BIG DAY : Water Battle au parc Dounia 25 Septembre 2016
Hey Hey ! Les vacances sont finies ... Mais pas Chez l'association "Myrrhe"
Le BIG DAY est de retour avec un nouvel événement à la clef : WATER BATTLE ! Préparez-vous à vous mouiller et surtout à bien mouiller vos amis :p
Tout ce fun commencera par un tournoi de Volley Ball, Pique nique et d'autres activités ... Un super programme vous attend pour bien démarrer votre année universitaire !
Restez branchés !
https://www.facebook.com/events/1587758724861071/?active_tab=posts
jeudi 29 septembre à 9:00 - 16:30
Parc Dounia
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Un voyage photographique de Allmuth Bourenane à travers « Alger, jardin éternel – jardin fragile »
Le vernissage le 21 Septembre 2017, 16h à Bastion 23, Alger
La projection du documentaire « Résistantes » de Fatima Sissani qui devait avoir lieu samedi dans le petit village de Sainte-Livrade sur Lot, dans le Lot et Garonnedans le cadre d’un programme de rencontres organisé par (AOC de l’égalité, Ancrage en partage, Rahmi, Alifs, Cinéma L’Utopie) a été empêchée suite aux menaces proférées par le Rassemblement national, d’une partie de la communauté harki et des pieds noirs, précise ce dimanche 24 novembre le quotidien francophone El Watan.
« Nous souhaitions donner la parole à des femmes engagées, d’hier à aujourd’hui. Mais il semble malheureusement que l’Histoire soit encore trop douloureuse pour pouvoir engager un dialogue serein. Nous n’avions pas d’autre objectif que d’ouvrir un espace de dialogue, respectant la dignité de tou.te.s, et surtout pas d’encourager des discours haineux, encore moins des actes de violence », a-t-on écrit sur la page Facebook du Cinéma Utopia.
La réalisatrice du film documentaire Fatima Sissani s’est également exprimé sur l’annulation de : « Face aux menaces du Rassemblement national, d’une partie de la communauté harki et des pieds noirs, il m’a été très fortement conseillé de renoncer à me rendre à cette projection sauf à accepter, comme proposé par le commandant de gendarmerie d’y aller sous la protection d’un escadron de policiers (…). A son tour le directeur du cinéma qui souhaitait tout de même maintenir la projection a dû finalement y renoncer en raison des menaces que ces extrémistes ont continué à faire peser sur le cinéma. In fine, le cinéma lui-même a fermé ses portes aujourd’hui. Stupéfiant. Evidemment, cette horde d’ignares n’a même pas vu le film. Car alors ils auraient découvert qu’à aucun moment les Harkis ne sont mentionnés et qu’il ne s’agit pas d’une apologie du FLN. Ce film est une ode à la résistance à l’oppression. Mais 50 ans plus tard, il demeure toujours impossible pour certains d’entendre que la colonisation française en Algérie constitue un génocide doublé d’un »sociocide ». Impossible d’entendre parler du FLN dans des termes autres qu’injurieux et méprisants. Tant que l’Etat français ne reconnaitra pas et ne condamnera pas l’ampleur du crime colonial et des horreurs commises par l’armée française pendant la guerre d’Algérie, nous serons confronté.e.s à ce type de situations ».
Algerie360.com
L’institut de formation, conseil et coaching IICOM fête ses 15 ans d’existante, afin de se rapprocher de ses étudiants et de ses partenaires, une réception a été organisée le samedi 21 octobre 2017 à la pépinière GARDEN de Cheraga.
Véritable pionnier dans le domaine de la formation, l’institut IIcom dispense plusieurs formations diplômantes : BTS en Marketing, commerce international et informatique de gestion, ainsi que des programmes de formation qualifiante en marketing, communication, et force de vente.
Depuis 2005, IICOM a élargi ses offres pour couvrir plusieurs domaines de formation et de conseil, pour ne citer que quelques-uns : management, stratégie, ressources humaines, ou encore développement personnel : efficacité en entreprise, time management, communication interpersonnelle, gestion de stress, et team building.
