jeunes feuilles, elles, ont un léger goût de concombre. En Espagne, ce sont justement les feuilles de cette plante typique de Saragosse qui se retrouvent notamment dans les crespillos, célèbres petits beignets. Quant aux graines, pressées à froid, elles sont transformées en huile.
Comment l’utiliser ?
Les jeunes feuilles sont ciselées en salade. Les plus vieilles se dégustent cuites comme de l’épinard, en soupe, dans des quiches ou farcies comme les feuilles de vigne. Les fleurs sont préparées en beignets ou confites au sucre. L’huile de bourrache, elle, assaisonne les plats, mais ne doit surtout pas être chauffée.
source : femmeactuelle.fr

Le mois sacré du Ramadan est enfin là ! Promesse de partage et de rassemblements en famille, mais aussi de sucreries et d’excès alimentaires en tout genre. voici un menu healthy afin de préserver notre santé durant ramdhane. Menu realisé par l'association ASEPA


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