Les sacs en matière plastique seront remplacés par d’autres biodégradables
Les sacs en matière plastique seront remplacés par d’autres biodégradables, a indiqué, dimanche à Sidi Bel-Abbes, la ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement, Dalila Boudjemâa.
« Un projet national porte sur la normalisation des sachets en plastique et le choix de l’option des sachets biodégradables », a souligné la ministre en marge d’une opération de plantation d’arbres le long du tracé du tramway sur les berges de l’oued Mekerra.
Ce projet prendra en compte la sauvegarde des emplois (22.000 postes) des unités de production des sacs en matière plastique actuellement utilisés, a relevé Mme Boudjamâa, avant d’ajouter que le prix des nouveaux sachets (sacs à provisions et ceux utilisés pour les ordures ménagères), sera symbolique.
Quelque 7,7 milliards de sacs en matière plastique sont utilisés par an en Algérie, a signalé la ministre, soulignant que désormais le sachet sera payant et aura l’avantage d’être biodégradable et d’encourager l’artisanat dans ce créneau.
source : APS

Virée dans les restaurants du coeur : La solidarité mise en évidence
Il est temps de faire la part des choses entre les nécessiteux, ceux qui sont dépassés par le pouvoir d’achat et les profiteurs.
Comme chaque année, au mois de Ramadhan, des centaines de bénévoles apportent les moyens financiers et matériels et d’autres y travaillent gratuitement pour répondre aux besoins des nécessiteux et des passagers à travers le pays. «Nous avons commencé à servir les repas chauds durant le Ramadhan, depuis 1990. Il y a des donateurs privés et autres bienfaiteurs qui assurent l’alimentation générale durant tout le mois sacré», dira-t-elle, avant d’ajouter que c’est elle-même qui assure les salaires des employés afin d’aider les femmes nécessiteuses qui préparent les centaines de repas à servir par jour.
Insistant sur la notion du respect de la dignité humaine et citoyenne, la présidente de l’association nationale Horizon, à Alger, ajoute qu’elle interdit à toute caméra de filmer à l’intérieur du restaurant. Une chorba chaude, un plat de résistance, de l’eau et un dessert selon la disponibilité quotidienne, des dizaines de passagers et nécessiteux qui sortent avec un sourire aux lèvres pour exprimer la satisfaction.
Au-delà des repas servis à table, environ une centaine de repas sont emportés par des pères de famille qui n’arrivent pas à subvenir aux besoins de leurs enfants et autres travailleurs à cause de la dégradation du pouvoir d’achat.
En plus de la qualité d’accueil et de l’hygiène qui sont mis en valeur à plus d’un titre, l’association nationale Horizon, assure aussi des formations de divers métiers en cuisine, gâteaux, tissage aux femmes aux foyers qui finissent par trouver des emplois qui leur assurent un minimum de vie décente.
Le restaurant des cheminots qui dépend de la Centrale syndicale Ugta, assure, quant à lui, une moyenne de 300 à 350 repas/jour, depuis plus d’une dizaine d’années au bon gré de l’organisation syndicale, selon des employés que nous avons interrogés.
A un moment donné, le restaurant des cheminots assurait des repas durant le mois de Ramadhan à un prix symbolique, d’où la sélection d’une catégorie de personnes qui se permettent qu’un minimum de dépenses, mais depuis la suppression du paiement, le restaurant des cheminots enregistre un mélange de SDF, de cadres, d’employés et même de journalistes et d’enseignants au point où l’on assiste à des scènes indescriptibles «Il est temps de faire la part des choses, entre les SDF, les véritables nécessiteux et les citoyens qui sont dépassés par le pouvoir d’achat et qui ne peuvent se permettre de payer des repas dont le dernier est de 500 DA/plat», souligne un des cadres que nous avons interrogés dans la discrétion totale.
Le groupe Sonatrach et l’industriel Hamoud Boualem, a eux seuls, assuraient des milliers de repas par jour durant les mois de Ramadhan au niveau de la capitale, surtout. Depuis leur absence, ce sont souvent des gens plus ou moins aisés qui s’associent aux actions de bienfaisance. Hocine D., (30 ans), en citoyen conscient des aléas de la vie, précise: «Je travaille à Alger. Mon salaire est de 25.000 DA/mois et à la rigueur je peux me permettre de payer une somme de 100 à 150 DA/repas/jour comme contribution avec les donateurs.
Mais, plus que cela, je suis obligé de m’adresser aux restaurants du coeur afin d’équilibrer mes dépenses quotidiennes, un tant soi peu», dira-t-il, tout en mettant le point sur les risques de transmission des maladies contagieuses qui proviennent à force de se mettre à côté des SDF et autres cas, sans pour autant porter des jugements de valeur, au lieu de faire la part des choses entre les véritables nécessiteux et ceux qui profitent des situations.