Mais IICOM ne compte pas s’arrêter là, soucieux de répondre au mieux à ses étudiants, clients et partenaires, l’institut a récemment mis en place de nouvelles formules de formations avec en prime un coaching personnalisé :
- Les cycles PERFORM Formation moyenne durée
- Formation de courte durée (Séminaires)
- Le parcours LEAD pour les managers leaders
Au cours de la réception, le directeur fondateur de l’institut IICOM Mr Abdelkrim BOUDRA, nous a présentés le nouveau site de IICOM « instituticom.com » où un espace BLOG a vu le jour, une rubrique dédiée aux passionnées du marketing /management et du développement personnel.
L’année 2017 est l’année du changement pour IICOM, en plus des nouveautés citées plus haut, l’institut s’engage à apporter un nouveau souffle et à tisser des liens entre les étudiants, en mettant en place des rencontres networking pour les anciens IIcomiens ainsi que des actions caritatives entre anciens et nouveaux étudiants de l’institut IIcom.
Esma Djigouadi
#web_magazine_féminin #bien-être_développement_personnel
A l’occasion de la célébration du Centenaire d'indépendance de la Finlande, l’Ambassade offre plusieurs rencontres culturelles à Alger entre 2 et 9 novembre 2017
Au programme :
le 02 Novembre 2017 : Le Débat de l'Ecrivain Finlandais M. Pekonen
A l'occasion des 9èmes Rencontres euromaghrébines des écrivains - SILA 2017, M. Osmo Pekonen né en 1960, mathématicien, historien et écrivain finlandais, participera aux débats des rencontres sous le thème "LE ROMAN NON FICTIONNEL" le 02 Novembre 2017 à la salle El Djazair – 22ème Salon International du Livre d'Alger / SAFEX, Alger.
Le 06 Novembre 2017 : le discours de M. Tuomo Melasuo : “La Finlande et les autres Pays Nordiques dans les relations euro-méditerranéennes”
Aussi à l'occasion de la célébration du centenaire de son Independence l'Ambassade de Finlande et en collaboration avec le Ministère de la Culture organise un discours du Professeur émérite, M Tuomo Melasuo de l'Université de Tampere. Cette université coopère entre autre avec les Universités: Alger III et Tlemcen et avec le centre de recherche CRASC.
Bibliothèque Nationale - El Hamma, lundi 6/11 à 14h. Accès libre - bienvenue !
le 9 Novembre 2017 : Le Concert du Trio Finlandais Martta Valkeus (violoncelle), Jenni Metsälä (flûte) et Hilkka Piipponen (piano)
Toujours à l'occasion de la célébration du centenaire de son Independence l'Ambassade de Finlande et en collaboration avec la Radio Nationale Algérienne, le trio finlandais, présentera un concert des perles de musique classique dans la salle de la Radio Algérienne, le jeudi 9 novembre à 19h00.
Dans le programme, il y aura des pièces des compositeurs, comme Rautavaara, Bizet, Piazzolla, Bach, Tchaikovsky, Chopin et Bartók.
En collaboration avec l'Institut National Supérieur de Musique, des masters class pour violoncelle, flûte et piano auront lieu le 8 novembre 2017 au niveau de l'Institut.
La rédaction
Avec la communication qui va dans tous les sens sauf dans celui de la vérité, certains vont jusqu’à remettre en question la présence même du choléra. D’autres informations font état de l’apparition du vibrion cholérique qui était prévisible depuis le mois de janvier. Ce dossier est loin d’être clos. Deux jours à peine après les assurances du ministère de l’Agriculture quant à la bonne qualité des fruits et légumes produits localement, l’Institut Pasteur revient avec une contradiction qui confirme la gestion chaotique de cette épidémie. En effet, au moment où la source du vibrion cholérique n’est toujours pas identifiée, la guerre des informations autour de cette question, qui préoccupe l’opinion publique depuis plus de trois semaines, semble sans fin. Maladie à transmission hydrique (MTH) par excellence, la piste de la présence du vibrion dans l’eau du robinet a été écartée par les responsables du secteur ainsi que les experts. Toutefois, les fruits et légumes — notamment la pastèque, le melon et la salade dont la qualité de l’eau d’irrigation est suspecte — restent une piste probable de la survenue de cette pandémie.
