
Sous l’égide de monsieur le ministre de la Culture Azeddine mihoubi. L’opéra d’Alger Bouelam Besaieh organise la deuxième édition de "la nuit du conte africain". cette manifestation qui regroupera 6 pays africains dont l’Algérie.
De très célèbres conteurs seront présents pour partager avec vous un moment exceptionnel qui vous replongera dans les plus profondes sources originelles.
La Tunisie, l'Egypte, le Congo; le Gabon et la cote d'ivoire vous donnent RDV durant deux nuits...Le 10 et le 11 de ce mois de novembre.
Un moment de pur plaisir qui se fera en verbe et en musique. Une grande maison mythique et mystique de Constantine Dar Barnou sera présente sur scène aussi pour accompagner les conteurs.
NB : à noter que le programme qui convient aux enfants de plus de 7 ans


Nabila est prof d’anglais au CEM, 5ans auparavant cette universitaire de 32ans a vécu un vrai cauchemar, dégradation de santé, rupture difficile, les malheurs se sont suivis dans sa vie. Heureusement que sa collègue l’a mise sur la voie d’un raqi (musulman exorciste de djinn), «un trentenaire du sud qui a sauvé des dizaines de gens des sorcelleries et malédictions» nous révèle avec une grande conviction avant de rajouter «C’est grâce à lui que ma vie s’est arrangé».
Pourtant la jeune femme toujours célibataire, a raté son concours de travaille les trois fois qu’elle l’a passée, mais lui, le jeune raki qui occupait une chambre à la mosquée de Zemouri a acheté un appartement à Boumerdes il y a quelques mois. Toujours imam dans la mosquée de cette petite ville il continue à aider des femmes comme Nabila.
Rafik, le jeune homme de 25ans dont le commerce est très fleurissant jure de ne plus faire de Ruqia chez autrui, après s’être accroché avec un raqi qui a exigé 10000 dinars pour le délivrer d’une ancienne malédiction, «plus la malédiction est ancienne plus elle est difficile à guérir» lui a expliqué le raki. «Je suis musulman je sais lire le coran et les prières je la ferai chez moi chaque fois que je ne me sens pas bien, parfois j’ai des céphalées horribles qui ne répondent a aucun traitement, même les médecins m’ont conseillé un raqi». Un avis que son ami Nassim ne partage pas, «seul un bon raqi saura te délivrer des malheurs de la mauvaise œil, j’ai fallait mourir en 2010, si ce n’est Sadek le meilleurs raki du quartier ».
Ce que Nassim avait en 2010 était un abcès rénal, délaissé après une intervention chirurgical il devait suivre un traitement à long terme. Sadek lui a donné du miel et de l’huile d’olive bénis, il ne peut plus s’en passé, même son asthme a disparu avec. De l’huile qu’il achète a 1600dinars le litre, cependant le litre du miel lui coûte 6000 Dinars voir le double du prix de chaque produit..
Les histoires semblables se comptent par des milliers dans la vie des algériens qui sont tous convaincus que les malédictions et la sorcelleries sont origine de tous leurs malheurs, même quand la médecine moderne affirme une maladie qui nécessite un traitement bien spécifié, de ces pensées s’enrichissent des dizaines de gens qui ont le don de nourrir la phobie de ces jeunes qui n’ont plus de raisonnements rationnels a leurs problèmes, pour eux tout est devenus diabolique, leurs échecs ne sont que le résultat des démons de la sorcelleries et de mauvaise œil et le raqi demeure leur seul refuge.
source : kabylie-news.com

