
Un salon national du manuel scolaire sera organisé à travers toutes les wilayas du pays du 31 août au 3 septembre, proposant tous les manuels, y compris ceux de deuxième génération, à des prix abordables, a-t-on appris auprès de l’Office national des publications scolaires.
Le salon sera organisé à travers les 48 wilayas du pays pour permettre aux élèves d’acquérir leurs manuels scolaires, y compris ceux de deuxième génération, à des prix étudiés prenant en compte le pouvoir d’achat des ménages algériens, a précisé le Directeur général de l’ONPS, Brahim Atoui.
L’organisation de ce salon est venue sur instruction de la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, en vue de permettre aux élèves d’acquérir leurs manuels scolaires sans difficulté, a indiqué le responsable.
Selon lui, les quatre jours du salon sont «suffisants» pour satisfaire à la demande des élèves.
Il a néanmoins assuré que les manuels scolaires seraient disponibles au niveau des établissements scolaires en quantités suffisantes pour couvrir la demande des élèves, y compris les nécessiteux.
Le responsable a souligné que ce salon serait réédité eu égard à l’accroissement de la demande, soulignant que l’édition 2017 sera plus importante dans la mesure où des librairies privées seront mises à contribution dans la vente des manuels scolaires, a-t-il dit.
L’objectif pour l’année prochaine est d’atteindre 1.541 librairies agréées pour la vente des manuels scolaires, soit au moins deux (2) librairies par commune, a-t-il ajouté.
Parmi les lieux devant accueillir le salon, le responsable a notamment cité la place de la Grande Poste et l’esplanade de Riadh El-Feth à Alger, la Cathédrale d’Oran, la Maison de jeunes de Ghardaïa et de Tamanrasset, la Chambre de l’artisanat de Tindouf.
Quant aux prix des nouveaux manuels, la liste établie pour l’année scolaire 2016-2017 montre que le livre de langue arabe de 1ère et 2ème années primaire est proposé à 250 DA et celui de mathématiques à 230 DA.
Les livres de première année moyenne (onze en tout) sont proposés entre 235 DA et 255 DA.
Les responsables chargés du manuel scolaire ont affirmé que les prix étaient unifiés à travers tout le territoire national que ce soit dans les librairies ou dans les autres espaces de vente.
La liste des prix peut être consultée en toute transparence sur le site web du ministère de l’Education nationale.
source : radioalgerie.dz

La Rentrée en Nouba revient cette année avec un duo exceptionnel
Beihdja Rahal et Lila Borsali vous donnent rendez-vous pour un concert exclusif le Samedi 14 Septembre à 19h à l'Opéra d'Alger "Boualem Bessaïh".
Entre tradition et modernité, d'Alger à Tlemcen, les deux artistes vous présenteront un programme préparé spécialement pour l'occasion.
Accès: 1000 DA
Tickets disponibles au guichet de l'Opéra d'Alger tous les jours de 09h à 18h.
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AGA Consulting en partenariat avec l'école privée EFAM ont organisé 31 octobre 2018 une conférence qui avait pour thème l’hypnose conventionnelle
Cette conférence qui a eu lieu à l'hôtel El Aurassi avait pour objectif de présenter au grand public une formation sur l’hypnose éveillée conversationnelle.
Animée par le formateur, conférencier, et hypnothérapeute Pierre Marichal la conférence a débuté par une brève introduction à l'hypnose.
"L'hypnose est une technique qui a été mise en lumière grâce au psychologue/psychiatre américain Milton Erickson (1902-1980) au cours des années 50 " précise Mr Marichal, avant d'ajouter quelques minutes plus tard
" lors d'une séance d'hypnose, vous serez dans un état de conscience modifié. Votre esprit logique et analytique va "lâcher prise" et laisser les messages accéder à votre inconscient."
Contrairement aux idées reçues sur l'hypnose véhiculées par la TV et du célèbre show man et hypnotiseur Messmer.
L'hypnose n'a absolument rien de magique, c'est juste un état naturel que nous expérimentons tous plusieurs fois par jour, l'état hypnotique et comparable à ses moments pendant lesquels on s’oublie, on oublie le temps qui passe et où on est. Notre mental se déconnecte pour une seconde ou une minute, et à la place un plus grand espace s’ouvre à l’intérieur à nous.
Après une intéressante introduction à l'hypnose et ses secrets, Mr Marichal est revenu sur la communication hypnotique.
A la différence d'une séance d’hypnose thérapeutique, la communication hypnotique n’implique pas de transe hypnotique “visible”, c’est une forme de communication, qui use des techniques au cours d’une conversation formelle qui permet de relier directement votre esprit à celui de votre interlocuteur.
Cette technique est principalement utilisée lors d'une conversation thérapeutique ou dans le cadre d'un coaching, elle peut fortement être utile dans les entreprises pour les managers, les formateurs ainsi que d'autres domaines publicité ou encore la politique.