Par ailleurs, il y a lieu de souligner que la réduction du nombre des restaurants Errahma à travers les wilayas et ce, en rapport à l’année 2013, de très nombreux citoyens se sont laissés faire dans la bousculade afin de trouver une place dans ces restaurants, avant que ce ne soit trop tard. «Il y a des restaurant où l’on doit se mettre à table une heure avant El adhan du Maghreb», souligne un sexagénaire dans une humilité totale. «Fait du bien et oublie-le. Mais si tu fais du mal, ne l’oublie jamais.», dit un dicton de chez nous.
Source : l’expressiondz.com
source photo : APS
Pauvres en fibres, riches en sucres, les jus de fruits ne sont pas si sains qu’on le pense. Une nouvelle étude américaine confirme qu'il ne faut pas dépasser un verre par jour. Deux spécialistes de la nutrition nous en expliquent les raisons. madame.lefigaro.fr
Vous n’avez pas le temps ou l’envie de manger un fruit, alors vous optez pour un jus, pensant respecter religieusement le célèbre conseil du Programme national nutrition santé (PNNS), «manger cinq fruits et légumes par jour». Fausse bonne idée. Même s’il est fait maison, un jus n’apporte pas les mêmes bienfaits que l'aliment dans son état brut. Et souvent, le jus de fruits, notamment industriel, est tout autant voire plus sucré qu’un soda. Une nouvelle étude américaine, publié dans la revue Jama Network Open, indique ainsi que boire plus d'un verre par jour peut nous nuire. Les chercheurs ont observé qu'une consommation de deux verres supplémentaires est associée à une augmentation de 11% de la mortalité. Alors que ces travaux confirment les recommandations actuelles de Santé Publique France, on vous explique pourquoi il est essentiel de consommer les jus de fruits avec grande, très grande modération.
Une grande partie des bénéfices du fruit en moins
Un fruit est riche en vitamines, en minéraux, en fructose et en fibres. Lorsqu’il est transformé en jus, il perd une majorité de ses apports nutritionnels, essentiels à l’organisme. «La plus grande perte concerne les fibres, qui contribuent au bon fonctionnement du transit intestinal, stimulent son immunité, et éliminent une partie du cholestérol. Les fibres contiennent également des polyphénols (des antioxydants) nécessaires au système cardio-vasculaire, ainsi que des caroténoïdes (des antioxydants également)», informe le Dr Philippe Pouillart, enseignant chercheur en pratique culinaire et santé à l'Institut polytechnique UniLaSalle à Beauvais.
Dans notre verre, il reste alors de l’eau, une grande quantité de sucre et quelques vitamines et minéraux. Mais ces deux derniers sont rapidement évaporés par l’oxydation si le jus n’est pas consommé dans la foulée. «Même s’il s’agit d’un jus frais fait maison, il faut le boire dans l’heure qui suit sinon il ne restera que du sucre», commente le Dr Pouillart.
De plus, contrairement à ce que l’on peut croire, un verre de jus de fruits n’équivaut pas à un fruit. Il faut en moyenne deux oranges pour obtenir un verre de 80 à 100 ml de jus. En ce qui concerne les jus achetés en supermarchés, «un verre contient environ quatre à cinq oranges. On consomme donc beaucoup plus de fructose», souligne Olivia Szeps, diététicienne nutritionniste à Paris. Le fructose, autrement dit le sucre du fruit, est un carburant naturel pour le corps. Mais s’il est consommé en grande quantité (au-dessus de 25 g par jour) «il est transformé et stocké en graisse», précise la professionnelle.
Sans oublier que lorsque le fruit est converti en jus ou compote, nous ne mâchons pas. Alors que pour améliorer le système digestif et avoir une sensation de satiété, l'action est indispensable. De plus, «l’indice glycémique (taux de sucre dans le sang) est plus bas si l’aliment est mâché», ajoute la diététicienne nutritionniste. Le Dr Philippe Pouillart recommande ainsi de ne pas en donner aux bébés de moins d’un an, de se contenter de 100 ml quotidiens pour les enfants, et de 200 ml pour les adultes.
Les jus industriels, le (très) mauvais choix
Il faut savoir qu'il existe trois grandes catégories de jus en France : le «pur jus», le «concentré» et celui à «base de nectar». Elles sont radicalement différentes dans leur composition. Selon le Dr Philippe Pouillart, le «pur jus» est constitué uniquement du jus des fruits pressés. Le concentré «a été congelé afin de pouvoir être transporté, puis a été dilué dans de l’eau. On perd donc une grande partie des vitamines et souvent les marques ne les rajoutent pas», explique-t-il. Dans ces deux types de jus, les normes françaises interdisent aux industriels d’ajouter du sucre. En revanche, dans celui à base de nectar «on y mélange de l’eau, du sucre et des épaississants. Et au final il n'y a que très peu de fruits», prévient l’enseignant chercheur.