Du nouveau pour les voyageurs algériens qui se rendent régulièrement en France ou dans les autres pays de l’espace Schengen. Le centre TLScontact vient d’annoncer sur son site internet une nouvelle mesure qui va faciliter la vie à plusieurs milliers de ressortissants algériens.
En effet, désormais, “les demandeurs souhaitant déposer une demande de renouvellement d’un visa de circulation (un visa d’un an minimum) expiré depuis moins d’une année, ainsi que les demandeurs déposant pour un visa médical, peuvent se présenter au centre TLScontact sans rendez-vous de 8 h à 15 h du dimanche au jeudi”. C’est une nouveauté. De nombreux voyageurs algériens ne seront plus contraints de subir la sempiternelle attente pour décrocher un rendez-vous disponible sur le système géré par TLScontact pour renouveler leur visa Schengen.
Cette nouvelle mesure intervient au moment où une vive polémique ébranle le centre TLScontact accusé d’orchestrer des manigances pour rejeter les demandes de visas d’un grand nombre de voyageurs algériens. Des accusations démenties catégoriquement par le consulat de France.
algerie-focus.com
250 g de chou fleur
1 oignon
100 g de fromage râpé
55 g de farine
1 oeuf
100 ml de crème liquide
15 g de beurre
curcuma
sel, poivre
ÉTAPE 1 Lavez le chou-fleur, et râpez-le avec une râpe à gros trous (vous aurez comme des gros grains de semoule). Épluchez l'oignon et râpez-le. Fouettez l'œuf avec la crème liquide, la farine et le fromage, ajoutez sel, poivre et curcuma (j'ai mis 1 c. à café, mais à adapter en fonction de vos goûts). Ajoutez le mélange œuf/crème au chou fleur, et mélangez bien. Laissez reposer 15/20 minutes.
ETAPE 2 Faites fondre le beurre dans une poêle. Lorsque le beurre mousse, prenez une grosse c. de pâte de chou fleur et formez une galette. Faites cuire 4 à 5 minutes de chaque côté, à feu doux. Recommencez jusqu'à épuisement de la pâte. Pour avoir des galettes bien rondes, j'ai mis un emporte-pièce dans la poêle, j'ai versé un peu de pâte, tassé et égalisé et j'ai enlevé l'emporte-pièce avant de retourner la galette.
ÉTAPE 3Vous pouvez même prendre des emporte-pièces de formes rigolotes pour plaire aux enfants. Lorsque les galettes sont cuites, servez chaud ou tiède avec une salade, ou moi je l'ai servi avec du poisson. Ces galettes font un accompagnement parfait, ou un plat principal végétarien parfait complété avec une salade.

La bataille de la SETRAM (Société d’Exploitation des Tramways) contre les usagers « clandestins » est visiblement loin d’être terminée. Plus de 200.000 usagers « clandestins » des tramways des wilayas de Constantine, Alger et Oran ont été « épinglés » depuis de le début de cette année par les agents de contrôle de la compagnie, a rapporté ce mercredi le quotidien arabophone El Khabar.
Une tendance très coûteuse pour la SETRAM, qui a précisé que ce chiffre ne représente aucunement la totalité des pertes financières engendrées par les usagers « clandestins », qui n’achètent pas le ticket de 40 Da selon la norme en vigueur.
En effet, un grand nombre des passagers « échappent » aux contrôles fréquents des agents. Certains descendent à leur montée pour reprendre le tramway suivant, d’autres refusent de payer le bulletin de régularisation du voyage, fixé à 100 Da, préférant descendre à la prochaine station, comme exigé par ces agents de contrôle, face à l’entêtement de ces « clandestins » à ne pas payer.
D’autres usagers réguliers évitent de valider un ticket non achetés chez les points de vente, « pérennisant » son titre de cette manière.
Des pratiques contre lesquelles la SETRAM a tenté, à maintes reprises, de réagir, en multipliant le nombre des agents de contrôle. La société a même appel à des agents de sûreté nationale pour prévenir des éventuelles « accrochages » entre les usagers du tramway et ses employés.
Des opérations de contrôles intensifiées ce ramadan, où la SETRAM a appelé plus d’agents mobilisés dans les stations, avant même l’arrivée du tramway.
Fin 2014, le directeur de l’unité d’Alger de la Société d’exploitation des tramways (Setram), Grégory Malet avait affirmé que 50% des usagers du tramway de la wilaya d’Alger sont en situation de fraude car ils n’achètent pas de tickets ou ne les valident pas.
« Entre 50.000 et 70.000 usagers empruntent le tramway quotidiennement à Alger, alors que seulement 25.000 à 30.000 paient leur ticket de transport », avait indiqué fin décembre Grégory Malet, directeur de l’unité d’Alger de la Setram, précisant que le « nombre de contrôleurs a atteint 166 agents et passera à 190 à partir de janvier 2015″.
Ce qui a permis d’augmenter la rentabilité de la compagnie enregistre ainsi un bond de 50% en un mois, en février 2015, avait indiqué le ministre des Transports, Amar Ghoul.
source : huffpostmaghreb.com
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