
ALGER-Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a mis à la disposition des citoyens une application SIHA-DZ qui permet notamment de localiser au niveau national les officines pharmaceutiques ouvertes de jour et celles de garde, indique lundi un communiqué de ce département ministériel.
L'application permet aussi aux citoyens de localiser au niveau national de leurs téléphones mobiles les établissements hospitaliers et leurs activités médicales, chirurgicales et d'urgences et les structures de proximité (polycliniques et salles de soins), précise la même source.
L'application est téléchargeable depuis Google Play store et le site du ministère de la Santé www.sante.gov.dz/downloads/sihadz.php.
APS
1. Déposez les escalopes de veau entre deux feuilles de papier cuisson puis aplatissez-les à l’aide d’un rouleau à pâtisserie. Salez et poivrez.
2. Passez à la préparation de la panure. Dans une assiette, mélangez la chapelure et le parmesan râpé. Fouettez les œufs et réservez-les dans une assiette creuse. Passez les escalopes dans la farine et tapotez-les pour retirer l’excédent.
3. Trempez-les ensuite dans les œufs puis terminez par la chapelure au parmesan. Replongez-les dans les œufs et de nouveau dans la chapelure.
4. Passez à la cuisson. Faites cuire les pâtes fraîches dans un grand volume d’eau. Dans une poêle, faites chauffer un filet d’huile et faites cuire les escalopes à feu moyen. Au moment de les retourner, ajoutez une noix de beurre et arrosez-les avec le beurre fondu.
5. Réservez-les dans une assiette puis égouttez les pâtes et graissez-les dans la poêle. Il ne vous reste plus qu’à dresser l’escalope milanaise avec un filet de jus de citron !
Avocate de profession, la secrétaire nationale du RCD au mouvement associatif, Wassila Boughari, a fait l’objet d’une tentative de meurtre préméditée dans son bureau dans la ville de Chlef.
En effet un individu muni d’un sac a fait irruption, en fin de matinée, dans le bureau de l’avocate avant d’exhiber un couteau de boucher pour s’en prendre directement à la jeune femme sans engager un dialogue d’aucune espèce. En se défendant vigoureusement contre son agresseur Wassila a reçu des coups d’arme blanche au niveau du cou, ce qui a nécessité plus tard la pose de points de suture au niveau de l’hôpital. Devant les cris de la victime pour appeler à l’aide du voisinage et la confusion qui a régné, dans sa fuite, l’auteur de l’agression a abandonné son sac qui contenait une paire de gant et un tee-shirt.
Actuellement la victime est au niveau du tribunal de la ville en attente d’éléments nouveaux sur l’identité de l’agresseur suite à la plainte déposée au niveau du procureur de la république.
Le RCD condamne avec la plus grande vigueur cette agression contre une militante exemplaire dans la défense des droits et libertés et qui s’est constituée volontairement à chaque fois que des citoyens sont victimes d’arbitraire, la dernière en date concerne les porteurs de l’emblème amazigh dans sa ville et ailleurs dans le pays.
Le RCD exprime sa solidarité avec Wassila et sa famille ainsi que pour le collectif militant de la région. Il demeure mobilisé pour que la lumière soit faite sur cet acte ignoble.

Le ministère de l’Agriculture est enfin sorti de son immobilisme pour faire la lumière sur le phénomène inquiétant de putréfaction des viandes de moutons sacrifiés à l’occasion de l’Aïd. Les spécialistes s’accordent à dire que ce sont les techniques d’”engraissement” qui sont à l’origine de cette avarie. L’enquête a été confiée aux services de la gendarmerie nationale.
Un phénomène de putréfaction de la viande de mouton de l’Aïd marquée par des taches verdâtres ou bleuâtres lors de sa congélation a été signalé par plusieurs consommateurs de par le territoire national.
Ce phénomène, constaté également les années précédentes, a atteint, lors de l’Aïd passé, des proportions inquiétantes, suscitant la mobilisation des différentes organisations de défense des droits des consommateurs qui tirent la sonnette d’alarme. D’ailleurs, le ministère de l’Agriculture a procédé, dimanche, à l’ouverture d’une enquête pour faire la lumière sur cette affaire, rapporte l’APS.
Les spécialistes, pour leur part, sont unanimes sur le fait que ces putréfactions sont dues aux méthodes d’engraissement, telle l’injection de corticoïdes.
Pour le moment la gendarmerie nationale ainsi que les services compétents de la police continuent de mener leur enquête. Les services spécialisés du ministère de l’Agriculture ont, de leur côté, effectué des prélèvements au niveau du laboratoire central vétérinaire et des échantillons ont été envoyés aux laboratoires de la gendarmerie nationale.
Les pouvoirs publics, de leur coté, tentent de rassurer en expliquant que ce phénomène est limité géographiquement aux wilayas d’Alger, Boumerdès, Chlef, Constantine et Blida. Le ministère de l’Agriculture certifie qu’il ne s’agit pas d’une maladie animale, ajoutant que les conditions climatiques qui ont caractérisé le jour de l’Aïd ainsi que les conditions d’hygiènes inappropriées pourraient être à l’origine de ces putréfactions.
source : algerie-focus.com
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