
Des spécialistes de l’université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou, se sont lancé dans la production locale de solutions hydro-alcooliques, pour parer à la « petite pénurie » constatée dans le sillage de la prévention contre le nouveau coronavirus (Covid-19), a rapporté l’agence officielle citant le recteur, Pr Smail Daoudi.
Dans le cadre des mesures de prévention du coronavirus et face à la rupture de stock de solutions hydro-alcooliques causé par la forte demande sur ce produit « nous avons décidé en tant qu’enseignants universitaires d’apporter une contribution scientifique et un appel a été lancé aux collègues des facultés de chimie et de médecine et du service de pharmacie, pour entamer la fabrication locale de produits désinfectants », a-t-il ajouté.
Une équipe composée de médecins et de chimistes dont le recteur de l’université, le Pr Daoudi, des doyens de la faculté de médecine, Pr Messaoudi et de la faculté de chimie, Pr Hocine, du spécialiste en chimie analytique Dr Mamou, de médecins résidents de pharmacie et d’ingénieurs de laboratoires, s’est mobilisée à cet effet et une quantité de 300 à 400 flacons a été déjà produite, a-t-on appris de même source.
« Nous sommes en phase de lancement et d’ici demain (mardi) nous allons, avec la collaboration de tous, atteindre la vitesse de croisière et produire une quantité plus importante », à rassuré Pr Daoudi, qui a observé que cette démarche « est en bonne voie ».
Dans un premier temps ces solutions hydro-alcooliques seront distribuées gratuitement au sein de l’université au profit des personnels administratifs, agents de sécurité, étudiants étrangers restés dans les résidences universitaires, entre autre, a souligné ce même responsable.
Par la suite et avec une plus importante production, l’université touchera la population. « Nous essayerons de répondre à la demande de tous ceux qui en ont besoin et qui nous sollicitent dans ce sens », a rassuré le recteur.
Le wali Mahmoud Djamaa, qui a salué cette louable initiative, selon Pr Daoudi, a rassuré ces bénévoles que les services de la wilaya et notamment la direction du commerce les accompagneront dans le cadre de ce projets afin de produire des quantités plus importantes pour répondre à la demande de la population sur ce produits dont les stocks s’épuisent rapidement au niveau des officines.
algerie-eco.com

Les réseaux sociaux deviennent un moyen pour exercer de la violence sur les femmes
L’incompréhension de la vraie utilité de ces outils de communication chez certains mâles, crée ces malaises dans la société, la femme devient cible de harcèlement et de pression. Beaucoup de femmes cèdent à des chantages suite à des relations virtuelles avec des personnes malhonnêtes.
samedi 4 février à 10:30
Lieu : la grande poste

Astuce en Image : Bain bouche maison

Même si la langue française demeure pour certains “la langue du colon”, souvent au cœur de débats passionnés, voire violents, il n’en demeure pas moins qu’elle reste une langue très répandue en Algérie. En effet, 60% des Algériens sont francophones “réels”, selon le Haut Conseil de la Francophonie (HCF). Ce taux place ainsi l’Algérie en deuxième position dans le monde, après la France évidemment, suivie de très loin par le Québec, qui occupe la troisième place.
Le français est loin d’être menacé de disparition du paysage linguistique dans notre pays. Partout en Algérie, notamment dans la capitale Alger, cette langue est utilisée couramment par les Algériens. Hommes, femmes, enfants, vieux, jeunes et moins jeunes le pratiquent quotidiennement chez-eux, dans les administrations et même dans la rue. La langue française est également enseignée à l’école, à partir de la deuxième année primaire.
Pour connaître la place qu’occupe la langue de Molière dans le paysage linguistique en Algérie, Rabah Sbaa, professeur en sociologie, a consacré à ce thème toute une étude, parue récemment aux Éditions Frantz Fanon. Selon le chercheur à l’université d’Oran, cité par le quotidien l’Expression, 40 ans d’indépendance n’ont pas altéré l’usage de cette langue en Algérie, car elle n’est pas juste maintenue dans la société, mais “son usage, souligne-t-il, est presque exclusif dans certains domaines comme la communication, les espaces culturels ou l’information”. Pour le chercheur, la langue française, même si elle n’est pas une langue officielle, se porte tout de même très bien en Algérie. “Elle a même connu un regain de vitalité ces dernières années”, estime-t-il.
Aujourd’hui, les chiffres sont éloquents puisque le HCF considère que 60% de la population algérienne est francophone “réelle”; chiffre qui place l’Algérie en deuxième position dans le monde, devançant ainsi de loin le Québec. En mars dernier, l’ambassadeur de France en Algérie, M. Bernard Emié, a, lui aussi, soutenu que “le français est une langue extrêmement répandue [en Algérie]”. “Plus de 11 millions d’Algériens parlent cette langue couramment et quelque 15 000 autres sont inscrits au niveau des instituts français en Algérie pour apprendre cette langue qui représente un bien commun entre les Algériens et les Français“, a-t-il souligné.
source : algerie-focus.com
Le plus difficile quand on veut perdre du poids c’est de réguler son appétit, affirme la plateforme DZ Nutrivie
Une étude britannique vient peut-être de trouver la solution : la grenade !
Ce fruit méditerranéen qui arrive à maturité en automne, juteux, sucré et parfumé, connu déjà pour ses vertus santé et anti-âge, est aussi un excellent allié minceur ! Ce fruit aiderait à avoir moins faim mais aussi à mieux apprécier ses repas.
L’étude menée par l'Université Queen Margaret, Edinburgh, a montré que les personnes qui prenaient des extraits de grenade ont déclaré :
Ressentir moins la faim (- 12 % par rapport aux autres) ;
Avoir moins envie de manger (- 21 %) ;
Un meilleur sentiment de satiété (+ 16 %) ;
Plus satisfaits de leur repas (+ 15 %).
Ils ont aussi mangé en moyenne 22 % de moins que les autres et ont trouvé leur nourriture plus savoureuse.
Maintenant que vous connaissez tous ses secrets, n'hésitez pas à en consommer plus !
NutriVie
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