Si l’on n’a pas le choix, l’idéal serait donc de choisir le «pur jus» à condition d'opter pour une bouteille du rayon frais. «Ils ne sont chauffés que quinze secondes à 90° et la perte en vitamines est peu importante. En revanche, ceux vendus à température ambiante ont perdu leurs vitamines, les industriels doivent donc les ajouter, mais ce n'est pas toujours le cas», explique le Dr Philippe Pouillart. Pour s'en assurer, la mention «teneur garantie en vitamines» doit figurer sur la brique ou la bouteille.
Attention, «même s’ils sont "purs", tous ces jus restent des produits industriels transformés qui ont subi des traitements de conservation», rappelle la diététicienne nutritionniste Olivia Szeps. Rien ne vaut donc, une bonne orange dégustée en quartiers.

ALGER- Le Centre culturel algérien (CCA) à Paris abritera, du 10 au 25 septembre 2021, une exposition artistique regroupant les oeuvres de 4 plasticiennes algériennes, illustrant un riche parcours créatif avec des techniques et des thèmes divers, ont annoncé les organisateurs.
Le CCA a annoncé sur sa page Facebook le vernissage d'une exposition collective intitulée "Créativité féminine" à partir du 10 septembre, regroupant différentes oeuvres artistiques de quatre plasticiennes algériennes à savoir Amina Hammadi, Mejda Ben, Fadila Salmi Mansouri et Myriam Lahcene. L'évenement se poursuivra jusqu'au 25 septembre.
Amina Hammadi, établie actuellement en France, est diplômée de l'Ecole des Beaux Arts de Mostaganem et enseigne dans la même école. Elle a participé à diverses manifestations artistiques et culturelles à travers le pays et à des expositions internationales en Tunisie, en Jordanie et en France.
Pour Majda Ben, l'art plastique est une aventure et un voyage qui permet d'aller à la rencontre de soi et du monde.
Ses oeuvres sont inspirées de l'art plastique occidental et japonais moderne mais aussi des miniatures persanes et de l'art décoratif répandu en Afrique du nord.
Myriam Lahcene, autodidacte de formation, est une passionnée de voyages et de littérature. Ses premiers coups de pinceau sonnent pour elle comme une évidence. Instinctives, ses toiles correspondent souvent à son état d'âme. Pour elle, les femmes sont une source inépuisable et cet univers féminin esthétique et coloré devient sa signature artistique.
Les peintures de Fadela Mansouri sont chargées d'éléments de la nature comme l'eau, le feu et l'air ou encore la terre. Les couleurs sont vives évoquant une éruption volcanique. Son univers est métaphysique, onirique, fait de paysages abstraits.
L'artiste utilise des matériaux rudimentaires tels que le bois et le jute, qu'elle mêle à la peinture pour donner cette touche si singulière à ses toiles. aps
L'exposition sera une opportunité pour les amateurs de l'art plastique algérien moderne de découvrir les arts décoratifs et l'art plastique féminin. aps
DJEZZY organise pour les soirée du Ramdane : "Gaâda Nouba"
Vous cherchez un cadre agréable, convivial, sécurisé, réunissant toutes les commodités ??
Une seule adresse, "Gaâda Nouba" by DJEZZY, au niveau de la terrasse du Nouba, à l'Aurassi.
Un spectacle par soir, une restauration complète, un stationnement assuré, un lieu plus que sécurisé, situé au cœur d'Alger, facile d'accès, une superbe vue sur la baie d'Alger, un personnel souriant et à votre service...
Nous vous attendons à partir du Lundi 7 juillet 2014, pour 3 semaines de folie et de bons souvenirs !!
Programme :
Lundi 7 juillet : SURPRISE !!
Mardi 8 juillet : CAMELEON
Mercredi 9 juillet : DJMAOUI AFRICA
Jeudi 10 juillet : TRIANA D’ALGER
Vendredi 11 juillet : FERDA
Samedi 12 juillet : RAINA RAI
Dimanche 13 juillet : Karaoké, Projection de film Box office, DJ
Lundi 14 juillet : Soirée HUMOUR & COMEDIE
Mardi 15 juillet : FREEKLANE
Mercredi 16 juillet : ESSED
Jeudi 17 juillet : OULED EL HADJA MAGHNIA
Vendredi 18 juillet : SURPRISE
Samedi 19 juillet : MALYA SAADI
Dimanche 20 juillet : Karaoké, Projection de film Box office, DJ
Lundi 21 juillet : Soirée HUMOUR & COMEDIE
Mardi 22 juillet : GAADA DIWANE BECHAR
Mercredi 23 juillet : TRIANA D’ALGER
Jeudi 24 juillet : YOUSS
Vendredi 25 juillet : CHEIKH SIDI BEMOL
Tarif : 1500 DA, inclus : Parking, Accès, Spectacle, 2 consommations, Tombola & Salle des jeux.
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.