Face à l’état de panique des citoyens qui ont boudé ces produits et la vague de rumeurs sur cette maladie très contagieuse, le ministère de l’Agriculture a décidé de sortir de son silence pour rassurer les citoyens en expliquant que l’eau d’irrigation absorbée par les plantes ne représentait pas de danger pour les productions agricoles. Pour le département de Bouazgui, les fruits et les légumes ne constituent pas un milieu d’évolution du vibrion cholérique. Il avait également déclaré que cette année aucun cas d’irrigation avec les eaux usées n’a été signalé et que les fruits et légumes étaient indemnes de toute contamination dangeureuse.
Une déclaration que contredit formellement l’Institut Pasteur (IPA) dans son communiqué publié sur son site dont la dernière mise à jours date de ce jeudi. Dans ce document, l’IPA met en garde les citoyens quant à une éventuelle contamination des fruits et légumes irrigués avec des eaux usées : «La contamination de fruits (pastèque, melon non lavés) ou légumes pouvant être consommés crus (carotte, concombre, salade, tomate, betterave), irrigués par une eau polluée par les matières fécales est suspectée.» Les experts confortent la piste de l’IPA Les fruits et légumes peuvent-ils être à l’origine de cette maladie ? Pour les experts, la réponse est affirmative. «Plusieurs études scientifiques montrent qu’il existe un lien certain entre la qualité de l’eau d’irrigation utilisée, les techniques agricoles adoptées par les maraîchers et certaines maladies infectieuses qui affectent directement l’homme, et imputent l’entière responsabilité à la transmission dans la chaîne des risques sanitaires.
Selon une étude publiée en 2010, les eaux usées urbaines peuvent ainsi propager dans les cultures de nombreux micro-organismes pathogènes dont le vibrion cholérique», explique Farès Kessasra, hydrogéologue et consultant auprès de l’Unesco, qui s’appuie également sur les déclarations de l’OMS qui confirment la possibilité de contamination en surface des fruits et légumes par le vibrion du choléra provenant d’eaux ou de sols contaminés. Une contamination qui peut durer 10 jours au maximum. L’OMS va encore plus loin en citant également les aliments humides tels que le lait, le riz cuit, les lentilles, la pomme de terre, les haricots, les œufs et le poulet qui peuvent être contaminés pendant ou après leur cuisson et laissés à température ambiante pendant plusieurs heures.
Ils constituent un excellent milieu de culture pour le vibrion cholérique. Pour notre interlocuteur, il ne faut exclure aucune piste, surtout que les agriculteurs algériens font usage de fientes de volaille et autres déchets organiques enrichis aux hormones et anabolisants de croissance non contrôlés provenant de poulaillers. «Les sols se retrouvent contaminés par des matières fécales et toutes les souches bactériennes qui en découlent. Ils utilisent également en toute impunité des eaux usées urbaines mélangées aux rejets des zones industrielles généralement non traitées par les usines et éjectées dans les oueds. Même les eaux souterraines sont contaminées par les rejets d’eau superficielle et le lessivage des sols souillés.
Censées être saines et utilisées pour l’irrigation par captage hydraulique (puits et forages), elles deviennent un milieu favorable à l’apparition et la propagation des MTH», ajoute Farès Kessasra. Avec la confirmation de l’hypothèse de l’Institut Pasteur, une nouvelle zone d’ombre s’ajoute à la gestion de cette épidémie considérée par nombre d’Algériens comme une honte pour le pays. Avec une communication qui va dans tous les sens sauf dans celui de la vérité, certains vont jusqu’à remettre en question la présence même du choléra. Avec les dernières informations confirmant que l’apparition du vibrion cholérique était prévisible depuis le mois de janvier, ce dossier est loin d’être clos.
– Selon le ministère de la santé : 74 cas de choléra confirmés Dans un dernier bilan arrêté ce jeudi, le ministère de la Santé a indiqué, dans un communiqué, l’augmentation des cas confirmé de choléra qui a atteint les 74. Ils sont enregistré dans les wilayas de Bouira (3 cas), Tipasa (15 cas), Alger (15 cas) et Blida qui détient le record avec 39 cas. Les wilayas de Médéa — malgré les dénégations de son DSP — et Aïn Defla ont chacune un seul cas enregistré. Le nombre de patients sortants s’élève à 132, soit 66% de l’ensemble des hospitalisations, note le ministère dans son communiqué. Les malades restants séjournent toujours au niveau de l’EPH de Boufarik et les cas hospitalisés à l’EHS El Kettar ont été déclarés sortants après guérison.
source : elwatan.com
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.