Parfaitement maîtrisée, cette méthode que nous avons eu plaisir à découvrir avec Mr Pierre Marichal, qui concerne la maîtrise de notre communication grace aux suggestions promet d'être un intéressant outil pour réussir sa vie professionnelle et familiale.
Esma Djigouadi


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Le COVID-19, un virus potentiellement neuro-invasif.
Dans une étude rétrospective réalisée à Wuhan (Chine) 36 % des patients atteints du COVID-19 présenteraient des manifestations neurologiques. Ces perturbations sont plus à même d’exister chez 45 % des patients présentant une forme sévère de syndrome de détresse respiratoire (SDRA), mais se retrouvent aussi dans les formes moins sévères à 30 %.
Ces manifestations neurologiques touchent le système nerveux central (céphalées, vertiges, altération de la conscience, accidents vasculaires cérébraux et épilepsie) mais aussi le système nerveux périphérique, hypogueusie (diminution du gout), hyposmie (diminution de l’odorat) et névralgie,
Dans des études scientifiques et au regard des éléments avancés, il apparaît clairement que le COVID-19, provoque des perturbations du système nerveux entraînant des difficultés cognitives à court terme pour lesquelles nous n’avons pas encore de recul sur la pérennité
Par ailleurs, l’existence de troubles cognitifs antérieurs constitue également un facteur de risque de déficits cognitifs chroniques qui prend du sens au vu de la population atteinte par le virus.
En effet, selon les observations des scientifiques, chez la moitié des patients de plus de 65 ans, il existe alors un risque important de voir une plainte cognitive persister chez ces patients.
Nécessité d’une prise en charge rééducative.
Afin de réduire l’impact de ces difficultés cognitives sur le bien-être des individus rescapés du COVID-19, mais aussi dans le but de réduire l’impact sociétal (reprise du travail, réadaptation à la vie sociale, risque de consultations multiples et non adaptées), il est nécessaire de dépister précocement, de suivre et d’accompagner ces patients pour qu’ils puissent retrouver une qualité de vie satisfaisante.
Directeur médical
Centre Médical de la Mémoire
04 rue Boufatit El Biar Tel 021 79 78 33/34
Spécialiste en Neurologie
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La mortalité élevée au voisinage du CHU de Beni Messous donne une autre dimension dramatique à la 2e vague du Covid 19 à Alger.
La courbe des décès du au Covid 19 s’est emballée dans la capitale depuis deux semaines et à la tension réelle sur les lits d’hôpital, est entrain de s’ajouter une tension artificielle des places dans les cimetières, source d’un trafic naissant.
Illustration à l’ouest d’Alger où le permis d’inhumer n’est pas accordé sans fioritures à l’APC de Beni Messous, dimanche 08 novembre au matin. On enterre bien sur un cas Covid. La famille du défunt apparaît vite, dans sa détresse, comme une proie pour des préposés de l’administration embusqués pour les détrousser. Le scénario est déjà bien huilé.
Au cimetière le responsable du site demande au préalable à sa famille un permis d’inhumer avant de désigner une place pour enterrer le défunt. Au siège de l’APC, quelques minutes plus tard, un agent de l’Etat civil exige d’abord de savoir qu’il y a bien une place de libre au cimetière voisin pour ensuite délivrer les documents qui permettent d’opérer aux obsèques. Labyrinthe circulaire sans issue.
Au bout de trente minutes et de quelques sous-entendus, où il se dit qu’il n’y a plus de places disponibles au cimetière, le passage par la transaction devient clair. Pour espérer enterrer son parent dans les délais au cimetière choisi pour sa proximité de l’hôpital (lieu du décès) et du domicile familiale, il faudra verser une « Tchippa » (soudoiment) à l’agent communal. La mésaventure n’ira pas plus loin.
Cette fois-ci, le piège ne se refermera pas sur cette famille qui connaît ses droits et qui n’était pas prête à succomber aux circonstances pressantes d’un adieu sous procédure Covid-19.
La suspicion de l’existence d’un trafic aux places et aux permis d’inhumer est cependant confortée ce même dimanche matin. Un autre agent communal, voyant bien la scène qui se joue, avoue que « c’est comme cela que cela se passe maintenant », en déplorant l’attitude délictuelle de ses collègues. Finalement, il y’avait bien des places disponibles libres au cimetière de Beni Messous.
Le stratagème de la rareté artificielle n’a pas fonctionné – cette fois- pour « vendre » une place « rare » et le permis d’inhumer qui lui « correspond ». L’accélération de la mortalité liée à la 2e vague du Covid-19 menace de donner naissance à des trafics sordides y compris au moment les plus solennelles et les plus douloureux des familles de victimes. A Beni Messous, les élus de l’APC ne peuvent plus dire qu’ils ne savaient pas.
source : radio-m.net
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Expo-vente dont le thème est le marché artistique du Ramadan, une grande diversité des artistes et artisans seront ravis de vous faire découvrir leurs créations qui pourront embellir votre Ramadan
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Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.